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Des oligarques européens avouent, l’Euro ne serait en fait qu’une "monnaie de singe"

par nazairien

Publie le mercredi 1er juillet 2015 par nazairien - Open-Publishing
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On apprend de la bouche d’un certain Coeuré, adjoint de Draghi, que l’Euro ne serait
considéré, que comme une "monnaie de singe" . Gouda pourrait alors dire, "une monnaie de singe pour les sans dents" .

La Grèce doit-elle imprimer des vrais-faux euros ?

https://fr.finance.yahoo.com/actualites/grèce-doit-imprimer-vrais-faux-euros-120427242--finance.html

Pour sortir de la crise, le gouvernement grec et la banque centrale de ce pays n’ont qu’à oser faire acte de souveraineté et d’autorité jusqu’au bout et imprimer le montant d’euros nécessaire à leur survie. Ils ne feront que traduire concrètement l’absurdité du système monétaire européen mis en place en 2002.
1 - Voilà une idée qu’elle est bonne !

Dans la salade grecque servie actuellement par les bouis-bouis de Francfort, Bruxelles et Washington, personne ne reconnaît plus ses légumes. La Grèce ne rembourse plus et les doctes institutions internationales sont fort marries de ce "défaut" mais ne savent pas exactement quelles conséquences en tirer, notamment sur l’appartenance du pays à la zone euro. On dit que la BCE continuera à fournir des liquidités aux banques grecques mais sans trop savoir ni quelle quantité ni combien de temps.

Cette situation absurde n’est que le reflet du vice fondamental de l’Euroland : une monnaie unique sans Trésors communs, avec des banques centrales nationales qui survivent et des taux d’intérêt divergents. Poussons donc le raisonnement jusqu’à l’absurde, car souvent c’est par la déraison qu’on retrouve le chemin du bon sens. La Grèce doit approximativement 350 milliards d’euros à ses créanciers qu’elle ne pourra en aucun cas rembourser, surtout avec un taux de change de sa monnaie qui l’handicape encore gravement dans les échanges internationaux. La BCE est prête, nous dit un dénommé Coeuré, adjoint de Draghi, a faire usage des presses à monnaie de singe dont elle dispose déjà (QE, OMT) voire à en inventer de nouvelles ! Quand les bornes budgétaires sont franchies, il n’y a plus de limites à l’égarement des banquiers centraux ...

Mais au fond, dans cette transgression généralisée, ne faut-il pas aller jusqu’au bout ? N’oublions pas que la BCE n’imprime pas elle-même la monnaie fiduciaire qui, en dernière analyse et pour le grand public, matérialise l’action (...)lire la suite sur Atlantico

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