LE PALESTINICIDE

L’assassinat dans des conditons sans nom d’un bébé palestinien brûlé vif avec ses parents par des fanatiques juifs ne peut que susciter l’opprobre.
Certes, les aurorités israéliennes ont condamné ce crime mais n’ont toujours pas neutralisé ces terroristes.

Ceci dit, l’émotion suscitée chez les palestiniens a été sévèrement réprimé : deux adolescents de 14 ANS ont été abattus pour avoir lancer des pierres sur Tshaal "l’armée la plus morale du monde."

Le souvenir est encore présent dans notre esprit quand, l’année dernière à Jérusalem un jeune adolescent, encore un, avait été immolé par le feu par ces même fanatiques.

La vie d’un palestinien ne vaut rien. La presse relate l’événement sans grande émotion. De guerre lasse, l’habitude est prise.

L’agression de jeunes juifs à la Gay Pride par ces fous de yawé au cours de laquelle 1 jeune juive est décédée et 5 autres grièvement blessés à l’arme blanche met mal à l’aise la presse obligée de constater qu’Israël n’est pas le Paradis que l’on nous vend depuis 1948.

L’indignation est sélective.

En définitive, qui ne voit, que le ver est dans le fruit. Que ce Etat raciste porte la guerre, le fanatisme, le racisme comme la nuée porte l’orage.
le "palestinicide" à de sombres jours devant lui.