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L’art contemporain gangrené par la corruption ! Artistes ! Révoltez-vous !

par Lili-Oto artiste

Publie le lundi 5 février 2018 par Lili-Oto artiste - Open-Publishing
2 commentaires

Artistes, révoltez-vous, entrez en résistance, organisez-vous ! Les 10 prochaines années seront celles de la résistance, du combat, de nouveaux mouvements artistiques (comme dans les années 30) vont naître du rejet de ce mode de fonctionnement de nos institutions publiques véreuses d’art contemporain et de ce marché d’art contemporain mafieux !

Depuis 2008, l’artiste plasticien Lili-oto explique publiquement sur le web que le marché de l’art est totalement corrompu, plongeant un grand nombre d’artistes peintres, sculpteurs, installateurs, performers, vidéastes, comme lui dans l’exclusion car l’espace public est totalement verrouillé, contrôlé par des institutions d’art contemporain véreuses soutenues par nos élus, des institutions de l’art (musées, FRAC, DRAC, le FNAC) financées par l’argent du contribuable qui encouragent et soutiennent cette grave corruption en France.

Des élus corrompus de tous bords politiques avec les responsables institutionnels empêchent un grand nombre d’artistes talentueux d’exposer sur tout le territoire français, les marginalisent, les paupérisent, ces artistes sont de véritables victimes de cette corruption locale, départementale, régionale et étatique.

RAPPEL : En Grande Bretagne, Kenny Schachter conservateur de musée, ex-enseignant d’histoire de l’art à l’université de New York, radio-reporter, explique publiquement que le marché de l’art contemporain est gangrené par la corruption, ce qui n’est pas le cas de nos conservateurs de musées en France qui sont muets sur la question.

Aux artistes, lili-oto leur redit ce qu’Einstein disait : "Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire".

Kenny Schachter a déclaré que le marché de l’art est un foyer de corruption où les tractations secrètes, le blanchiment d’argent et les pots de vin ainsi que les "ARTISTES CORROMPUS" sont légion. Schachter le condamne sans appel, un marché gangrené par des collectionneurs d’art célèbres attirés par l’argent et ce qu’il appelle l’immoralité au plus haut niveau. Rien de très anormal, aurait-on envie de dire, pour ce qui est de l’univers de l’« art » contemporain qui est avant tout une gigantesque coterie où l’argent coule à flots.

Lili-oto artistes plasticien activiste !

lien de l’article en anglais : http://www.telegraph.co.uk/news/2016/06/02/art-world-is-hotbed-of-corruption-collector-claims/ || traduit en français : http://reinformation.tv/corruption-marche-art-contemporain-neuville-56289-2/

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  • 95% des artistes qui ne sont pas des magouilleurs sont en droit de réclamer des comptes aux institutionnels fonctionnaires (conservateurs, directeurs de FRAC, responsables des DRAC, maison de Rome, la Casa de Velázquez, les résidences d’artistes, dans les fondations, etc.) et aux artistes corrompus qui évoluaient dans ce petit milieu de salauds qui ont fait crever un grand nombre d’artistes talentueux depuis la fin des années 70 en France, suicides d’artistes, exclusion artistique et sociale, artistes vivant au RSA alors qu’ils auraient dû exposer à l’étranger et dans les espaces publics en France réservés à la diffusion de leurs oeuvres. C’est grâce à l’opacité institutionnelle et politique, à l’opacité sur la redistribution des subventions européennes en région et des subventions françaises que ce petit milieu d’escrocs avec des élus ont profité pendant trente ans de l’argent du contribuable avec leurs galeristes respectifs qui siégeaient dans les commissions d’attributions, commissions d’expositions, commissions d’achats comme dans les FRAC en région et s’auto-attribuaient expositions pour leurs artistes + achats d’oeuvres avec l’argent du contribuable en n’oubliant pas de prendre leurs commissions de 50% à 400%, idem avec les agents d’art et les commissaires d’exposition dans ces mêmes commissions. Idem avec les magouilles dans les villes, dans les agglos, dans les départements avec les commissions d’exposition, les commissions d’achats d’oeuvres sans compter les magouilles avec les jurys d’embauche des profs dans les écoles des Beaux Arts ou dans les écoles locales d’arts plastiques ! Une vraie mafia ! Des voyous ! Des bandits ! Des escrocs ! On veut une enquête internationale sur cette France indigne de l’art contemporain, on veut la vérité, les vrais chiffres, combien d’argent public a été capté, détourné, privatisé depuis 30 ans par les mêmes, par la même clique ?

  • Que vient faire ici le lien vers le site d’extrême droite ReinformationTV ?

    Tous des magouilleurs plus ou moins pourris, peut-être. Encore que, le marché de l’art mondialisé est une chose, les institutions une autre, et si l’argent va à l’argent, il n’y en a pas moins des salauds et d’autres qui ne sont pas des salauds. Il est sans doute vrai qu’une certaine tradition libertaire du monde de l’art peut servir d’alibi aux escroqueries inhérentes à certaines règles implicites d’un ordre social qui suppose et implique l’exclusion et la paupérisation de bien des créateurs culturels et de bien des intellectuels pris en étau entre les ambiguïtés des institutions publiques et les lois d’airin du secteur privé.

    Pour autant Lili-Oto activiste, certes oui, mais de quel bord politique ? Et de quel bord artistique au-delà de ses ardentes envolées idéalistes : celui où la déontologie de l’art consiste à débusquer et montrer les faussetés du monde pour que l’on s’en indigne et que l’on comprenne mieux le réel, ou bien du côté des faussaires au petit pied pour qui l’art n’est qu’un alibi et un rentable outil de manipulation fascisante ?

    De plus, on a l’impression que notre cher Lili-Oto se paie le luxe de publier un post où il parle de lui à la 3ème personne ; bon, pourquoi pas, mais enfin, il est toujours aussi peu clair dans ses tonitruants "engagements". Ou plutôt, le voici enfin démasqué ?