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Biennale internationale de Lyon art contemporain

par lili-oto artiste

Publie le mardi 26 septembre 2017 par lili-oto artiste - Open-Publishing

NON à cette biennale de Lyon de 6 à 10 millions d’euros, totalement verrouillée par des administratifs, des fonctionnaires d’état qui s’autoproclament "auteurs" au service d’une politique culturelle Bling Bling d’élus néo libéraux alors que les artistes crèvent en France !
 
 
Contre l’opacité des sélections d’artistes et l’opacité du montant des aides publiques d’une biennale de Lyon de 6 à 10 millions d’euros ! une biennale dirigée par deux fonctionnaires cumulards : Emma Lavigne fonctionnaire directrice du Centre Pompidou-Metz nommée commissaire d’exposition de la biennale de Lyon invitée et nommée par Thierry Raspail fonctionnaire directeur du Musée d’art contemporain de Lyon et directeur artistique de la biennale de Lyon , commissaire d’exposition, et surtout le bourreau des artistes lyonnais depuis 3 décennies. Ces deux fonctionnaires cumulards s’offrent des jours heureux sur le dos des artistes avec des budgets de biennale à 10 millions d’euros ! Scandaleux ! Ils monopolisent totalement la diffusion de l’art contemporain en France au détriment de 99,9% des artistes exclus ou non reconnus ou non-initiés par cette petite oligarchie de fonctionnaires et conservateurs nombrilistes, hautains, mégalomanes, arrogants, insolents, méprisants et endogames ! C’est indigne, voici les mœurs de l’art contemporain en 2017 en phase avec le marché international véreux et mafieux de l’art contemporain et de cette globalisation mondiale de la pauvreté et de l’austérité infligée aux populations et aux artistes ! Et bien sûr la presse ferme les yeux, comme toujours ! Nous attendons avec impatience l’article récurent du journal le Monde qui fera l’éloge de Raspail, de Lavigne et de la programmation de la biennale de Lyon et de son maire ministre Gérard Collomb, un article de presse payé (environ 100.000€) chaque année sur les deniers de la biennale de Lyon et du contribuable lyonnais comme tous les deux ans ! Il y a toujours du fric à gogo pour la propagande jamais pour les artistes plasticiens, les artistes créateurs auteurs ; peintres, sculpteurs, installateurs, photographes, vidéastes, artistes numériques, conceptuels qui crèvent en France . Lisez la revue Le Crieur éditée par la Découverte et Médiapart avec un spécial Beaubourg où il est expliqué que l’institution précarise et appauvrie les artistes plasticiens français qui y exposent en turnover, comme dans les FRAC en région, ce qu’explique l’artiste Lili-oto depuis plusieurs décennies !
 
NON à cet environnement artistique et culturel néfaste qui cadenasse les artistes plasticiens (peintres, sculpteurs, photographes, installateurs, vidéastes, dessinateurs, performers, conceptuels, etc.) en France, un environnement verrouillé par les commissaires d’expo (une politique culturelle digne des régimes autoritaires), les conservateurs de musée d’art contemporain s’autoproclamant diffuseur d’art, par les 24 directeurs de FRAC (en région) alors qu’il y a que 18 régions, par les responsables des DRAC (en région), par les curateurs, par les critiques d’art à la botte comme tous ces journalistes spécialisés au service de revues d’art de " propagande & de marketing commercial " et surtout NON à cette association corporatiste le CIPAC qui doit être immédiatement dissoute : une soi-disant fédération des professionnels de l’art contemporain qui nous ont confisqué nos espaces de diffusion, qui ont verrouillé l’obtention d’atelier d’artiste en les transformant en un turnover de résidences non pérennes, qui ont plongé dans une opacité totale (magouilles) la gestion financière des budgets publics et la gestion des aides publiques ou européennes liées à l’art contemporain, qui ont la main-mise sur les achats d’oeuvres pour les collections publiques d’art contemporain, qui représentent en réalité aujourd’hui dans l’art l’ordre moral politique et économique (le vieux rêve des Fachos comme Pétain, Louis Hautecœur et les collabos en 1942 - 43 - 44 qui rêvaient de mettre en place un ordre pour les artistes sur le modèle de l’ordre des architectes promulgué le 31 décembre 1940 par ce Régime de collabos de Vichy). Un ordre moral au service d’un marché véreux et mafieux de l’art contemporain qui est contre la communauté artistique et ses intérêts, contre les artistes créateurs auteurs et la pratique de leurs libertés individuelles, contre notre liberté de ton et d’expression, contre notre indépendance intellectuelle et contre notre autonomie artistique, contre nos libertés, des libertés souveraines et indissociables aux pratiques de l’expérience esthétique ou de l’expérience du sensible qui exploitent les champs des possibles dans la création artistique contemporaine en France !
 
Application immédiate de la convention internationale sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles que la France a ratifiée : « La diversité culturelle se manifeste à travers divers modes de création artistique, de production, de diffusion, de distribution ». Il est bien écrit "divers modes" et non un mode unique de diffusion et de distribution de l’art contemporain dit l’artiste Lili-oto, Lili-oto est l’un des deux artistes plasticiens créateurs de la BAC OUT à Lyon en 1993, biennale dissidente opposée à la biennale Bling Bling de Lyon...
 

biennale de Lyon BAC OUT
biennale de Lyon BAC OUT dissidente d’art contemporain


 
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