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Hystérie victimaire et hashtags pervers ...

par Marc ARAKIOUZO

Publie le lundi 22 octobre 2018 par Marc ARAKIOUZO - Open-Publishing
5 commentaires

La France sous Macron ? Elle sent la pourriture comme disait Agrippa d’Aubigné l’apostat ! Qui sont ces profs délateurs qui pleurnichent en utilisant twitter et en hashtaguant de la désolation à 3 euros 50 cts ? Des fachos du collectif Racine ? Des admirateurs de Ciotti ? Des lecteurs du code du travail suisse avec Bayrou ? Des LREM qui veulent venger Benalla ? Des malades psychiatriques qui ont oublié de s’assurer à la MGEN et ne peuvent pas se soigner ? ...etc.

Ces persécutés sont en tout cas de très mauvais pédagogues car le hashtaguisme compulsionnel est une manie d’adolescents timides et grincheux.

Ces délateurs hystériques et pervers n’ont rien à faire dans le corps enseignant, ils sont à la pédagogie institutionnelle ce que serait le parmesan dans une salade de fruits.

Messages

  • benalla ?,benalla ?
    Ah oui l’agresseur de femme sans défense le premier mai donc voyou au même titre que ceux qui le défendent dont l’amnésique du patrimoine ministre de la justice, le joueur de poker avec les malfrats de marseille ministre de l’intérieur, le coton tige, qui en déplacement dans l’Aude met son pouce dans l’oreille d’au moins trois enfants, accessoirement président de la république. J’oublie le porte parole du gouvernement mais là r.a.s. 0=0.

  • Le "hashtag" en question semble être "Pasdevague". Même en dénonçant les auteurs de ce "hashtag", les faits sont là (violences dans certains établissements scolaires secondaires des métropoles, ignorées par des directeurs et des responsables académiques), bien là, têtus.
    Les révolutionnaires ne peuvent pas eux aussi l’ignorer et ce n’est pas parce que la droite s’en empare (on sait pourquoi) que ce qui est décrit est faux.
    D’un côté les responsables administratifs disent "pas de vague" car ils ne savent pas (ou ne veulent pas) gérer correctement ce problème avant tout social et pédagogique. De l’autre côté, les syndicats d’enseignants jouent à l’autruche angélique en sur-minimisant ces faits jusqu’à accuser ceux qui les exposent d’être de droite ou fascistes (solution de facilité qui évite de chercher également des solutions pérennes et de remettre en question sa vision de ces jeunes violents).
    Certes la France entière n’est pas touchée mais pensons aux enseignants (y compris de gauche) qui supportent ces violences et qui se voient isolés par leur hiérarchie et leurs syndicats.
    Cela ne fait qu’ouvrir une brèche dans laquelle la droite et les fascistes s’engouffrent allègrement donnant ainsi, par retour, l’argument utilisé par des gauchistes : " de toute façon c’est les fachos qui sont à la manœuvre, donc c’est faux (ou exagéré) donc, tous ceux qui dénoncent sont des fachos".
    Ce n’est pas avec de tel raisonnement court et manichéen que nous allons avancer correctement. Sinon, on part du principe que les enseignants font partie de personnes sacrifiées (comme d’autres) car "il ne faut pas jeter de l’huile sur le feu" ("nous ne savons pas l’éteindre" pourrait-on rajouter).
    C’est pour ça, camarade Marc que je trouve ta note un peu courte.

    • Non, ma note est hyper lucide. Foutre ce débat sur les réseaux est une ineptie ou une manœuvre dégueulasse, rien d’autre ! Cela sert à alimenter l’hystérie lepéno-ciottiste et à rien d’autre. Aujourd’hui, comme par hasard Blanquer et Castaner proposent de foutre des flics, pas des enseignants supplémentaires, dans les bahuts ! Et des naïfs ne voient rien venir ! Tes propos m’énervent car aux USA cette politique de Kollaboration étroite entre les profs et la flicaille a fabriqué en nombre significatif des phénomènes d’ultra violence : des élèves viennent au bahut avec des flingues et tirent dans le tas. Cette brute abjecte qu’est Trump vient d’ailleurs de proposer que les profs soient armés et entraînés pour riposter...
      Alors il est important, urgent et nécessaire de cracher sur ces profs pleurnichards et imbéciles ou militants LREM - LR - Collectif Racine !

    • Ta note est lucide mais quand j’écris "courte" je parle de l’absence de contextualisation ; ce que j’ai tenté de faire par ma note.
      Maintenant, on ne peut pas reprocher aux enseignants d’avoir mis sur les "réseaux" ce débat parce que c’est récupéré. Rien n’empêche les communistes de faire de même, d’enquêter et d’apporter leur point de vue. De plus, ils ont agit ainsi car, de guerre lasse, n’étant pas entendus par leur hiérarchie et leurs dirigeants syndicaux, ils n’ont pu faire autrement. On ne peut pas reprocher à la victime de se plaindre, au prétexte que cela dérange ??
      Le coup du flic dans les écoles date d’avant cette mise en réseau et revient régulièrement. Ce hashtag n’a été que l’occasion de le ressortir. De plus c’est politiquement et matériellement impossible ; c’est de l’effet d’annonce. Par contre, des recrutements de vigiles ça c’est possible et ça se fait déjà.
      Aux USA, des enseignants ont refusé leur armement donc, tu vois, que c’est plus complexe. Ca n’empêche que le problème de la violence là-bas reste entier et des profs meurent en même temps que des gosses.
      Enfin , je ne sais pas si les auteurs de la note sont tous du Collectif Racine ou pas, mais les faits sont là et il faudra bien que nous, communistes, nous en emparions de façon sereine et constructive plutôt que de l’ignorer, laissant encore plus la droite et les fascistes s’en servir.
      C’est cette lucidité qu’il faut avoir, même quand la réalité est gênante ; sinon, on est cuit.

    • Les solutions sont à chercher dans le travail en équipe et la pédagogie institutionnelle, mais aussi dans l’éradication de la misère et de la pauvreté qui créent l’anomie ... Ou alors aider les élèves à éradiquer les profs de droite et d’extrême droite et incompétents niaiseux ...