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ÉPIDÉMIE DE PEUR PANIQUE

par Lukas Stella

Publie le mercredi 18 mars 2020 par Lukas Stella - Open-Publishing
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Le Coronavirus est un virus respiratoire saisonnier banal, son taux de mortalité est très proche de celui de la grippe, il n’y a pas de pandémie mais seulement une épidémie saisonnière habituelle. L’épidémie disparaîtra avec le printemps. C’est la peur, la psychose et l’hystérie qui sont contagieuses et dangereuses. Sous de faux prétextes de sécurité, par les mesures coercitives d’un État d’urgence, on nous prive de plus en plus de nos libertés. La pensée unique produit des crédules bien soumis.

Certaines maladies sont à la mode. Il vaut mieux mourir du corona, on parlera de vous dans les médias, que de la grippe beaucoup trop banale, ringarde et dépassée. Il s’est instauré en quelques semaine une discrimination des maladies, certaines accaparent toutes l’attention et d’autres beaucoup plus importantes et dangereuses disparaissent complètement, exclues du monde du paraître. C’est une réelle ségrégation médicale qui valorise certaines maladies et discrédite les autres. Près de 10 millions de morts du cancer par an dans le monde, soit 2000 fois plus que le coronavirus. Le gouvernement autorise la disséminations de nombreux polluants chimiques cancérigènes qui causent des millions de morts, la disparition d’insectes et d’abeilles pollinisatrices, l’extinction d’espèces animales, menaçant notre existence même...

La mort n’a pas la même valeur pour tous. Certains tentent de se refaire une bonne image pour marquer les esprits, en essayant de se faire passer pour le sauveur de milliers de vies. Mais ce qui est omis en dit long sur leurs intentions. On ne parle plus des morts de faim, des victimes de la guerre... Cette société mortifère s’accomplit par une manipulation mentale généralisée.

Un gros laboratoire biotechnologique de recherche sur les virus, Wuxi Pharmatech inc, est situés à Wuhan en Chine, ville d’où est partit l’épidémie. Ce Labo est financé par le milliardaire George Soros, grand spéculateur de la haute finance. Que le Coronavirus surgisse en même temps que le krach financier ne peut pas être une coïncidence.

Le spectacle médiatique génère en permanence un vent de panique pour faire accepter l’escroquerie de la crise financière. La crise est la norme. La panique des uns fait le bonheur des autres. Le capitalisme n’est pas affaibli par la crise, avoir une crise de temps à autre est son fonctionnement normal. Le krach est un outil financier. La crise est déclenchée par les spéculateurs les plus avisés pour accélérer et accroitre énormément et rapidement leurs profits sur le dos des plus petits qui ne l’ont pas vu venir.

Cette crise était annoncée de longue date, les spéculateurs milliardaires ont utilisé le coronavirus pour mieux la déclencher et en tirer les meilleurs profits, quitte à ébranler l’équilibre général.

L’économie et la production représentent moins de 10 % des richesses, les 90 % restant traficotent dans les sphères de la haute finance, dans des bulles financières spéculatives, qui rapportent bien plus que l’économie réelle pour ceux qui en ont les moyens et savent y faire. Si l’économie s’en retrouve affaiblie c’est pour mieux faire payer les populations. Quand certains perdent d’autres gagnent, rien ne se perd, la circulation de l’argent s’accélère considérablement pour un moment seulement.

Le fascisme s’impose toujours brutalement et insidieusement sous de faux prétextes pour le soit-disant bien de tous. La démocratie est suspendue, la dictature instaurée, la loi martiale imposée. Le couvre-feu est pour demain avec l’occupation militaire des villes, instaurant le contrôle généralisé de la vie quotidienne.
Il fallait écraser la rébellion qui se répandait et s’installait dans la durée. C’est chose faite, mais pour combien de temps...
Ils devaient utiliser les grands moyens pour faire taire cette contestation mondiale, dans une période d’instabilité pour éviter l’effondrement des pouvoirs dominants et préserver les privilèges des hyper-riches.

L’autorité de l’État policier est renforcée afin d’achever le grand pillage des biens publiques, et de parfaire l’arnaque de la crise financière que les populations encore plus appauvries devront payer, et se soumettre dans leur misère soudainement imposée.

Ce coup de force s’abat comme une douche froide, nous tétanisant sur place. Mais ont-t-il vraiment les moyens de tenir dans la durée ? La population les laissera-t-ils faire sans pagaille, ni débordement de tout les cotés, surtout ceux qu’ils n’arrivent pas à contrôler. Le feu couve sous la braise apparemment éteinte, mais que certains toujours ingouvernables réactiveront à la première occasion.

Lukas Stella, le 17 mars 2020
http://inventin.lautre.net/contributions.html#corona

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