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Le Président vous parle !

Publie le mercredi 30 juin 2010 par Open-Publishing
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De Pilhaouer

Suite à la défaite de l’équipe nationale de balle au pied, Notre Président s’est adressé aux français depuis le Fouquet’s !

(On notait la présence des ministres démissionnés, tête basse et à genoux : Woerth, Joyandet, Estrosi, Blanc, Kouchner, Amara, également Mère Christine Boutin, Supérieure des filles missionnaires de la Charité de Neuilly, en cilice).

Au premier rang : Denis Kessler, Ministre des Phynances, Laurence Parisot, Ministre du Travail Obligatoire, Patrick Balkany, Ministre de l’Intérieur et de la Justice partout, Philippe Val, Ministre de l’Information et du Rire coloscopique, Alain Finkelkraut, Ministre de la Rééducation Nationale, Bernard Tapie, Ministre des Affaires sociales et autres, Patrice de Maistre, Chevalier de la Légion d’honneur, Roselyne Bachelot, pharmacienne piquante, François Fillon, notaire triste, Xavier Bertrand, assureur pas rassurant, Frédéric Lefèbvre, représentant chez Pétrole Hahn...

"Français !

J’ai demandé à nos adversaires de mettre fin aux hostilités. Le Gouvernement a désigné mercredi les plénipotentiaires chargés de recueillir leurs conditions. ... ...

Je fais à la France le don de ma personne et à l’équipe de France celui de Roselyne Bachelot pour atténuer son malheur ... ...

Le peuple français ne conteste pas ses échecs. Tous les peuples ont connu tour à tour des succès et des revers. C’est par la manière dont ils réagissent qu’ils se montrent faibles ou grands. Nous tirerons la leçon des batailles perdues. Depuis la victoire, l’esprit de jouissance l’a emporté sur l’esprit de sacrifice. On a revendiqué plus qu’on a servi. On a voulu épargner l’effort ; on rencontre aujourd’hui le malheur. (sanglots de Mère Boutin)

Je suspends dès aujourd’hui la Garden Party annuelle de l’Elysée.

J’ai été avec vous dans les jours glorieux. ... ... je suis et resterai avec vous dans les jours sombres. Soyez à mes côtés. Le combat reste le même contre le trou du c... ! (Silence gêné de l’auditoire, Val tousse !)-( Putain, quel con Gaino ! Qu’est ce que c’est qu’ça veut dire ?) -( Gaino souffle : le trou de la Sécuuuuuu.... ! ) Le Président reprend :
... le trou de la sécurité fiscale... enfin ... sociale ...
Il s’agit de la France, de son sol, de ses fils, de ma réélection ... "
...

« J’ai des choses graves à vous dire. De plusieurs régions de France, je sens se lever depuis quelques semaines un vent mauvais.

L’inquiétude gagne les esprits, le doute s’empare des âmes. L’autorité de mon gouvernement est discutée y compris sur la radio nationale ; les ordres sont souvent mal exécutés, même par la justice (...) Nos difficultés intérieures sont faites surtout du trouble des esprits, de la pénurie des hommes et de la raréfaction des produits ... et des chèques de Madame Bettencourt.

Le trouble des esprits n’a pas sa seule origine dans les vicissitudes de notre politique étrangère . Il provient surtout de notre lenteur à reconstruire un ordre nouveau, ou plus exactement à l’imposer. La révolution nationale, ... ..., n’est pas encore entrée dans les faits. (Kessler acquiesce)

Elle n’y a pas pénétré (quinte de toux de Val, Rosy rougit, Mère Boutin se signe), parce qu’entre le peuple et moi, qui nous comprenons si bien, s’est dressé le double écran des partisans de l’ancien régime ... ... et des jouisseurs de retraite dès 60 ans. ( Le Président doit interrompre les applaudissements frénétiques de Laurence Parisot)
Les troupes de l’ancien régime sont nombreuses ; j’y range sans exception tous ceux qui ont fait passer leurs intérêts personnels avant les intérêts permanents de l’Etat : maçonnerie, partis politiques dépourvus de clientèle mais assoiffés de revanche, Jacques Chirac et Escalette, les chômeurs rapaces, les fonctionnaires attachés à un ordre dont ils étaient les bénéficiaires et les maîtres, ou ceux qui ont subordonné les intérêts de la patrie à ceux de l’étranger comme Bouton et Kerviel.

Un long délai sera nécessaire pour vaincre la résistance de tous ces adversaires de l’ordre nouveau, mais il nous faut, dès à présent, briser leurs entreprises, en décimant les chefs. Si la France ne comprenait pas qu’elle est condamnée, par la force des choses, à changer de régime, elle verrait s’ouvrir devant elle l’abîme où l’Espagne de (1936) 2010 a failli disparaître et dont elle ne s’est sauvée que par la foi, la jeunesse et le sacrifice.

Le problème du gouvernement dépasse donc en ampleur le cadre d’un simple remaniement ministériel. Il réclame, avant tout, le maintien rigide de certains principes. L’autorité ne vient plus d’en bas ; elle est proprement celle que je confie, ou que je délègue. Je sais par métier ce qu’est la victoire : je vois aujourd’hui ce qu’est la défaite. J’ai recueilli l’héritage d’une France blessée ; cet héritage, j’ai le devoir de le défendre en maintenant vos aspirations et vos droits. En (1917) 2007, j’ai mis fin aux con(muti)neries ; ... ... . Aujourd’hui, c’est de vous-mêmes que je veux vous sauver. A mon âge, lorsqu’on fait à son pays le don de sa personne, il n’est plus de sacrifice auquel l’on veuille se dérober ; il n’est plus d’autre règle que celle du salut public.

Rappelez-vous ceci : un pays battu, s’il se divise, est un pays qui meurt ; un pays battu, s’il sait s’unir, est un pays qui renaît.

Vive la France ! »

Les Jeunesses Sarkozystes entonnent : « Nicolas, nous voilà ... ! »

Henri Philippe Benoni Omer Joseph Pétain, était sénile lorsqu’il a prononcé deux discours ressemblant à celui-ci. On dit qu’il n’avait pas d’héritiers ... !
Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa a lui 55 ans. Président renouvelable en 2012 parce qu’il le vaut bien, il a été accusé stupidement d’être un admirateur de Guy Moquet, terroriste communiste sous Pétain. Partisan de l’éradication du système dispendieux mis en place en 1945 par le CNR, il résiste au soleil chaque année sur le plateau des Glières, grâce à Ray-Ban.

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