Accueil > il faut souffrir pour être belle

il faut souffrir pour être belle

par MARTINE LOZANO

Publie le jeudi 26 janvier 2012 par MARTINE LOZANO - Open-Publishing
3 commentaires

il faut souffrir pour être belle

Ou être belle peut devenir dangereux pour la santé
C’est ainsi que ce proverbe sera illustrer par deux scandale sanitaire :
Le premier pour maigrir avec l’affaire du médiator
Et le second avec l’affaire des implants mammaires pip

Médiator : l’Inserm lance une étude sur l’évolution des atteintes cardiaques

Mais aujourd’hui on assiste à Du nouveau dans le Scandale des prothèses mammaires défectueuses : le fondateur de Pip est mis en garde à vue

Poursuivi pour escroquerie pour avoir utilisé du gel industriel des prothèses de Pip qui aurait notamment contenu du Baysilone, un additif pour carburants, ainsi que du Silopren et du Rhodorsil, produits utilisés dans l’industrie du caoutchouc. De nombreux cas de ruptures de prothèses ont été constatés.

Jean-Claude Mas, fondateur de la société Poly Implant Prothèse (Pip) à l’origine du scandale des prothèses mammaires défectueuse remplies avec un gel industriel non conforme, a été interpellé et placé en garde à vue ce matin (26/01/2012).

ce scandale concerne 30 000 femmes porteuses d’implants Pip en France – et 500000
Dans le monde

On apprenait hier dans le journal libération page 14 le décès de trois administrateurs qui avaient élaborés de s montages financiers complexes.

2 400 plaintes ont déjà été déposées.

Le gel industriel des prothèses de Pip aurait notamment contenu du Baysilone, un additif pour carburants, ainsi que du Silopren et du Rhodorsil, produits utilisés dans l’industrie du caoutchouc. De nombreux cas de ruptures de prothèses ont été constatés.

Martine Lozano

Mes précédents articles :

 Martine Lozano

Messages

  • Se soumettre aux critères "reconnus", c’est-à-dire sexistes, racistes et bourgeois , de la beauté, est hautement dangereux pour la santé des femmes. Combien de milliers de dépressions, de suicides, d’empoisonnements, de mutilations, chez les femmes à qui la société en permanence rappelle qu’elles DOIVENT améliorer leur physique ?

    • Il faut souffrir pour être belle » De l’Antiquité à aujourd’hui.
      les chinoises. Jusqu’à la moitié du XXe siècle, les femmes chinoises se voyaient obligées d’avoir les pieds bandés. C’était un élément esthétique important ainsi qu’un symbole de richesse, car cela voulait dire que la femme était née dans une famille suffisamment aisée pour ne pas travailler.
      En Afrique, le phénomène des femmes girafes, toujours en application aujourd’hui, est pas inconnu. Ces femmes doivent ajouter sur leur cou un collier serré qui par accumulation allongera le cou. Plus celui-ci est long, plus il est beau. Ce processus est entamé dès le plus jeune âge de la petite fille. L’espérance de vie de ces femmes s’en retrouve considérablement écourtée.

      En Europe, à la cour des reines et rois du Moyen-âge au XVIIIe siècle, la tenue des femmes était si exigeante physiquement que peu s’en fallait pour que ces dernières s’évanouissent. En effet, la taille excessivement fine était incontournable et pour y arriver de nombreuses femmes serraient leur corset au point de se casser des côtes ou de ne plus pouvoir respirer.
       ! Leur peau aussi devait être blanche voire livide, se privant donc de toute source de vitamine D, si essentielle à la santé des os.