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26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !
par Alain Chancogne relayant B.Sankare
Publie le dimanche 26 juillet 2015 par Alain Chancogne relayant B.Sankare - Open-Publishing8 commentaires
Avant-propos :
Il ya des Hommes qui font l’HISTOIRE.. et ceux, hélas, qui n’ont été , sont et ne seront toujours que les tristes marionnettes dont le CAPITAL tire les ficelles , pour qu’ils occupent la scène , et ""distraient" les masses de ce qui demeurerFONDAMENTAL :à savoir , comme disait le viel HUGO que
"ceux qui VIVENT, ce sont CEUX QUI LUTTENT"
Nos enfants et petits enfants, j’en suis convaincu par optimisme révolutionnaire, apprendront qu’il y eut, depuis la nuit des temps des "chefs" pronant la résignation, le "moindre mal" , dos courbé quand soufflent les rafales de tempête d’injustices, de crimes contre l’"humain"
– Ils apprendront ainsi que ceux qui avaient trahi l’Espagne du FRENTE POPULAR votèrent massivement les pleins pouvoirs à PETAIN, qu’un Hollande s’empressa de nouer autour de sa taille son tablier de larbin de Gattaz, qu’un Tsipras se rendit à Bruxelles avec la corde offerte au Capitalistes pour qu’on garrotte son peuple, qu’un Iglesias se mit à jouer de la guitare d’alternance sans risque au FMI et autres saigneurs du millénaire
Que des Laurent abandonnèrent la faucille et le marteau pour la pelle et la pioche, afin de tenter d’ensevelir leCOMMUNISME, après avoir repeint en rose les façades du siège d’un PARTI qui fut longtemps l’"avocat inconditionnale" de celles et ceux qui souffrent et espèrent
- Mais, parce que je ne parie pas sur le malheur du retour en Barbarie, ils apprendront aussi qu’un Spartakus sonna la révolte des esclaves , qu’un Robespierre fit trembler les tyrans de cette"Europe" dont Coblentz annonaçait Maasstricht.
Ils apprendront quun certain 26 JUILLET, un petit groupe dde 150 "fous" osa montrer au monde que les"puissants" , ça s’affronte !
Que ce moine dont j’ai oublié le nom avait bien raison de lancer le fameux :
"IL n’est de grands hommes que parce que nous les regardons à genoux.LEVONS NOUS
En ce dimanche matin , merci à Boubacar Sankaré de nous offfrir cet article qui me permet de saluer ici, lagrande REVOLUTION CUBAINE qui fête aujourd’hui son anniversaire
26 juillet 1953 : 150 jeunes cubains attaquent la caserne de La Moncada
C’était à Cuba le 26 juillet 1953, quand un groupe de 150 jeunes révolutionnaires, emmené par Fidel Castro, a mené une opération contre la caserne de la Moncada située à Santiago de Cuba.
Il y a 61 ans que Fidel Castro, alors commandant des troupes rebelles de Cuba et ses compagnons guérilleros, attaquaient le plus célèbre camp militaire de Cuba, Moncada, situé dans la partie orientale du pays, à Santiago. Objectif de l’opération : anéantir le pouvoir dictatorial et sanguinaire qui régnait à l’époque, sur l’île. L’assaut qui s’était soldé par un échec aura tout de même marqué le début de la fin d’une des dictatures les plus sanguinaires en Amérique. Rétrospective sur un événement majeur dans l’histoire de Cuba.
Dans la nuit d’un certain 12 Mars 1952, Filgencio Batista appuyé par les USA réalisait un coup d’Eta à Cuba. Quelques heures après les faits, Fidel Castro jeune avocat, dénonçait le chaos qui en suivait. Par conséquent, il invitait le peuple cubain à la lutte contre le nouveau régime.
Fidel a ainsi réuni autour de lui, un groupe de jeunes avec lesquels, il est resté plusieurs mois dans l’expectative, prêt à collaborer avec toute organisation décidée à lutter pour le renversement du laquais américain, Batista.
La tactique du jeune avocat consistait à utiliser les formes les plus diverses de la lutte tout en donnant le rôle fondamental à l’insurrection populaire. Mais, il fallait donner l’exemple de l’audace, de la témérité et surtout de patriotisme. C’est ainsi que, le 26 Juillet 1953, El « commandante en jefe » en compagnie de ses camarades de lutte décidait d’attaquer l’une des plus célèbres casernes militaires de Cuba, « El Cuartel Moncada ».
Avant l’assaut, il s’adressa à ses « companeros », en ces termes : « Camarades : dans quelques heures, vous pourriez être vainqueurs ou vaincus, mais de toute façon, écoutez-moi bien camarades, le mouvement triomphera… Dans le cas contraire, notre geste servira d’exemple au peuple de Cuba pour reprendre le flambeau et aller de l’avant ».
Ainsi, dans la nuit du 26 juillet 1953, l’attaque du camp militaire est effectuée avec une poignée d’hommes qui accompagnaient le commandant Castro.
La bataille a été meurtrière et la tentative de prise du camp militaire, fut un échec. Fidel et ses hommes, ou plutôt ceux qui en restaient, replièrent alors vers les montagnes.
Quelques jours après, le commandant Fidel Castro et plusieurs camarades étaient arrêtés et faits prisonniers par le régime de Fulgencio Batista, le dictateur au service du puissant voisin, les Etats-Unis et qui bradait toutes les industries à leur profit. Au détriment de son peuple, en proie à la misère, au chômage, à l’esclavage et au racisme.
Quelques mois plus tard, le régime tyran de Batista faisait comparaître Fidèl Castro à la barre pour « complot contre la nation ».
Avocat de profession, le commandant Fidel Castro assure sa propre défense dans une célèbre et émouvante plaidoirie connue universellement sous le titre de « l’Histoire m’acquittera ». Fidel Castro accusé, est devenu l’accusateur.
16 octobre 1953 « Condamnez-moi, peu importe ; L’Histoire m’acquittera. » (Fidel Castro)
Le problème de la terre, comme la santé, l’éducation, l’habitat, l’emploi, était entre autres les maux qui rongeaient la société cubaine de l’époque et auxquels Castro et ses guérilleros espéraient apporter des solutions en renversant le régime du dictateur au service de l’étranger.
Fidel termina se plaidoirie en plaidant coupable car, disait-il : « Je ne veux pas être libre pendant que mes compagnons croupissent en prison… Je ne veux pas être libre dans un pays où il y a comme dirigeants des voleurs et des assassins. Condamnez-moi ! Peu importe ! L’Histoire m’acquittera »
Ainsi fut-il. Le tribunal cyniquement fantaisiste, condamna Fidel Castro à 26 ans de prison… pour avoir attaqué l’armée un 26 du mois de juillet 1953.
Trois ans après, Fidel Castro sortit de prison, à la faveur de la pression des rebelles et du peuple cubain. Il s’exila alors au Mexique où il rencontra le célèbre Ernesto Che Guevara, un médecin d’origine argentine.
Les deux hommes devinrent amis, liés par le même idéal de combattre l’impérialisme américain « donde quiera que séa » (où qu’il soit).
La résistance cubaine est de nouveau réorganisée.
En 1956, c’est l’embarquement des guérilleros (Fidel, Che Guevara, Raoul et bien d’autres) à bord d’un bateau dénommé Granma (c’est le nom que porte actuellement le quotidien national cubain) à destination de Cuba.
Ils étaient au nombre de 82 hommes pour lutter contre toute une armée.
Avant d’atteindre les côtes cubaines, ils furent mitraillés.
Seuls 12, parmi lesquels Fidel, son frère Raoul Castro et Ernesto Che Guevara ont survécu.
Le petit groupe d’installa dans les montagnes de la Sierra Maestra avant d’engager la bataille finale, victorieuse, contre les supports de l’impérialisme USA.
Une nouvelle page de l’histoire de Cuba et du Tiers Monde commençait à s’écrire
Comme eux, VENCEREMOS !!
A.C
Un p’tit saluè à notre JEANNOT ?
Messages
1. 26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !, 26 juillet 2015, 12:36, par Rufus
Oui, ce sont les opprimés qui font l’histoire !
1. 26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !, 26 juillet 2015, 13:57, par NOCTURNE
Comme quoi la volonté de vaincre même d’un petit nombre est essentielle.
La moisson suivra les semailles .
HASTA LA VICTORIA SIEMPRE
2. 26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !, 26 juillet 2015, 15:37, par christian
pour préciser"Les grands ne nous paraissent grands que parce que nous sommes à genoux" ARMAND ELIS2E DE LOUSTALOT Salut communiste
3. 26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !, 26 juillet 2015, 17:58
Merci, Amigo
Pour un doigt d’honneur à ceux qui comme le gusano FABIUS(1) , ont toujours affiché leur haine de petits bourgeois envers FIDEL , cet extrait du discours que ce dernier prononça le LE 26 JUILLET 1998, « ANNÉE DU QUARANTIÈME ANNIVERSAIRE DES BATAILLES DÉCISIVES DE LA GUERRE DE LIBÉRATION ».
http://www.cuba.cu/gobierno/discursos/1998/fra/f260798f.html
A.C
(1) Fabius et les salopards
Ceux là, à jamais, resteront pour moi, de piètres salopards , la caricature de bobos socs dems, dont certains comme MENARD ont prouvé jusqu’ou peut conduire la pseudo "défense des Droits de l’Homme" quand elle n’est qu’un triste cache sexe de la Défense de l’Impérialisme
http://www.latinreporters.com/cubapol01102003.html
4. 26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !, 26 juillet 2015, 18:07
oui , célébrons cet anniversaire qui survient quelques jours après la fin du blocus de 50 ans initié par les USA , qui prouve que la résistance d’un peuple même face à la première puissance militaire et économique mondialefinit par l’emporter ...
MERCI AU PEUPLE CUBAIN ET A SES DIRIGEANTS REVOLUTIONNAIRES POUR AVOIR ECRIT CETTE BELLE PAGE DE L’ HISTOIRE ...
EL PUEBLO UNIDO JAMAS SERA VENCIDO
RICHARD PALAO
5. 26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !, 27 juillet 2015, 16:46
Qu"ont gagné les cubains dans cette histoire de blocus ?
6. 26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !, 27 juillet 2015, 18:10, par Alain Chancogne
Ta façon de poser cette question semblerait vouloir dire qu’ils l’ont voulu
??
Si tu n’es pas un de ces voyous à la Fabius-Menard qui ont pitoyablement joint leurs voix àc elle de l’Impérialisme, je te réponds :
ils ont GAGNE la FIERTE de ne pas avoir cédé , eux, les DAVID d’un monde ou le Droit à la santé, à l’éducation, à la liberté, a remplacé en 1959 le" droit de se prostituer pour les mafieux , le"droit" de mendier pour survivre , ces"droits du Puissant" que le goliath à pieds d’argile qu’est l’imperialisme yankee, avait autrefois imposé et entendait imposer à nouveau
ILs ont gagnél’admiration et le soutien de millions d’hommes et de femmes , bien au delà de l’Amérique latine, cette terre pillée par le Capitalisme
Quand on mesure un peu ce qu’a signifié cette agression sans précédent danns l’Histoire que d’autres Etats terroristes comme ISRAEL ont importée vis à vis de nos frères palestiniens, on est légitiment fiers, d’avoir été solidaires des Cubains durant ces décennies..
Car , consciement ou pas, le cubain affamé est resté DEBOUT pour que toi et moi, un jour n’ayions pas à mourir couchés.
Dans un article de 2012
Salim Lamrani rappelait ce que coute le blocus
Il évoquait la santé notamment
http://www.humanite.fr/monde/cinquante-ans-de-blocus-l%E2%80%99obsession-des-etats-unis-l%E2%80%99egard-de-cuba-489499
je reviendrai sur ces questions
http://www.humanite.fr/sites/default/files/styles/abonnez_vous/public/images/blocus.jpg?itok=0HDbeXZk
2. 26 de JULIO de 53:Comandantes, PRESENTES ! Para HOY y para siempre !, 26 juillet 2015, 18:17, par JO
Merci A.C. pour ce rappel historique ! Je ne résiste pas à te transmettre cet autre rappel ci-dessous par rapport aux évènements de Grèce ! Ah ! Ce Fidel quel visionnaire Internationaliste toujours aux aguets des tares capitalistes pour les dénoncer et mettre en garde !
17 juillet 2015
Cuba : En 1985, Fidel a averti que la dette extérieure était un mécanisme d’extorsion de fonds impossible à payer
traduction Françoise Lopez
Pour 1980, le volume de la dette extérieure des pays d’Amérique Latine et des Caraïbes était de 257 400 millions de dollars et pour 2012, elle a été multipliée par 5 jusqu’à atteindre 1 billion 191 000 millions de dollars, selon les études de la Commission Economique pour l’ Amérique Latine et les Caraïbes (CEPAL).
En 1985, le commandant de la Révolution Cubaine, Fidel Castro, a averti qu’à moins que les gouvernements agissent ensemble et attaquent le problème de fond, la dette extérieure que les nations latino-américaines avaient contractées avec des institutions financières nord-américaines deviendrait une hypothèque éternelle, impayable et irrécouvrable.
"Nous, nous disons : "C’est impossible à payer. Mais impossible à payer pour des raisons mathématiques, économiques, cela n’implique pas un jugement moral du problème, ou légal, ou politique, du problème. Mais nous, nous disons aussi : c’est une politique politique . Les gouvernements ne sont pas en conditions, en aucun pays d’Amérique Latine, pour appliquer ces mesures (de coût social important) du fonds Monétaire International,e n aucun, même à feu et à sang, ils ne peuvent pas le faire", a-t-il déclaré dans son discours à la rencontre sur la dette extérieure de l’Amérique Latine et des Caraïbes qui eut lieu le 5 août 1985 à La Havane.
Dans son allocution, le leader révolutionnaire envisagea la nécessité d’étudier la structure et le fonctionnement du capitalisme au niveau mondial et son impact sur les économies des pays de la région puisque l’échange commercial inégal, les restrictions, la fuite des capitaux, la stagnation économique et la profonde dépendance rendraient ipossible le paiement de la dette.
"Le problème est que les faits démontrent qu’il n’est pas facile de payer cela, puisqu’on demande un marché et où sont les marchés ? Le Fonds Monétaire dit : "tout le monde doit exporter" mais qu’est-ce qu’ils vont exporter ? Ah ! plus de café, plus de cacao, plus de sucre, plus de viande ? Non, s’ils le font, ils vont être payé de moins en moins pour cela. Et exporter où si le protectionisme se multiplie tous les jours avec des mesures douanières et non douanières" ? a-t-il dit en référence aux politiques protectionnistes des puissances impériales sur leurs économies.
Le commandant cubain a défini la dette extérieure comme un cancer "qui se multiplie, qui liquide l’organisme, en finit avec l’organisme et qui demande une opération chirurgicale".
"L’impérialisme a créé cette maladie, l’impérialisme a créé ce cancer et il faut l’extirper chirurgicalement, complètement. Je ne vois pas d’autre solution" a-t-il assuré.
Union des peuples pour affronter cette agression
Pour Castro, la solution à ce mal ne serait pas seulement dans les mains de l’abolition ou de l’annulation de la dette mais demanderait l’union des peuples en développement pour pouvoir faire face à l’impérialisme et à ses intérêts de domination et d’exploitation.
"Nous redeviendrons égaux parce que les facteurs qui ont déterminé cette situation sont présents ici. Et nous, nous avons envisagé ces deux choses très liées : l’abolition de la dette et l’établissement du Nouvel Ordre Economique International", a-t-il déclaré alors.
"Il est très important que nous soyons conscients que cette lutte n’est pas seulement la lutte de l’Amérique Latine, ce doit être la lutte de tout le Tiers Monde parce que c’est ce qui nous donne la force. Ils ont les mêmes problèmes et certains les ont pires que nous, sauf que c’est l’Amérique Latine qui peut conduire cette lutte, c’est elle qui a le plus de développement social et même le plus de développement politique, une meilleure structure sociale, des millions d’intellectuels, de professionnels, des dizaines de millions d’ouvriers, de paysans, un niveau de préparation politique, elle parle une même langue".
30 après ces mots, l’Amérique Latine et les Caraïbes ont joint leurs efforts pour promouvoir l’union entre leurs peuples et possède des mécanismes d’intégration et de coopération comme l’Union des Nations sud-américaines (UNASUR), la Communauté des Etats Latino-américains et Caribéens (CELAC), l’Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique-Traité de Commerce des Peuples (ALBA-TCP) et l’alliance énergétique Petrocaribe qui permettent de donner de la force au développement social, politique, économique et culturel de la région.
Cette coopération contraste avec la situation du continent européen sur lequel les nations qui composent la Zone Euro ont imposé à la Grèce une série de réformes du travail et des retraites ainsi que l’activation d’un fonds de privatisations qui atteint 50 000 millions d’euros comme condition pour un nouveau secours de son économie d’un montant de 82 000 millions d’euros.
La nation grecque doit à ses créanciers quelques 242 000 millions d’euros, un chiffre qui comprend les prêts de 2 secours antérieurs qu’ont concédé les pays de la zone euro, le FMI et les banques européennes.
Dans cette analyse de Fidel en 1985, on expliquait ce qui s’est passé - pour donner un exemple - 4 ans plus tard au Venezuela quand, en février 1989, les Vénézuéliens sont sortis dans les rues pour protester contre les mesures du FMI qui ont été imposées "à feu et à sang", l’argent pour le "secours" n’est même pas arrivé au peuple vénézuélien mais a ouvert la voie à une révolution qui maintenant est une référence pour les Grecs. La dette continue à ne pas pouvoir être payée.
Leonardo Buitrago
Source en espagnol :
http://www.resumenlatinoamericano.org/2015/07/16/en-1985-fidel-castro-advirtio-que-la-deuda-externa-era-un-mecanismo-de-extorsion-impagable/