les implants cutanés en marche

La puce sous cutannée s’approche à grands pasla version finale d’un document de travail sur les RFID sera bientôt publié par le groupe consultatif de la Commission européenne connu sous le nom de G29.

Ce document servira de base a la création d’une législation européene

Voici ci-dessous pour vous la traduction en français de l’article qui a été publié sur

http://www.fcw.com/article89403-06-27-05-Web

Cet article est capital pour plusieurs raisons :

1) Il nous signale que les soucis et problèmes de vie privée liés aux RFID sont à présent MONDIAUX

2) Il nous apprend que la VERSION FINALE d’un document de travail sur les RFID sera bientôt publié par le groupe consultatif de la Commission européenne connu sous le nom de G29.

3) On parle de la verichip dans cet article.

ATTENTION

RAPPELEZ-VOUS bien qu’il y a quelque temps, le document du G29, dans sa première version, RECOMMANDAIT DE NE PAS CREER TOUT DE SUITE DE LEGISLATION LIEE AUX RFID, MAIS DE "LAISSER VOIR ET VENIR" et de créer d’appliquer, EVENTUELLEMENT, une législation pour la RFID par la suite seulement ! Vive l’arbitraire ! Les allégations hypocrites et mensongères du scientifique ci-dessous doivent donc être prises avec la plus grande prudence.

De plus, contrairement à ce que le "scientifique" déclare dans cet article, IL N’Y A PAS DE "GRAND SOUCI" CAUSE PAR LA VERICHIP ! Et pour cause : un autre groupe consultatif de la Commission européenne, le groupe européen "d’éthique" sur la science et les nouvelles technologies, avait remis lui aussi un rapport qui, DANS CERTAINS CAS, DEFENDAIT LE RECOURS AUX IMPLANTS SOUS-CUTANES, NEURAUX ET CEREBRAUX ! ! !

Ne vous laissez donc pas entuber par les propos de ce type : même dans le cas où il serait honnête, il existe une AUTRE REALITE en ce qui concerne les micro-puces sous-cutanées pour humains, et cette réalité-là pue la dictature à des kilomètres à la ronde.

En tout cas, une chose est certaine : ce scientifique, du nom de Laurant, DEFEND L’USAGE DE LA PUCE SOUS-CUTANEE AU NIVEAU MEDICAL (c’est mis noir sur blanc dans l’article ci-dessous : il considère cette application comme "LEGITIME" ! ! !).

Mais il évoque des soucis au niveau des soldats en missions militaires spéciales, soldats qui pourraient être "implantés"... et si un gars de la Commission européenne en parle, C’EST QU’IL A DU ENTENDRE PARLER DE TELS PROJETS QUELQUE PART ! ! !

Encore une fois, je le répète : C’EST A CHACUN DE NOUS QU’IL INCOMBE D’EXIGER DES AUTORITES, SANS AUCUN COMPROMIS, L’INTERDICTION TOTALE DES RFID ET DES IMPLANTS EN PARTICULIER !

Sans quoi, les libertés, la vie privée et le libre-arbitre vont s’en aller très vite...

Je vous laisse à présent lire l’article ci-dessous.

Bonne lecture, bonne réflexion et, SURTOUT, bonne ACTION. Vic.

Les soucis de vie privée liés aux RFID sont mondiaux

Par Dibya Sarkar

Publié le 27 juin 2005

Les soucis d’intimité concernant l’utilisation de la technologie d’identification par radiofréquence ne sont pas confinés aux Etats-Unis. Les responsables en Europe et en Asie ont accompli ou développent des lignes directrices et des directives pour s’assurer que la technologie RFID est employée correctement.

Le comité consultatif de la Commission européenne sur la protection des données et la vie privée, connu sous le nom de groupe de travail de l’Article 29 (G29), publiera bientôt une version finale d’un document de travail sur les RFID. Le document montre des soucis concernant les données rassemblées subrepticement en pistant les mouvements des personnes dans des lieux publics ou en surveillant les habitudes d’achat des consommateurs.

Le document n’a pas force de loi, mais il pourrait servir de guide aux Etats-membres de l’union européenne en vue de rédiger une législation, a indiqué Florent Frederix, un officier scientifique de la Commission européenne pour les réseaux et les technologies de la communication, qui a parlé lors d’une conférence récente sur les RFID à Washington D.C. .

Cedric Laurant, le conseiller en politique de centre de l’Electronic Privacy Information Center (centre sur l’information électronique concernant la vie privée) qui dirige également le projet international de vie privée de ce groupe sans but lucratif, a indiqué que la directive de protection des données de l’Union européenne est entrée en vigueur en 1998. Depuis lors, les autorités de la protection des données en Italie et au Portugal ont fourni des directives additionnelles sur la vie privée qui s’appliquent spécifiquement aux RFID, a-t-il dit.

En outre, les gouvernements japonais et sud-coréens ont établi un ensemble officiel de directives régissant l’utilisation des RFID, a dit Laurant.

Les soucis liés à la vie privée à travers le monde sont essentiellement identiques, a-t-il dit. Les dispositifs RFID pourraient être utilisés, par exemple, pour violer la vie privée d’immigrés ou d’employés qui pourraient avoir peur d’en parler.

Laurant a exprimé des inquiétudes spéciales concernant un dispositif miniaturisé de RFID possédant à peu près la taille d’un grain de riz et produit par une compagnie appelée VeriChip. La puce est implantée sous la peau d’une personne et contient un numéro unique de vérification.

Laurant a indiqué que la puce pourrait légitimement être employée par des autorités de la santé pour obtenir de l’information, telle que le groupe sanguin, au sujet d’une personne sans connaissance et être utilisée pour la traiter. Mais elle pourrait également être employée pour des applications plus controversées une telle que l’implantation dans les bras de soldats qui sont en missions militaires spéciales.