Decisions récentes du PCF :"les baisés, comptez vous !"

Le"communiste de base" nepeut pas imaginer qu’il est encore adhérent d’un PARTI qui s’assigne comme MISSION ’apporter son concours à TOUS CEUX qui entendent que jamais, le COMMUNISME ne se fraye un chemin !

Cela lui semble si"gros" que parfois, il préfère "ne pas savoir"..
Pour ne pas souffrir.
Mais le débatentre révolutionnaires ce n’est pas du bisounours avec autocensure pourne pas déranger des certitudes.

L’avenir de mes gosses compte pluspour moi qu’un "sacré enc..é de Chancogne" que certains enfoirés.. murmurent à l’oreille de copains déboussolés ;

Tant pis donc si ce nouvel article sur B.C..fait enrager qutre pantins lignards, c’est à mes copains trompés, baisés dont on enterre un passé de Lutte de classes fait de dévouement, de sacrifices, qu’il s’adresse..

Ces Communistesencartés, majoritairement, ont cru voter POUR ou contre laparticipation gouvernementale et ont donc quasi unanimement suivi la décision du Conseil National...

Mais certains avaient bien repéré l’enfumage, la magoulle !

Ils avaint lu le bulletin de vote..

http://www.pcf.fr/sites/default/files/bull_vote_consult_communistes.pdf

et notamment son point 3

> 3. Les résultats des campagnes électorales du Front de gauche, la mise en mouvement populair et citoyenne qui les a portées, nous invitent à poursuivre et à amplifi er la démarche engagé avec le Front de gauche.

Ce qu’un secrétaire de section, courageux a battu en brêche

http://vivelepcf.over-blog.fr/article-consultation-des-communistes-du-18-juin-non-au-front-de-gauche-qui-pulverise-nos-forces-vives-107157110.html

Consultation" des communistes du 18 juin :

"non au Front de gauche qui pulvérise nos forces vives". Section de Jarny (54)

ASSEMBLEE GENERALE DU 18 juin 2012 à 18 h

avec CONSULTATION DES COMMUNISTES

31 camarades de la section du Parti Communiste du Jarnisy en Meurthe et Moselle se sont réunis en assemblée extraordinaire pour répondre aux questions posées par le Conseil national de notre parti.

Après un large débat sur les orientations du conseil national et du rapport de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF qui suivent immédiatement les élections législatives, il en ressort que la stratégie Front de Gauche, ce cheval de Troie, pulvérise de l’intérieur nos forces vives. Il ne satisfait que les ambitions personnelles malgré les échecs successifs à chaque élection (pertes de représentation aux régionales, cantonales, sénatoriales, législatives). La Direction nationale porte aujourd’hui l’entière responsabilité de ces échecs.

Cette volonté de rassemblement sans ivresse et sans excès, cette volonté de polir nos fondamentaux, est incompatible avec la lutte de classe et étouffe les ambitions de tout un peuple. Une analyse critique des choix et orientations de ces 15 dernières années qui nous ont amenés aux résultats catastrophiques de ces législatives, nous ont éloignés des victimes de la crise et de ces millions de salariés dans la désespérance.

Notre Parti a pour vocation, pour essence, la volonté de diriger à tous les niveaux de l’état, mais aujourd’hui les conditions ne sont pas réunies pour y participer et construire une gauche forte et puissante pour être utile à notre peuple.

La section PCF du Jarnisy considère par conséquent que cette consultation est une mascarade, que les conditions extrêmement contraignantes ne permettent pas de donner à tous les communistes, le recul nécessaire à la réflexion.

Cette consultation précipitée représente un déni de démocratie dans notre Parti.

Par leur vote les 31 camarades présents rejettent à l’unanimité ce texte.

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Reste pour les communistes français une question d’actualité : comment poursuivre le combat révolutionnaire ?

Jean Baus

Ce camarade voit sa courageuse dénonciation d’un VOTE scandaleux de pure manipulation, ..confirmée inconsciemment par l’HUMANITE.

Qui rappelle aux cocos qui auraient pensé voter simplemnt sur la participation..qu’en fait..ils ont plébiscité..

Le choix du Front de gauche :

C’est le titre de l’article ci-dessous signé de Mina KACI !!

Les militants du PCF veulent poursuivre 
et amplifier la démarche de la coalition.

Faut-il poursuivre l’aventure Front de gauche  ? La question semble balayée dans l’esprit des communistes, qui ont approuvé «  massivement  », selon le rapporteur Jacques Chabalier, la troisième partie portant sur ce sujet dans le texte soumis à leur vote, lundi et mardi. La question ne se pose plus à condition toutefois que le PCF garde son entière autonomie, soulignent de nombreux participants à la conférence nationale.

En abandonnant son objectif de transformer la coalition en une formation unique, Jean-Luc Mélenchon a forcément permis d’atténuer le doute qui subsistait chez la majorité des communistes. C’est d’ailleurs l’un des arguments qui pousse Hervé Poly, responsable départemental du PCF du Pas-de-Calais, à s’engager pleinement dans cette stratégie, et à avoir accepté d’être le suppléant de l’ex-candidat dans la circonscription d’Hénin-Beaumont. Cependant, lui, comme tant d’autres reconnaissent que «  si le Front de gauche explose, tous les partis qui le composent exploseraient avec lui  ».

Mais, pour certains participants à la conférence nationale et aussi aux assemblées locales, le choix du Front est guidé par le fait «  qu’il n’y a pas d’autre alternative  » à cette nouvelle construction politique, née en 2008, comme l’illustre le propos d’Yves Dimicoli (Paris). Une conviction qui l’incite à demander «  une évaluation  » du Front de gauche. Il n’est pas le seul à la vouloir. La direction tout entière souhaite impulser un bilan critique de la période actuelle. Et répondre ainsi à la question posée dans le rapport introductif  : «  Quel objectif politique fixons-nous à notre rassemblement  ? Faut-il attendre l’échec du gouvernement socialiste, ou créer un espace de rassemblement pour transformer les choses  ?  » Légitimes interrogations au lendemain de la reprise du pouvoir par le Parti socialiste. Questions d’autant plus importantes que le débat entre communistes sur le positionnement du Front de gauche, notamment à l’égard du PS, reste vivace depuis sa création. Élisabeth Gauthier (Essonne) parle d’un «  Front de gauche rassembleur, en toute autonomie, sans être anti-PS. Il faut une ligne claire, loin des zigzags  ». Tandis qu’Yves Dimicoli estime que «  personne ne peut prétendre qu’on n’arrivera jamais à faire bouger le PS  ». Et de critiquer vertement la campagne «  Front contre Front  » promue par Jean-Luc Mélenchon. Pour sa part, Alain Hayot (Bouches-du-Rhône) note  : «  Nous n’apparaissons pas toujours comme une force politique porteuse d’un projet global et cohérent susceptible de créer une alternative au capitalisme.  » Mais les communistes semblent parler d’une même voix quant à leur objectif de «  construire un rassemblement populaire  ». Le Front de gauche leur paraît la force à même d’impulser cette démarche. De nombreux intervenants font part de l’élan suscité lors des campagnes législatives et, surtout, présidentielle. «  Le Front de gauche nous a permis de sortir du trou dans lequel nous étions  », affirme Fabien Roussel (Nord). En dépit de l’immense déception d’avoir perdu des députés, aucun, à l’exception d’André Gerin (Rhône), n’entend remettre en cause le Front de gauche. Au contraire, le maître mot, ici, est «  amplification  ». Comment y parvenir  ? Telle est la nouvelle interrogation. «  Quelle place accorder, et dans quel cadre, à celles et ceux de nos concitoyens qui veulent s’investir à part entière dans le Front de gauche, sans pour autant devenir membres d’une des forces qui le composent, ni même d’ailleurs d’un Front de gauche qui deviendrait lui-même un parti politique  ?  » Vaste programme contenu dans le rapport introductif. Plusieurs intervenants souhaitent la réactivation des «  assemblées citoyennes  », qui avaient été impulsées au moment de la campagne électorale sur quasiment tout le territoire. Le débat est lancé au sein du PCF. Il se poursuivra entre toutes les composantes du Front de gauche, les 25 et 26 août, à Grenoble, à son université d’été, rencontre ouverte aux militants «  qui se sont investis dans la démarche de ces derniers mois  », précise Pierre Laurent, secrétaire national du PCF.

On ne peut que partager l’appréciation sur le blog du PCF Section de Saint Quentin-Aisne ( pcfsaintquentin.uniblog.fr)

Tout cela pose la question de la poursuite de la stratégie du Front de gauche. Sa faculté de rassemblement durable sur des objectifs de rupture est nulle, on le constate. Le projet de recomposition politique supplantant le PCF ne cesse de se confirmer comme son orientation réformiste et sa structure de parti électoraliste tourné vers les catégories moyennes « politisées ».

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Les grandes luttes qui se préparent vont avoir besoin des communistes !

Seul "petite" divergence de ma part, la conclusion du copain

Reprenons en main notre parti, le PCF !

1/Tu reprendras RIEN en mains

2/Ton parti , qui fit le mien 32 ans...ce n’est plus pour les masses "LE" PARTI"

Je plaide pour que nous prenions en mains..., dans des milliers et milliers de mains , NOS LUTTES et la CONSTRUCTION de ce qui sera vraiment NOTRE PARTI,

Révolutionnaire, parce que marxiste , ... que trois douzaines de"chefs" ne controleront pas pour organiser en coulisses, les zigs et les zags opportunistes , collant aux intérêts persos des apparatchiks, des"élus", des"notables" des permanents !

Cordialement

A.C