Accueil > Débâcle du PS

Débâcle du PS

par Aspaar

Publie le jeudi 26 mars 2015 par Aspaar - Open-Publishing
3 commentaires

Des départements ou les résultats des candidats du PS et l’union de la gauche" (avec un socialiste dans le binôme ) , est inferieur à 10%

Alpes-Maritimes (06) :
PS : 6,30% + Union de la Gauche : 3%

Aube (10) :
PS : 4,81% + Union de la Gauche : 2%

Vosges (88) :
PS : 4,89% + Union de la Gauche : 5%

Eure-et-Loir (28) :
PS : 7,27% + Union de la Gauche : 2,30%

Haute-Corse (2B) :
PS : 4,44%

Haut-Rhin (68) :
PS : 4,38%

Haute-Savoie (74) :
PS : 2,03% + Union de la Gauche : 3,26%

Jura (39) :
PS : 2,79% + Union de la Gauche : 4,90%

Lozère (48) :
PS : 4,41% + Union de la Gauche : 3,26%

Manche (50) :
PS : 9,09%

Mayotte (976) :
PS : 4%

Messages

  • DANS LE 66 LES COMMUNISTES DU FRONT DE GAUCHE ont sur ordre de melenchon, insultés,critiqués,les militants et les responsables duP.S Et vlà que les binomes coco.ps s’accoquinent,pour des places, et certains veulent ENCORE CUMULER ? Non leur politique est bidon. Aucune confiance dans ses alliances.Les militants du P.C sont tellement déçus qu’ils voteront sans doute, en fonction de leur dégout ou colère........

  • Parmi les candidats du second tour on compte 959 cadres, 838 fonctionnaires, 910 employés du secteur privé et 477 chefs d’entreprises

    Plus spécifiquement, 173 candidats sont commerçants, tandis que 164 sont enseignants et 111 avocats. Le secteur médical est bien représentés avec 325 candidats, tout comme les agriculteurs au nombre de 334.

    En revanche seuls 98 candidats sont ouvriers, 93 ingénieurs , 88 artisans et 81 techniciens .

    Dans 35 cantons, des candidats communistes ou du Front de gauche & 2 candidats écologistes sont opposés au parti de la peste brune.

  • Présenter des résultats sous forme de pourcentage, c’est, à la base, caricaturer en tronquant le fondamental de l’action démocratique et politique.
    Bien plus important serait de se focaliser sur le flux et le reflux, la capacité de convaincre et de faire adhérer à son programme, ses idées, ses choix, ses convictions, ses fondamentaux.
    La seule vraie valeur significative étant la comptabilisation du nombre de bulletins de vote. Et la variation par rapport à un scrutin précédent (qui peut, elle, s’afficher en pourcentage) est le seul indicateur qui permet d’exprimer s’il y a une mise en mouvement, une adhésion (qui ne traduit pas forcément une compréhension) au programme proposé.
    L’actuelle mascarade des éléctions et de la façon dont les résultats sont publiés, démontre bien que tout se résume à de la communication à un point tel qu’on peut se passer de propositions tangibles et étayées.
    Comme on continue à régresser, d’aucuns avancent l’argument de rendre le vote obligatoire, le grâal de la légitimation du néant.
    Ne ferait-on pas mieux de penser à une sorte de "permis de citoyenneté" ?
    Même si , ici, on peut saluer l’imagination de data mining (filtrage de données).