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MILANO MILANO MILANO :-) BERLU L’A DANS L’CUL ! (video)

Publie le lundi 30 mai 2011 par Open-Publishing
13 commentaires

MILANO MILANO MILANO MILANO,
MILA- NO A BERLUSCONI !!! :-)

VIVA MILANO !!!!!

On n’y est pour rien, mais on est contents, vous imaginez ps comment :-)))

C’est comme si Sarkozy perdait les hauts de Seine et Neuilly !!!

Spéciale Dédicace à Silvio de la part du Collectif Bellaciao et des 3x0 :

SILVIO, VAFFANCULO !!!!!!!!


Italie : sévère défaite pour Berlusconi à Milan

La droite de Silvio Berlusconi a perdu son fief de Milan et ne devrait pas parvenir à ravir Naples à la gauche lors du second tour des municipales, selon les premières projections réalisées sur la base d’un dépouillement partiel des résultats.

A Milan, le candidat de la gauche, Giuliano Pisapia, a remporté 55,14 % des voix face à la maire sortante, Letizia Moratti. Capitale économique du pays, Milan est la ville natale de M. Berlusconi et son fief électoral depuis dix-huit ans, ainsi que le siège de son empire médiatique, Fininvest. Au cours des quinze dernières années, la gauche n’avait jamais réussi à arriver jusqu’au ballottage, perdant systématiquement au premier tour.

A Naples, la gauche était en ballottage défavorable au premier tour face à la droite, menée par l’entrepreneur Gianni Lettieri. Mais les premières projections donnent désormais le candidat de la gauche, l’ex-magistrat Luigi de Magistris, largement en tête au deuxième tour, à 61 % contre 39 % pour son rival.

Silvio Berlusconi, lors d’un vote de confiance au Sénat, en mai 2008.

Silvio Berlusconi, lors d’un vote de confiance au Sénat, en mai 2008.REUTERS/MAX ROSSI

Le résultat du vote à Milan était considéré aussi comme un test national pour Silvio Berlusconi, même si M. Pisapia a exclusivement mené campagne sur des questions locales. Les experts ont souligné d’ailleurs la discrétion des principaux leaders de la gauche nationale, comme Pierluigi Bersani, chef du Parti démocrate, venu seulement une fois le soutenir.

"RÈGLEMENTS DE COMPTES À VENIR"

Selon l’éditorialiste de La Stampa, "tout le monde sait que le vote de Milan est destiné à modifier les équilibres politiques nationaux". En cas de défaite, Umberto Bossi, chef de la Ligue du Nord et allié de M. Berlusconi, conscient de la colère de son électorat contre un Cavaliere "trop focalisé sur ses batailles personnelles", contre la justice notamment, "pourrait être tenté de rompre leur alliance historique", estime l’éditorialiste. En outre, de telles défaites "pourraient avoir des conséquences internes au Peuple de la liberté", le PDL, le parti de M. Berlusconi, avec "de durs règlements de comptes" et une possible contestation du leadership du Cavaliere, selon l’éditorialiste.

De son côté, M. Berlusconi, qui avait mis tout son poids dans la balance au premier tour, cherche depuis plusieurs jours à minimiser la portée d’un double revers à Milan et à Naples. "Le résultat n’aura pas d’effet sur le gouvernement", a-t-il assuré à des proches, se disant certain du soutien de la Ligue.

VERS UNE MUTATION DU PDL ?

Pour montrer qu’il tient solidement le gouvernail, M. Berlusconi a convoqué un conseil des ministres dès son retour d’un sommet bilatéral à Bucarest, mardi à la mi-journée, et une réunion de la présidence de son parti, qu’il veut relancer avec des états généraux, des primaires et le choix d’un nouveau nom, selon les commentateurs.

Silvio Berlusconi espère faire oublier rapidement un éventuel revers dans son fief et même s’il devait y avoir des élections anticipées, il ne les envisage pas avant le printemps 2012. Entre les deux tours, M. Berlusconi s’était démené pour soutenir ses candidats, s’en prenant aux électeurs "sans cerveau" qui votent à gauche et affirmant qu’avec M. Pisapia, Milan deviendrait une "cité islamique", "une ’Tziganopolis’ pleine de camps de Roms".

 http://www.lemonde.fr/europe/articl...


SILVIO, VAFFANCULO !!!!!!!!

Messages

  • A Milan, le candidat de la gauche Giuliano Pisapia a remporté 55,14 % des voix face à la maire sortante, Letizia Moratti. Capitale économique du pays, Milan est la ville natale de M. Berlusconi et son fief électoral depuis dix-huit ans, ainsi que le siège de son empire médiatique, Fininvest.

    Au cours des quinze dernières années, la gauche n’avait jamais réussi à arriver jusqu’au ballottage, perdant systématiquement au premier tour. Et PISAPIA est un ancien COCO. Y’en a un qui doit être en train de faire ses valises :-)

    Et en plus BERLUSCONI N’ A PAS EU NAPLES ! C’est ÉNORME.

    Vite, une bière pour fêter ça nom d’un chien !!!

     :-) :-) :-)

    • A Milan, le candidat de la gauche Giuliano Pisapia a remporté 55,14 % des voix face à la maire sortante, Letizia Moratti.

      Front de Gauche or not ?

    • Rien à voir. Qu’est ce que tu nous pètes le délire là ? Espèce de rabat-joie ! ;-)

    • La droite italienne apprend le caniveau.. bonne nouvelle !!!!
      Je débouche une bonne bière.. le champ’ ce sera quand Sarkozy et sa clique auront la, gueule dans le caniveau.. en 2012 !

    • Ça serait plutôt un truc genre "Programme Commun de la Gauche" de 1981 si on veut vraiment comparer, mais pas "Front de Gauche", non.

      Pour tout te raconter, il y avait eu des "primaires" d’abord, dans toute la gauche.

      C’est un ancien coco (prima linea/ rifondazione) qui était devenu "indépendant" et qui pour les primaires, où il a battu le candidat PD était soutenu par Rifondazione, une partie des Verts et une partie du PD.

      Donc, rien à voir avec le processus à l’oeuvre ici , c’est clair.

      Alors évidemment, c’est pas "la révolution", il y a un travail ENORME A FAIRE, mais bon, on est contents, c’est un gros coup de pied au cul pour Berlusconi, la mafia etc.

      Voilà.

    • L’Huma du 30 mai :

      Cheveux poivre et sel, l’air sérieux mais décontracté, Giuliano Pisapia faisait figure d’outsider face au maire sortant de droite, Mme Letizia Moratti. Un rôle auquel il est habitué puisqu’il avait déjà battu contre toute attente le candidat du Parti Démocrate, principal parti de gauche, aux primaires. Profitant de l’antiberlusconisme ambiant, il a su mener une campagne de proximité, armé d’un slogan qui se voulait rassembleur "la force gentille pour changer Milan".

      Avocat de père en fils

      Né le 20 mai 1949 à Milan, Giuliano Pisapia est le fils de Gian Domenico Pisapia, célèbre avocat ayant participé à la rédaction du Code de procédure pénale italien. Après avoir reçu une éducation catholique, il s’engage au cours de ses études de sciences politiques puis de droit au sein du mouvement étudiant d’extrême gauche. Giuliano Pisapia, qui met en avant son expérience d’éducateur dans une prison pour mineurs ou d’ouvrier dans une usine chimique pendant ses études, devient avocat pénaliste à 30 ans.

      Défenseur de la famille de Carlo Giuliani, mort lors du G8 de Gênes

      Au cours de sa carrière, il défendra notamment le leader kurde Abdullah Öcalan, la famille de Carlo Giuliani, manifestant altermondialiste tué par un policier lors de heurts en marge du G8 de Gênes en 2001, ou le moteur de recherche américain Google. "Mais j’ai aussi continué à suivre des affaires mineures, concernant des gens normaux, des marginaux, des toxicomanes, qui ne finissent pas sur la première page des journaux", tient-il à souligner.

      L’extrême gauche et la justice

      Pendant les années de plomb, alors que l’Italie est secouée par le terrorisme d’extrême gauche et d’extrême droite, M. Pisapia a eu affaire avec la justice mais cette fois, dans la position d’accusé. Soupçonné de participation à une tentative d’enlèvement et de vol d’un fourgon, il est arrêté en 1980 dans le cadre d’une enquête sur le groupe d’extrême gauche Prima Linea et passe quatre mois en prison.

      Clamant son innocence, Giuliano Pisapia refusera une amnistie avant d’être définitivement blanchi par la justice. Cette affaire a été ressortie pendant la campagne par Letizia Moratti pour dénoncer le "passé extrémiste" présumé de son adversaire. (à lire aussi : l’homophobie s’immisce dans une campagne sordide)

      Ancien élu apparenté de Refondation communiste

      Elu pour la première fois député en 1996 comme membre indépendant sur les listes de Refondation Communiste, il est réélu en 2001 mais ne se représente pas en 2006.

    • "Vite une bière pour fêter ça"

      La mise en bière du Berlu ne justifie pas la consommation d’un tel produit.
      L’influence nordiste sur BC est évidente ( hein ma frangine ?).

      Je n’ai pas de Chianti,mais je vais boire un gros verre de rouge du Languedoc !

      Super la vidéo !

      LR

  • http://bellaciao.org/fr/spip.php?article64055

    (Sarko bling-bling remix’08)

    de Collectif Bellaciao

    En exclusivité mondiale et intergalactique sur Bellaciao, le collectif vous présente la première vidéo réalisée (des nuiiiiiitttss de labbbeeeuuurrr) par Biche, Sirieix, Thom, Dr Furioso, La Louve, le Collectif Bellaciao, 3x0, Le Scarabée et cie enregistré et mixé par Farra Vox

    Bisounours arc-en-ciel ? Ou l’Immonde Silvio ? Le choix est rude.... :)

    Non allez, sans blague :

    "VAFF...... SILVIO" !!!

    Régalez-vous de ce petit trésor concocté par nos soins avec le plus grand bonheur et renvoyons définitivement la berlusconnerie aux oubliettes de l’histoire !

    (Bella)ciao tutti

    Dr Furioso, Thom, Charlie, Brunz et La Louve

    http://www.myspace.com/silviomonamour
    http://www.youtube.com/mouvement2007

    SILVIO MON AMOUR (De Sirieix/Brunz)

    Silvio yo te quiero
    Porque quiero el dinero (x2)
    Vamos a matar la revolucion
    Vamos a burlar toda la nación
     
    Vaffanculo libertad
    Vaffanculo sociedad
    Vaffanculo el pueblo unido !
     
    Vaffanculo clandestino
    Vaffanculo esperanza
    Vaffanculo el cuba libre !
     
    Silvio yo te quiero
    Porque quiero el dinero (x2)
    Vamos a matar los guerrilleros
    Vamos a burlar los compañeros
     
    Vaffanculo Pancho Villa
    Vaffanculo zapatista
    Vaffanculo el Che Guevara !
     
    Vaffanculo la izquierda
    La tequila, el chili con carne
    Y que viva Silicon Valley !
     
    Silvio mon Amour
    Je t’aime pour toujours
    Silvio mon Amour
    Je t’aime tous les jours...

    http://www.myspace.com/silviomonamour
    http://youtube.com/mouvement2007

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article64055

  • alors qu’en ESPAGNE "les indignés" n ont pas donné de consignes de vote aux élections municipales , il semble que l’indignation du peuple italien se soit manifestée dans les urnes par une grande claque à BERLUSCONI , BRAVISSIMO !!!

    • Certes Richard, certes. Réjouissons-nous mais ne détournons pas ces réjouissances de leur but exclusif qui est principalement de se réjouir.... ;-)

      Bon, soyons pragmatiques, une victoire électorale contre une bande de saloperies comme celle de Berlusconi, ça se prend. Ça peut redonner un peu de coeur à l’ouvrage.

      MAIS JUSTEMENT, de l’ouvrage, il y en a ,et il va y en avoir.

      Le peuple en colère a deux options après cette victoire (car c’en est une).

      1. S’asseoir sur son cul en pensant que "c’est bon, c’est fait"et regarder passer le train

      2. Se saisir, pour une fois, d’une victoire d’une coalition plutôt hétéroclite de "gôche" pour pousser son avantage et se constituer en opposition révolutionnaire dans la gôche.

      Ne pas en rester là. Ne pas revenir à nos anciens travers. Ne pas croire que "les élus" vont se charger correctement de notre vie à notre place.

      GRANDIR. profiter de cette victoire pour souffler ET GRANDIR.

      Attraper la voie de l’émancipation.

      LA fête finie, c’est le plus dur qui va (re)commencer.

      Le peuple italien a -t-il appris de ses erreurs ? Va t il se mobiliser autrement ?

      Je croise les doigts.

      Mais en attendant, on boit un coup.

      LL

    • La seule différence entre l’Espagne et l’Italie était qu’en Italie c’est la droite au pouvoir et en Espaagne la gauche ; et dans les deux cas ils ont été sanctionnés.

  • Ce gibier de potence s’est fait botter les fesses, c’est une bonne chose, qu’importe la façon. C’est comme un accident de travail, ce type d’accident les fripouilles de temps en temps y sont exposés et tombent aussi dans la fosse à purin.

    Ses hurlements racistes délirants montrent combien la bourgeoisie est grossière, lourde, réac, raciste, arriérée, violente, mafieuse, corrompue et corruptrice, dangereuse ; merdeuse.

    Qu’est ce que ça va être quand il va être en tôle....

    Ca me fait penser aux glapissements qu’ils avaient en France lors du référendum de 2005 (et souvenons-nous qu’il ne faut jamais leur faire peur sans passer aux actes réels).

  • Et encore pas assez profond ! bref après donnez nous la vaseline pour nos politiciens merci marie.lina