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Pourquoi le cœur de Sophie s’est arrêté

par Jean-Yves Peillard

Publie le samedi 23 février 2019 par Jean-Yves Peillard - Open-Publishing
2 commentaires

« Je veux savoir pourquoi le cœur de ma sœur s’est arrêté »

 Le cœur de Sophie s’est arrêté car la nouvelle formule du médicament Levothyrox a agit comme un poison. Ce médicament a été acheminé sur le marché public par une longue suite de malversations (courantes) de la part des autorités sanitaires et de leur prévarication avec le lobbies pharmaco-chimique et leurs financiers.

 Le cœur de Sophie s’est arrêté parce que l’argent est roi dans un pays prétendument démocratique.

 Le cœur de Sophie s’est arrêté parce qu’elle a été contaminée par un nuage radioactif qui a commencé à se développer le 26 Avril 1986 vers une heure du matin et qu’aucune mesure sanitaire n’a été prise par les autorités françaises pour protéger la population. Ceci pour protéger l’industrie nucléaire civile et militaire et l’armée qui utilise les armes nucléaires. Sophie, comme plus de trois millions de personnes en France, ont été assujetties par la suite à ce médicament qui est le révélateur-traceur de la contamination radioactive. Toutes les autres pathologies dues à la contamination radioactive sont noyées dans la masse des hôpitaux car elles sont courantes et communes à d’autres polluants permanents chimique benzène nano-particule etc.

 Le cœur de Sophie s’est arrêté parce que l’Ordre de médecin, l’académie de médecine, l’académie des sciences et d’autres institutions sont baignées d’une idéologie scientiste et mortifère qui n’a rien à voir avec un serment de loyauté, celui d’Hippocrate.

 Le cœur de Sophie s’est arrêté parce qu’il continuait d’être soumis de façon permanente et grandissante à la contamination radioactive, chimique, électromagnétique et autres contaminations issues de la société industrielle qui sont volontairement diffusées par l’industrie, l’armée avec le plein accord des politiciens, haut-fonctionnaires d’État depuis l’ère industrielle.

 Le cœur de Sophie s’est arrêté, mais le votre et le notre marchent encore, et tant qu’ils marcheront, ils lutteront jusqu’à ce que mort s’en suive pour que le coeur d’autres Sophie dans le monde ne s’arrête pas avant l’age courant, pour un humain dans une nature préservée.

Bonne chance

« la vigie d’Hippocrate » s’est arrêtée le 26 Avril 2017.
En plus des informations du site www.independentwho.org

Merci de prendre note des collectes sur http://elianguesard.unblog.fr/ et des commentaires suivants :


Lévothyrox : révélateur-traceur de la contamination radioactive

De ces dix années passées, nous avons témoigné et été bombardé d’informations concernant le nucléaire et la santé. Il en est ressorti que parmi le crime nucléaire commis sur les populations par les États nucléocrates et organismes mondiaux, les problèmes thyroïdiens étaient en majorité dus à la contamination radioactive ; Il y en avait peu ou pas avant l’ère de la pollution nucléaire chez certaines catégories de personnes. Et les autres pathologies étaient "noyées dans la masse" même si il y en a un peu plus autour des centrales (leucémie, malformations etc voir Etudes Korblein etc)

Pour les problèmes thyroïdiens, l’isotope iode 131 est bien sûr en cause (Demi vie 8jours mais maladie toute la vie…) dans la foule des autres isotopes relâchés.

On a toujours parlé de la contamination par Tchernobyl (1986, et de temps en temps des fuites d’iode 131 provenant de centrales de recherche (Halden en Norvège par exemple en 2017) et il y en a régulièrement partout ; en France les centrales ont même une autorisation préfectorale pour recracher dans l’atmosphère tant de becquerel/an dont notre isotope traceur,

Dans ces 3 millions de personnes assujetties au fameux médicament, ce chiffre continu d’augmenter et il y a des jeunes de moins de 30ans concernés ( 33 ans depuis Tchernobyl)
On peut en déduire que ce sont ces fuites permanentes des 58 réacteurs et autre activités nucléaires en fonctionnement dit "normaux autorisés" (mais en augmentation en période de maintenance ou "incident"comme encore récemment à Tricastin http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/index.php?post/2019/02/18/Omerta-bris%C3%A9e-%3A-oui-le-r%C3%A9acteur-n%C2%B0-2-du-Tricastin-%C3%A9met-des-rejets-radioactifs2
) qui sont en grande partie responsables des problèmes thyroïdiens grandissants et par extension toutes les autres pathologies que l’on a vu à Tchernobyl, Fukushima et ailleurs qui, elles, sont plus facilement noyées dans la masse par les autorités.

Faible dose mais Empoisonnement permanent et autorisé comme d’autres, ll est vrai (incinération ordures, pcb, pesticide, benzène etc)

Tout cela pour argumenter l’éternel sujet de remonter à la source du problème : Les rejets c’est comme les déchets à Bure et ailleurs ; il faut commencer par arrêter d’en produire.

Et bien sûr les sacrifié-e-s doivent continuer de ne pas lâcher le morceau comme ceux du Bugaled Breiz, amiante et ailleurs. Ils sont les meilleurs représentants-révélateurs sur la place publique pour populariser, faire prendre conscience et agir contre la perpétuation et impunité de ces crimes d’Etat, et pour les crimes d’Etat, c’est toujours "l’imprescriptible" de Vladimir Jankélévitch…

Jean-Yves Peillard

Transmis le 23.2.2019 par ex vigie www.independentwho.org

source : https://www.association-sante-naturelle.info/elle-sappelait-sophie/

Elle s’appelait Sophie

18 février 2019

Cher défenseur de la Nature,
Elle s’appelait Sophie.
Elle avait 48 ans, elle était psychologue et vivait à Montpellier.
Elle était en bonne santé… jusqu’au mois de mai 2017.
Là, du jour au lendemain, sa vie est devenue un enfer.
Impossible de se concentrer… fatigue extrême… douleurs atroces aux jambes.
Son médecin lui donne un « arrêt de travail » d’un mois entier.
Mais cela ne suffit pas.
Et d’un coup, le 14 août 2017, on la retrouve dans son lit, morte.
Pour les médecins, c’est le mystère le plus total.
Mais sa sœur Valérie, elle, sait ce qui s’est passé.
Ce qui a tout changé, en mai 2017, c’est la nouvelle formule du Levothyrox.
« Depuis que ce n’est plus la même boîte, je ne suis pas bien », disait Sophie à sa famille, peu avant de mourir [1].

Mais à l’époque, le scandale du Levothyrox n’a pas encore éclaté.
Les médecins n’en ont pas entendu parler… et concluent à une « mort naturelle »… à 48 ans !!!

Heureusement, la Justice a décidé de prendre les choses en main !
Le 4 février dernier, le procureur de la République de Marseille a élargi l’enquête pénale sur le Levothyrox à « homicide involontaire ».

Et c’est une excellente nouvelle.
Car depuis le début, le Ministère de la Santé fait tout pour ETOUFFER ce scandale.
Un peu comme le complice d’un meurtre qui fait tout pour effacer ses traces…
…cacher le corps… passer la scène du crime à la Javel… ou faire pression sur les témoins.

Je n’exagère pas :
La Ministre fait TOUT pour cacher la vérité !
Rappelez-vous, nous sommes en septembre 2017.
Il y avait déjà des dizaines de milliers de victimes de la nouvelle formule du Levothyrox.
Les témoignages affluaient de toute la France, tous plus effrayants les uns que les autres.
Moi-même, en tant que secrétaire de l’Association santé naturelle, j’en ai reçu des dizaines, comme ceux-ci :
« J’ai complètement perdu le sommeil et j’ai grossi de 6 kg depuis août… je me sens très mal, dépressive, je vous supplie de nous aider !!! » « Bonjour, je suis tombée dans une énorme dépression qui se traduisait par des douleurs physiques, juste après le changement de formule. »
« Je peux vous dire que la nouvelle formule m’a complètement anéantie, perte de cheveux, perte du sommeil avec des crampes, fatigue générale, et j’en passe »
Ému, j’avais d’ailleurs lancé une pétition l’année dernière, pour défendre les victimes.
Mais à l’époque, en septembre 2017, savez-vous quel a été le premier réflexe de la Ministre Buzyn ?

Face à toutes ces souffrances, son réflexe avait été de dire : « circulez, il n’y a rien à voir ! »
« il n’y a pas de faute, il n’y a pas de fraude », a-t-elle déclaré dans les médias à l’époque.Il n’y a « pas de mise en danger de la vie des gens », a-t-elle martelé [2].

Pas de « mise en danger » ???

C’est gravissime de dire une énormité pareille !
Voici au moins deux témoignages que j’ai reçu personnellement, qui prouvent le contraire !
« Victime de la nouvelle formule , j’ai eu un accident de voiture le 18 avril 2017. Insomnie, maux de tête la nuit, palpitations, crampes, poids qui change sans raisons. Bref grande fatigue, je me suis endormie au volant à 13h à 1 km de chez moi… »–
« Ma mère, 90 ans, a pris du levothyrox pendant 20 ans sans aucun problème. En 1 an ma mère est méconnaissable ; tellement fatiguée et épuisée, qu’en faisant ses courses, elle a fait une chute et s’est cassée une vertèbre…Il y a un an elle marchait 5 kms par jour et faisait 6 heures de danse par semaine. »

Heureusement, la Justice a commencé à faire son travail !

 
« Je veux savoir pourquoi le cœur de ma sœur s’est arrêté »

Dès mars 2018, le TGI de Marseille a ouvert une enquête pour « tromperie aggravée, blessures involontaires et mise en danger de la vie d’autrui ».
C’était déjà un excellent signal.

Mais le même tribunal vient de faire plus fort, en élargissant l’enquête à « l’homicide involontaire ».

Pour la sœur de Sophie, c’est une grande avancée : « je veux savoir pourquoi son cœur s’est arrêté », a-t-elle déclaré au journal le Parisien.

Surtout que Sophie n’est pas la seule victime, loin de là.

Pour Chantal L’Hoir, la présidente de l’Association Française des Malades de la Thyroïde, la nouvelle formule a fait de nombreux morts :
« Pas mal de gens ont vu leur TSH (dosage d’une hormone qui stimule la thyroïde) monter au-delà de 40 et se sont trouvés en AVC (accident vasculaire cérébral). Alors qu’ils avaient été accueillis aux urgences, ils sont morts dans la nuit« , a-t-elle déclaré [3].
Pour le Dr Catherine Noël, médecin angiologue près de Rennes, c’est un « scandale sanitaire pire que le Médiator ».

Et comme pour le Médiator, tout est fait pour étouffer le scandale !
Pourquoi ?
Mais parce que le gouvernement est « mouillé jusqu’au cou », dans cette affaire !
 
Ce qui s’est VRAIMENT passé (1 minute pour comprendre) :
Comme souvent avec Big Pharma, il s’agit d’une affaire d’argent.
En fait, la formule (ancienne) du Levothyrox s’apprêtait à devenir un « générique ».
La date fatidique était 2019 : date d’expiration du brevet de Merck sur la composition du Levothyrox.

Du jour au lendemain, cette ancienne formule allait être vendue beaucoup moins cher !
Pour sécuriser ses profits financiers, il était donc urgent pour Merck de mettre sur le marché une « nouvelle formule », avec un nouveau brevet !

Et ce n’est pas tout.

Le laboratoire Merck voulait aussi conquérir le marché chinois.
Or les Chinois sont presque tous intolérants au lactose.
Il fallait donc se dépêcher de faire une formule sans lactose.
Pour compenser, ils ont ajouté de nouveaux composants, dont l’acide citrique, un produit chimique qui peut avoir des effets redoutables [4] !
Et ce plan « diabolique », Merck n’aurait pas pu le réussir sans la complicité de nos autorités de santé !

Figurez-vous que c’est l’Agence du Médicament elle-même qui a demandé à Merck de préparer une « nouvelle formule » !

C’était en 2012, et la demande est venue d’un certain Professeur Lechat…
…qui travaillait pour le laboratoire Merck avant d’être nommé à l’Agence du Médicament !
Vous voyez le conflit d’intérêt ??
Tout ceci était donc manifestement téléguidé !

Et ce n’est pas tout.

Le plus grave dans l’affaire du Levothyrox, c’est la façon dont la nouvelle formule a été lancée.
Du point de vue de la santé publique, il n’y avait aucune urgence.
Mais pour Merck, il fallait faire vite, avant que son brevet n’arrive à expiration !
Voilà pourquoi la nouvelle formule a été lancée à la hâte, sans la moindre précaution !

« La nouvelle formule aurait dû être testée, elle ne l’a pas été », a résumé le Pr Philippe Even.
Et qui est coupable de n’avoir pas demandé de « test » approfondi ?
Le laboratoire Merck, bien sûr.

Mais AUSSI les autorités sanitaires françaises, évidemment !
Voilà pourquoi le gouvernement essaie de cacher la vérité sur ce scandale !
Et voilà pourquoi nous ne pouvons compter QUE sur la Justice pour trouver la vérité !
La Justice est un des derniers « pouvoirs » indépendants, à l’abri du lobbying de Big Pharma.
Alors croisons les doigts, espérons que cette enquête judiciaire pour « homicide involontaire » aille jusqu’au bout !

Votre dévoué, Guillaume Chopin
Sources
[1] https://www.corsematin.com/article/faits-divers-justice/levothyrox-la-famille-dune-victime-decedee-veut-savoir
[2] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/09/07/pourquoi-le-medicament-levothyrox-fait-il-polemique_5182477_4355770.html
[3] https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/levothyrox-la-qualification-en-homicide-involontaire-est-tres-importante-on-tient-le-bon-bout-pour-l-association-francaise-des-malades-de-la-thyroide_3175411.html
[4] https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cholet-49300/levothyrox-l-hypothese-d-un-choletais-confortee-par-un-chercheur-5756927

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Messages

  • Laboratoires criminels ! Laissés sans contrôle de l’Etat, plus d’inspections ! Réponse des décideurs de l’Etat : ce n’est pas le rôle de l’Etat à s’occuper des Entreprises privées ? Mais si l’Etat n’a plus de responsabilités nulle part dites-nous un peu pour qui, pourquoi, nous votons si ce n’est que pour élire des gens incapables à s’occuper, à se responsabiliser, à sécuriser la vie des citoyens ? C’est honteux irresponsable, il est temps que cela change et que dégage tout ce beau monde de bons à rien et qui coûte très cher à la collectivité pour ne rien faire ou si peu, et surtout en vies Humaines ! Excusez mon coup de gueule, mais c’est le moment ou jamais de tout remettre à l’endroit ce qui "marche" sur la tête à poursuivre ce qui amène nos citoyens droits dans le mur du désespoir ou de fin de vie ! Il est bien temps que la prise de conscience s’amplifie pour mettre fin à l’irresponsabilité ! VIVE la révolte des gueux, les Jacqous le croquant nos aïeux !