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Quand Charlie-Hebdo déconne.

par L’iena rabbioso

Publie le jeudi 19 octobre 2017 par L’iena rabbioso - Open-Publishing

c ki franco ?

La première page de l’édition du 11 octobre 2017 devrait être drôle.
Elle montre des indépendantistes catalans sous la forme d’une milice armée, avec en bas la tête de Maures symbole du nationalisme corse.

Premièrement, et c’est dommage que les rédacteurs de Charlie-Hebdo ne semblent pas comprendre, le mouvement indépendantiste Catalan n’a jamais utilisé de procédés terroristes.
Quand aux nationales Corses, il faut le reconnaître, les explosions des villas « non corses » n’ont pas fait de victimes de masses.

Charlie-Hebdo oublie 1937
Il n’y fait pas allusion dans ses articles.
Pourtant, le ressentiment Madrid – Barcelone a des explications historiques très claires.

D’autre part, ce journal, naguère de gauche, fait l’apologie du nationalisme en confrontant le régime national d’Espagne, une entités indivisible selon nos propres critères Républicains, alors que le droit des états-nations soit devenue dissolubles dans le grand marché mondial.

Seuls quelques groupes nationalistes continuent à diffuser la propagande : nous sommes une nation unique parce que nous sommes une nation unique.

Mais il n’y a qu’un seul Coca-Cola, qu’un seul Google, qu’un seul Microsoft.

Les états, maintenant, n’ont qu’une mission : garantir la sécurité, interdire et/ou discrétiser toute forme inorganisation qui ne serait pas « efficace ».

Je dis à Charlie-Hebdo : que l’Algérie reste française.

Que jamais la relation amicale entre l’Algérie et la France ne soit polluée par des épisodes sans importances comme les bombardement français en Algérie après 1945.

Si la réflexion de Charlie-Hebdo était exacte, c’est à dire si la région de Catalogne ne voulais sont indépendance que pour des raisons égoïstes, alors je pense que l’Italie serait légalement en position de réclamer le sud-est de la France, annexée par les troupes Françaises.

Nice devrait être Italienne.

Conclusion : le concept d’état nation, devenu caduque, est maintenant devenu un argument fictif, alors que les frontières ne sont décrétés que par des tyrans (des chefs d’état).

Il reste un espoir, une Europe, non pas un état nation, mais une union de peuples qui auraient le droit de garder leurs lois, leurs religions, à la seule condition : Tu es Européen, donc toutes les différences entres européens doivent être respectées.

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