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N’oublions pas trop vite Antoinette :

par MARTINE LOZANO

Publie le vendredi 9 septembre 2011 par MARTINE LOZANO - Open-Publishing
7 commentaires

N’oublions pas trop vite Antoinette :

Les victimes de harcèlements ,de viols ,de sexisme en tout genre ne sont pas entendues,
Et sont renvoyées dans la culpabilité,
L’insulte ,
Indifférence.
Lorsqu’une femme dit qu’elle a été victime de harcèlement sexuel et qu’elle a ensuite été exclue
Et virée ,
On lui répond
Qu’elle devrait se remettre en question car si elle est virée c’’est sa faute »
Toutes les violences contre les femmes doivent être combattues d’où qu’elles viennent,
Un parti ,,un syndicat , entreprise ….
Or de nos jour on se polarise sur une affaire médiatique sans fondement qui ne doit pas nous faire oublier les vraies victimes.
Car Les agresseurs en responsabilité politiquer pullulent .
Rappelons nous Antoinette :
Pourtant il n’y a ni victimes ni harceleurs dans nos sociétés.
Pourquoi une certaine affaire est elle autant médiatisée , Alor s que rien n’est prouvé car elle répond à un imaginaire :
Ou au temps de L’esclavage l’homme noire violait la femme blanche,
Mais des femmes qui ont criée et hurlés leur harcèlement ,
Notamment dans l’entreprise , le syndicat n’ont jamais été entendu :
Rappelons nous Antoinette
La CGT
saluons au passage le courage des militantes CGT qui firent le journal Antoinette dénonçant le sexisme , magazine féminin de la CGT, en 1955 et qui disparaît en 1989.car après une période d’ouverture, la CGT se claquemure, ferme son journal Antoinette, symbole entre autres du combat féministe. .que sont elles devenues :le sexisme a gagné, sachant que déjà Lors d’un congrès en 1898, un dirigeant CGT note que « la femme étant un être faible, non destiné à vivre dans les ateliers et les magasins, il est inhumain d’exiger d’elle (…) de rester debout ». Ou encore « le travail de la femme est anti-social… la place de la femme est au foyer ». Combien y a-t-il de femmes parmi les délégués syndicaux, ?la question est toujours posée aujourd’hui ;
Les syndicats,’ ont ils la fibre féministe car .pour lutter réellement contre les pratiques sexistes : harcèlement sexuel et moral de toute sorte , le féminisme et syndicalisme doivent se conjuguer et regarder dans la même direction , on part de loin et ce vieux démon est toujours présent , Tous les syndicats sont confrontés aux mêmes difficultés, malgré des histoires et des pratiques fort différentes. combien de temps faudra t il encore attendre pour que féminisme et syndicalisme puissent se conjuguer ensemble ;

Mais une certains
médiatisation à outrance d’une affaire peu crédible va perpétuer les violences faites aux femmes et
Dédouaner les hommes qui se cacheront derrière le bouc émissaire

Martine Lozano militante associative

Messages

  • En page 11 et 12 du dernier né,

    « SINE MENSUEL »

    , vous pouvez lire le dossier SEXE, FRIC & domestique, signé de Marie CIGALI et l’autre de IAN HAMEL, intitulé LE MONDE DECOUVRE LES BONNES. Le second dans le mensuel

    « LE TIGRE »

    en page 32 et 33 intitulé : « NAFISSATOU TABOU ! TABOU ! » et le dernier pour la bonne bouche dans le mensuel

    « LE MONDE diplomatique »

    , MANILLE, HONGKONG, PARIS PROFESSION DOMESTIQUE par l’envoyé spécial JULIEN BRYGO, page 1, 10 et 11 ; ensuite de la page 7 à la page 12, des articles : de GENEVIEVE FRAISSE, intitulé : « ETERNELLES INVISIBLES », PIERRE SOUCHON, article intitulé : « Syndicaliser les aides à domicile, un travail de fourmi », pages 7, 8 et 9, FRANCOIS-XAVIER DEVETTER et FRANCOIS HORN, un article intitulé : « La malédiction du balai », etc., etc.

  • Martine Lozano militante associative,
    Je vous conseille de consulter svp un PSY
    Votre série d’articles ou vous revenez nous re-re livrer votre bile sur "Antoinette" et le sexisme dans une CGt ou vous avez osé évoquer le retour des hommes en rut". ;ça commence à faire.

    Moi j’aurais viré votre nièmecharge qui reprend mot à mot vos fantasmes déjà exprimés et une attaque des plus suspectes contre la CGT en général..

    Réglez vos comptes perso avec le ou lesmachos cégétistes ou pas, sans SVP prendre ce site pour un espèce de divan

    Vous confortez hélas ce que de détestable il peut exister mais vous comabttez curieusement..
    Vous avezessayé leMLF , "ni putes ni soumises", bref les pseudo féministes bourges quiaccueilleront votre pamphlet anticégétiste avec joie ?

    Ou le Secteur "FEMMES" dela CFDT ?

    BASTA YA, JODER !

    A.C

  • Martine, tu as déjà publié deux articles qui reprennent le même discours :

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article119859

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article120071

    on va peut etre arreter là non ??

    Bellaciao

  • s’il y a a beaucoup d’articles, c’est peut-être, "simplement" parce qu’il y a beaucoup de souffrance...

  • MARTINE LOZANO a une obsession : accuser la CGT d ’être un syndicat sexiste et machiste et pour celà elle n’hésite pas à dire que le magazine féminin de la CGT " ANTOINETTE"a été supprimé par les machos de la direction de la CGT , comme je l ai déjà écrit dans ma réponse du 5 septembre ce n est pas parceque l’on répète cent fois un mensonge que celà devient une vérité , je connais bien le problème D ANTOINETTE car notre entreprise était classée comme une des meilleurs diffiseurs d ANTOINETTE , aussi je me permets de faire reparaitre une partie de ma contribution pour couper court aux fantasmes de MARTINE LOZANO :

    " ...Comme dans beaucoup de sections syndicales CGT, c’est une copine qui avait en charge la diffusion d’ ANTOINETTE , je précise que le personnel de la CRAM était à l’époque composé de 80% de femmes , et si les premières années il était fréquent de vendre une bonne centaine d ’ ANTOINETTE , la vente, comme celle de la VO s’est essouflée jusqu’à devenir insignifiante .

    à l’époque, nous avions cherché à connaitre les motifs de cette désaffection, notre copine responsable de la diffusion a procédé a une enquête auprès des ex-lectrices et a confronté le résultat obtenu avec celui des autres diffuseurs lors de réunions organisées par la confédé( ce qui prouve d’ailleurs que celle-ci se souciait du sort d ’ANTOINETTE ) , et ce résultat était sans appel : les lectrices ne se reconnaissaient pas dans les articles et de plus les lectrices syndiquées à la CGT n’étaient pas satisfaites de la ligne éditoriale qui relèguait l’aspect revendicatif à la portion congrue .

    Fort de ce constat , la confédé a alors engagé des discussions avec le comité de rédaction de ANTOINETTE et s’est heurté à une fin de non recevoir , les responsables du magazine considéraient que ANTOINETTE était leur chasse gardée et qu’elles n’avaient pas besoin de la tutelle de la confédé . Cette fin de non-recevoir a rapidement dégénérée au conflit HOMME/FEMME, alors qu’il s’agissait tout simplement d’un conflit politique concernant la ligne du magazine féminin de la CGT .

    Il existe d’ailleurs une preuve que ce conflit était bien un conflit concernant le contenu du magazine qui s’éloignait exagéremment des positions de la CGT et n’avait donc rien à voir avec un quelconque problème sexiste :

    plusieurs membres du comité de rédaction et des journalistes ont été récupérées et embauchées par la presse féminine et ont depuis oubliées leur attache syndicale et leurs positions féministes en participant à la rédaction et la diffusion d’images et d’idées qui sont très loin d’assurer l’émancipation de la femme .

    En continuant de répandre l’idée que la CGT est sexiste MARTINE LOZANO se trompe de combat , ses allégations ne peuvent qu’aller dans le sens de l’antysindicalisme et donc revient à affaiblir les organisations qui défendent le droit au travail ".

    MERCI à BELLACIAO de mettre fin à la logorée anti-CGT de LOZANO qui va s’en nul doute hurler à la censure sexiste ...

  • C’est évident que Lozano aime les femmes,et par un heureux hasard,MOI AUSSI.

    J’ai une pensée particulière pour ma Cde L.....,une sacrée tireuse.....de sangliers ( 2 depuis le 15 août ) qui entre 2 battues apporte son militantisme à la CGT dans la joie et la bonne humeur.

    Mais pour avancer,chère Martine,surtout face aux injustices que tu dénonces il ne faut pas se mettre entre parenthèses comme tu le fais.Les injustices c’est l’affaire de tous,sans distinction de sexe.Désolé pour toi,mais,comme l’écrit Richard,c’est les femmes qui n’ont plus voulu d’"Antoinette" et de son contenu.

    Tu devrais avoir l’honnêteté d’en donner les raisons,plutôt que de partir en croisade contre la CGT.

    Il y a des cons(nes) partout,mais les cibler en fonction du sexe relève d’une étroitesse d’esprit qui heureusement est de plus en plus rare.

    Au travers de tes articles,c’est le côté anti-mec qui transpire au détriment du TOUS ENSEMBLES pour combattre le capitalisme et ses conséquences,en particulier chez les femmes.

    N’écoutes pas ce macho de AC,il est prêt à tout même à détourner les paroles d’évangile : " aimons nous les uns (sur ?) les autres ".

    Bises

    LR