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LE PAON ANNONCE SA DEMISSION

par RICHARD PALAO

Publie le mardi 6 janvier 2015 par RICHARD PALAO - Open-Publishing
20 commentaires

BFM TV 17H15 annonce que T LE PAON et 8 membres du bureau confédéral vont remettre leur mandat à la disposition du CCN

si cette info est confirmée ,il s’agit d’un premier pas important vers la destitution de ceux qui ont plongé la CGT dans une crise morale inédite et qui ont aggravé la dérive réformiste entreprise depuis VIANNET ;

reste au CCN à prendre ses responsabilités : IL DOIT VALIDER LA DEMISSION DE T LE PAON et des 8 membres du BC , fixer la date du congès avancé pour élire une nouvelle direction qui sera chargée de remettre la CGT en ordre de marche sur une ligne de classe

Messages

  • Le Monde 17:29

    Démission de Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGTLes membres du bureau confédéral de la CGT, dont le secrétaire général Thierry Lepaon, ont décidé de remettre leurs mandats à la disposition du Comité confédéral national, le parlement du syndicat, qui se prononcera le 13 janvier.

    • Le Figaro 17H13 :

      Le leader de la CGT Thierry Lepaon et son bureau proposent leur démission

      Thierry Lepaon et les huit autres membres du bureau de la CGT vont remettre leur mandat à la disposition du "parlement" du syndicat, selon une source interne citée par l’AFP.

      Lors de leur réunion lundi soir les neuf membres du bureau - le dixième administrateur-trésorier, Eric Lafont ayant déjà démissionné- ont décidé de remettre leur mandat à la disposition du CCN, celui-ci pourrait les rejeter ou les reconduire.

    • AFP 6 janvier 2015 à 17:23

      Les membres du bureau confédéral (direction resserrée) de la CGT, incluant le numéro un Thierry Lepaon, ont décidé de remettre leur mandat à la disposition du Comité confédéral national (CCN, « parlement » de la centrale) le 13 janvier, mais cela n’équivaut pas à une démission, a appris mardi l’AFP auprès de la CGT.

      Lors de leur réunion lundi soir les neuf membres du bureau - le dixième administrateur-trésorier, Eric Lafont ayant déjà démissionné- ont décidé de remettre leur mandat à la disposition du CCN, celui-ci pourrait les rejeter ou les reconduire, a-t-on indiqué.

    • Leïla de Comarmond / Les Échos Le 06/01 à 17:37

      CGT : Thierry Lepaon remet son mandat au Parlement

      Le secrétaire général de la CGT a réussi à éviter a évité l’affront suprême d’une démission isolée ou d’une révocation par son parlement. Tous les membres du bureau confédéral vont «  remettre [leur] mandat  » à la disposition du Comité confédéral national de la CGT le 13 janvier.

    • remettre son mandat au CCN ce n’est pas démissionner. Soyons prudents car ce genre de manœuvre il en existe dans tous les instances. Tous les responsables de FD et d’UD sont permanents et vont à la gamelle...

  • Les membres du bureau confédéral (direction resserrée) de la CGT, incluant le numéro un Thierry Lepaon, ont décidé de remettre leur mandat à la disposition du Comité confédéral national (CCN, "parlement" de la centrale) le 13 janvier, mais cela n’équivaut pas à une démission, a appris mardi l’AFP auprès de la CGT.

    Lors de leur réunion lundi soir, les neuf membres du bureau - le dixième administrateur-trésorier, Éric Lafont ayant déjà démissionné- ont décidé de remettre leur mandat à la disposition du CCN. Celui-ci pourrait alors les rejeter ou les reconduire, a-t-on indiqué.

    Le secrétaire général Thierry Lepaon vient d’annoncer devant la Commission exécutive, direction élargie de la centrale réunie depuis la matinée, que le bureau, y compris lui-même, ont décidé de mettre à disposition leur mandat au CCN, ce qui ne veut pas dire qu’ils démissionnent, a précisé la CGT.

    Cette décision doit « être votée » par la Commission exécutive dont la réunion se poursuivra mercredi, a-t-on ajouté.

    La Commission exécutive de 56 membres est réunie à huis clos pour des débats qui doivent durer deux jours avec au menu le sort du numéro un, empêtré dans des affaires liées à ses dépenses.

    De nombreuses voix se sont élevées à la CGT pour demander sa démission, notamment celle de l’ex-dirigeant Louis Viannet.

    https://fr.news.yahoo.com/cgt-lepaon-va-remettre-mandat-%C3%A0-disposition-parlement-162305241.html

  • Parenthèse irréelle, ce mardi à la mi-journée, dans le grand patio du complexe immobilier de la CGT à Montreuil. A midi et demi, son secrétaire général, Thierry Lepaon, a réuni les salariés de la centrale dans le grand patio pour... leur présenter ses vœux pour 2015. Les affaires financières dans lesquelles il est impliqué ont provoqué une grave crise, ne lui laissent plus le choix qu’entre la démission et la révocation, après l’intervention de l’ancien numéro un Louis Viannet qui lui a demandé lundi de «  remettre son mandat  » au Comité confédéral national (parlement) de la CGT le 13 mai. Mais si Thierry Lepaon a évoqué la «  crise  » que traverse la CGT, c’est pour encore une fois affirmer que le syndicat «  a besoin d’être sur le pont  » et que «  si on lui veut du mal, c’est parce qu’elle gêne  », selon des participants. Juste avant, ce mardi matin, face à la commission exécutive réunie pour deux jours sur les affaires, Thierry Lepaon n’avait pas desserré les dents.
    Pas de démission collective

    La réunion de la CE s’est poursuivie l’après-midi dans un climat «  très tendu  » selon un participant. La pression a été forte de la part de ceux qui continuaient à soutenir le secrétaire général malgré les nouvelles révélations de la journée sur sa retraite et son salaire pour obtenir une démission en bonne et due forme de tout le bureau confédéral - l’équipe de 8 personnes depuis le départ du trésorier, qui constitue la direction resserrée de la centrale. Mais le scenario n’a pas fonctionné à plein. Il n’y aura pas de démission collective qui aurait de fait entraîné tous les membres du bureau confédéral dans la chute de Thierry Lepaon. Chacun d’entre eux va «  remettre son mandat  » à la disposition du Comité confédéral national. Le leader syndical s’est obstiné à refuser de démissionner et prend donc le risque d’un camouflet le 13 janvier puisque le CCN se prononcera sur son renouvellement ou non. Et que l’issue d’un tel vote ne fait pas grand suspense.
    Stratégie de défense mise à mal

    Si Thierrry Lepaon espérait que ce qui constitue la direction élargie de la CGT (56 membres) lave son honneur pour adoucir son départ, il n’a pu qu’être déçu et cela scelle son sort. Au programme figurait le bilan des travaux de la Commission financière de contrôle de la confédération, chargée de faire la lumière sur les coûteux travaux réalisés dans son logement de fonction et son bureau ainsi que les 100.000 euros dépensés par la CGT pour son transfert du comité régional de Normandie à la direction de la confédération (dont 26.650 euros de prime de départ faussement justifiés par un préjudice de retraite ). Cette commission financière avait jusque là surtout été soucieuse de ménager Thierry Lepaon. Mais aiguillonnée par quelques uns de ses membres et sous la pression de l’exaspération militante, elle a vraiment commencé à enquêter. Le compte rendu de ses travaux de ce mardi met à mal la stratégie de défense de Thierry Lepaon qui a toujours affirmé qu’il n’avait pas participé aux décisions concernant les différents travaux financés par la CGT, invoquant une responsabilité «  collective  » dont il s’excluait. Or, selon un participant à la réunion, parmi les révélations de la commission, il y a le témoignage de la société qui les a réalisé, selon lequel c’est la compagne du secrétaire général qui «  donnait les ordres  », ce que conteste ce dernier.

    http://www.lesechos.fr/economie-france/social/0204058450520-cgt-thierry-lepaon-remet-son-mandat-au-parlement-1080707.php

  • C’est une tres tres bonne nouvelle, la preuve que lorsqu’on résiste avec fermeté on peut gagner.On resiste parceque la vie du syndicat est en jeu et par vie j’entends une organisation de défense pied à pied de tous nos interets de classe contre le rouleau compresseur du Medef et du gouvernement. Mais il ne faut pas baisser la garde c’est une étape , il faut tenir à un congres sur des orientations à débattre la lutte contre la bureaucratie redonner la pouvoir à la base , elargir les luttes , avoir des tactiques de généraliser les luttess sur l’emploi contre les lois d’austerite. cela est possible alors continuons la mobilisation et nous gagnerons un congres historique de reprise en main par les ouvriers de son organisation. J’ai un compagnon en fin de droit qui continue à payer 15 euros par mois pour le syndicat pour entretenir des bureaucrates ou pour defendre les chomeurs et les salariés qui voient tous les jours leur usine fermées.

  • c’est la compagne du secrétaire général qui «  donnait les ordres  »

    http://www.lesechos.fr/economie-france/social/0204058450520-cgt-thierry-lepaon-remet-son-mandat-au-parlement-1080707.php?DEHsjZKq0EVdLQo1.99

    Je m’en doutais..

     :)

    Il faut modifier les statuts et comme pour les Curés exiger le célibat et la chasteté des "chefs" !!

    Je pense que la "compagne" de Viannet, en partagent une tasse de thé avec la femme de HUE, a connement décidé avec sa copine, de foutre à la poubelle les principes fondamentaux de la Lutte des Classes., avec des vieiiles robes usagées et hors-mode.

    Quant à la"meuf" de Thibault...elle le poussait à fréquenter Soubie,à picoler son whisky, et avait éxigé qu’il n’aile pas se montrer devant le Tribunal qui jugeait le dangereux terroriste Xavier des Contis !

    Fallait s’appeler Aragon pour voir dans "La Femme "je ne sais quel avenir de...l’homme
    "

    THIERRY, annonce que tu la répudies, tu peux sauver ta place !

    Pardon de rigoler, alors c’est tellement triste et con à la fois, tout cet enfumage autour des" travaux" (certes une insulte au militantisme)..mais simple dommage collatéral "normal" d’un long (trop long) scénario ou quelques voyous ont contribué à poignarder dans le dos ceux qui , chaque jour, monte à l’assaut du Capital prédateur..

    • LES MANOEUVRES D’AVANT écrit hier soir

      Louis Viannet vient d’exiger la démission de Thierry Lepaon. C’est comme si Robert Hue demandait la démission de Pierre Laurent.

      La trêve des fêtes n’a pas été une période de tout repos pour les réformistes du conseil d’administration qui entendent sauver leur poste en sacrifiant d’abord le comptable puis le patron, en s’appuyant en dernier recours, sur le patriarche.

      Mais ce conseil d’administration a-t-il entendu ceux qui sont à la production ? Pas sûr et même Non, car personne ne parle de la restructuration de la CGT, de ses fusions/absorptions, et de sa réorganisation en filiale… débutées sous le règne du patriarche.

      Certes le malaise dans la boîte vient bien de quelque part, mais ce n’est de quelques milliers d’euros dépensés par un trader pour faire plaisir au patron, que vient le mal, pourtant presses et réformistes nous amènent dans cette voie si facile qu’elle en devient douteuse comme un traquenard.

      Le calcul des réformistes est dangereux, en poussant le patriarche (Viannet) à se positionner pour la démission du PDG (Lepaon), ils entendent après avoir virer le Directeur Financier (Laffont), griller l’assemblée des actionnaires (CCN) et ainsi sauver leurs postes.

      Mais le problème peut venir des petits actionnaires (les syndiqués) et de leurs agents locaux (les UL…) qui risquent de crier au scandale en voyant ceux qui ont menés l’entreprise dans la crise, rester en place. La baisse de la valeur des actions CGT le 4 décembre a semé le doute, pourtant la stratégie du business-plan ne semble pas remise en cause, au contraire.

      Il y a un risque d’éclatement de cette vieille institution de 120 ans qui pourtant a été le fer de lance de la classe ouvrière et des travailleurs, car à la lutte des classes c’est substituer la lutte des places comme dans les autres centrales qui collaborent depuis leur création avec le système capitaliste qui leur a offert des places et des avantages.

      La solution est certes compliquée à gérer, mais si le conseil d’administration n’est pas débarqué dans son ensemble par l’assemblée représentant les actionnaires, ce sera considéré comme un aveu d’impuissance et un délit d’initiés… qui achèveront un cycle.

      Allons-nous assister en direct à la victoire des réformistes et du capital sur les travailleurs, soit elle une victoire provisoire liée aux traîtrises internes et aux coups foireux externes pour prendre cette vieille forteresse de la classe ouvrière ?

      La situation est grave mais pas désespérée, il y a encore des militants honnêtes et lucides, du moins espérons le.

      Réponse dans les prochaines heures !

    • ""THIERRY, annonce que tu la répudies, tu peux sauver ta place !""
      non rien de ça, n ’est demandé !
      MAis en revanche refuser tout népotisme ,c ’est nécéssaire .
      Qui n’ pas connu ces arrangements entre mari et femme,mari et maitresse etc...
      quand une structure est hierarchisée comme une firme capitaliste,que les places sont des sinécures,oui les dérives insupportables sont monnaie courante.

  • Manque plus que les photos volées de la réunion .....
    Jamais Les Échos n’aura fait autant de papier sur la CGT !
    Je conseillerais aux travailleurs en lutte AVEC La CGT- de transmettre à ce journal, l’ ÉCHOS de leurs actions !!!

    • Ce qui étrange dans cette histoire ce sont les leçons des vierges effarouchées du journalisme, les salariés de la presse sont irréprochables avec leurs seigneurs ?

      Jamais de critiques, jamais de colère contre les éditos, jamais rien sauf contre les autres les syndicalistes , voila ou ça mène de tendre le bâton pour se faire battre.

      Allez c’est à charge de revanche tout cela, on pari que la presse papier va se goinfrer de subventions et tenir des discours libéraux sans complexe.

      La liberté de la presse ne s’use que quand on ne s’en sert pas, ARNAULT DASSAULT et croquignols ne se gênent pas... ils se servent allègrement.

      Les journaux c’est comme les pansements il faut en changer de plus en plus souvent.

    • ""Manque plus que les photos volées de la réunion .....
      Jamais Les Échos n’aura fait autant de papier sur la CGT !
      Je conseillerais aux travailleurs en lutte AVEC La CGT- de transmettre à ce journal, l’ ÉCHOS de leurs actions !!!
      ""

      j’aimerais bien que les débats soient publics ,c ’est parceque rien n ’est dévoilé que la cgt est passé carrément à une cfdt bis !!
      et les journaux aux ordres des capitalistes, parfois et c ’est une honte pour la cgt,donnent des infos vraies et cachées des militants.
      tu oublies Lagardère et son journal ...l’Huma !!

  • La démission de la direction de la CGT est une priorité.
    La priorité suivante est la tenue d’un Congrès extraordinaire.
    Encore faut-il que ce Congrès soit démocratique et que les salariés de base puis s’exprimer en toute connaissance et sans pression et sans nomination truquée des délégués au Congrès.
    Il y a urgence à la tenue de ce Congrès mais laissons le tempsde préparaton nécessaire à sa tenue démocratique.
    Un retraité de la CGT

  • Je suis militant Force Ouvrière et ne partage pas les asseaux médiatiques sur un syndicat ou un autre, qui rappelons-le défendent au quotidiens tous les travailleurs, y compris ceux qui travail pour la presse. Alors même si je ne partage pas les positions de cette centrale syndicale, nous ne devons pas nous tromper de cible.
    Ne nous laissons pas abuser d’une certaine presse qui a pignon sur rue et qui passe son temps à la propagande. En effet, entre la planète qui se réchauffe, l’appartement d’un syndicaliste, les cigares d’un autre ou les émissions de télé-trash pour voyeurisme avec ses stars people à fortes poitrines, je commence à en avoir assez de toutes ses "info poubelle", qui ne servent qu’a détourner la réflexion du peuple et camoufler la réalité des plans d’austérités dictés par la Troïka depuis Bruxelles.
    Fraternellement.

    Bernard SAAS

    • "" je commence à en avoir assez de toutes ses "info poubelle", qui ne servent qu’a détourner la réflexion du peuple et camoufler la réalité des plans d’austérités dictés par la Troïka depuis Bruxelles.
      Fraternellement.""

      fort bien mais sur le fond,corruption ,détournements de fonds,arrivisme, abandon de la lutte de classe ,donc abandon de la défense réelle des salaries(contrairement à ce que tu écris) tu dis quoi ?
      info poubelles ? non infos vraies !!

    • aussi vraies d’ailleurs que celles qui révèlèrent la"naissance deF.O", made in CIA et AFL CIO

      D’ailleurs le camarade SASS, mieux que moi connait les statuts de FO
      http://www.force-ouvriere.fr/Les-statuts-de-la-Confederation

      l juge utile de se saisir ce qui implique qu’il ait la pleine maîtrise de sa structure, de son administration et de ses actes, sur le plan revendicatif et gestionnaire, selon l’esprit ayant inspiré en 1906, le Congrès Confédéral d’Amiens.

      charte d’AMIENS
      http://www.ihs.cgt.fr/IMG/pdf_Charte_d_amiens.pdf

      Le Congrès considère que cette déclaration est une reconnaissance de la lutte de classe, qui oppose sur le terrain économique, les travailleurs en révolte contre toutes les formes d’exploitation et d’oppression, tant matérielles que morales, mises en oeuvre par la classe capitaliste contre la classe ouvrière. Le Congrès précise, par les points suivants, cette affirmation théorique : dans l’oeuvre revendicatrice quotidienne, le syndicalisme poursuit la coordination des efforts ouvriers, l’accroissement du mieux-être des travailleurs par la réalisation d’améliorations immédiates, telles que la diminution des heures de travail, l’augmentation des salaires, etc. Mais cette besogne n’est qu’un côté de l’oeuvre du syndicalisme ; il prépare l’émancipation intégrale, qui ne peut se réaliser que par l’expropriation capitaliste ; il préconise comme moyen d’action la grève générale et il considère que le syndicat, aujourd’hui groupement de résistance, sera, dans l’avenir, le groupe de production et de répartition, base de réorganisation sociale

      chutt..pasun mot aux syndiqués FO...Ya que la Cégèt qui est en cause dans ce débat...

      Camarade SASS, ces questions "secondaires".." ne servent qu’a détourner la réflexion du peuple et camoufler la réalité des plans d’austérités dictés par la Troïka depuis Bruxelles. "

      N’est ce pas ?