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Chez Quick, comme chez Mac Do... la répression patronale

Publie le lundi 17 janvier 2005 par Open-Publishing

Cinq salariés de Quick (quatre à Barbès, un dernier aux Halles) viennent d’être licenciés en deux mois, sous des prétextes divers, certains après six ans d’ancienneté. Motif réel : ils venaient de se syndiquer, ou l’avaient été.

Des occupations de Quick ont eu lieu samedi après-midi devant le Quick des Halles avec prises de parole des salariés licenciés (notamment sur les conditions d’hygiène) et à Barbès.

Par ailleurs, mais cela s’inscrit dans la même vague de répression patronale qui se manifeste depuis quelques mois, sept des salariés de Mc Do Strasbourg Saint-Denis, bien qu’un protocole d’accord prévoyant l’abandon des poursuites ait été signé, et huit mois après la reprise du travail, sont en cours de mise en examen pour divers motifs (violences, renversement de poubelles, doigt du superviseur foulé, etc...) suite à plainte du gérant franchisé des deux Mc Do de Parmentier et à l’époque Strasbourg Saint-Denis.

Les actions hebdomadaires continuent dans les hôtels du groupe Accor jusqu’à la réintégration de Faty Mayan déléguée SUD licenciée en mai, et jusqu’à l’abandon de la sous-traitance et la réinternalisation des tâches de nettoyage des chambres d’hôtel par le groupe Accor.

Réunion du comité de soutien tous les mercredi à 18H30 à la Bourse du travail, 67 rue de Turbigo ­ M° Arts et Métiers