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AU FOU DE BASSAN : UN LIEU SYMPATHIQUE ET DECONNANT !

Publie le jeudi 16 mars 2006 par Open-Publishing
46 commentaires

de Claude de toulouse

Il faut que j’explique, tous ceux d’entre nous qui se retrouvent au, *FOU DE BASSAN* , ne sont pas comme certains le pensent des dingos , des toqués ou autres mabouls.

D’abord, c’est quoi LE FOU, c’est une invention merveilleuse de notre ami LE YETI, bistrot virtuel ou il fait chaud l’hiver, quand les vitres se couvrent de buée, et ou l’on met les tables et les chaises en terrasse au premier rayon de soleil.

Les bouteilles circulent de tables en tables, l’atmosphère est lourde de fumée et de vapeurs alcoolisées.

Toutes les femmes sont belles et l’on ne peut en citer une, sans se faire écharper, par celles qu’on aurait oubliées.

Tous les hommes sont sympas dés qu’ils franchissent le pas de la porte, dont la clochette tinte.

Ce n’est pas un lieu de débat, le site est là pour ça !

Le FOU, c’est un lieu magique ou l’on vient quand ça ne vas plus, quand on en a marre de se croire tout seul à ramer, tous les autres t’écoutent, et une tape sur l’épaule ou un bisou sur la joue, te disent : Pleures pas jeff, t’es pas tout seul..

Le FOU, c’est une bande qui part dans de grands rires dont on ne voit pas le bout.

Le FOU c’est un lieu ou l’on s’aime, le FOU c’est un lieu ou l’amitié prend le quart, un peu, les Copains d’abord de notre vieux Georges, le FOU c’est Extra comme disait Léo.

Vois-tu l’ami certains d’entre nous ont bien avancé sur leur chemin, ils sont parfois harassés, parfois découragés, d’autres sont plus jeunes, leurs espoirs bien vivants au cœur, alors au FOU DE BASSAN, grâce au YETI, on mélange tout cela et on repart pour un tour, pour un combat de plus, on continue la vie.

Et ces temps ci, les uns sortent leur chaise de paille, les autres ramassent des jonquilles, d’autres dénichent un vieux recueil de poèmes mille fois lus, pour en tirer un compliment, les cris qui montent de la ville, nous réchauffent le cœur et les os, ils semblent nous dire qu’on est encore utiles !

Messages

  • Je ne suis guère doué pour les grandes phrases, aussi je préfère laisser Georges exprimer mon émotion

    merci les ami-e-s

    Patrice Bardet


    Les copains d’abord

    Non, ce n’était pas le radeau
    De la Méduse, ce bateau,
    Qu’on se le dis’ au fond des ports,
    Dis’ au fond des ports,
    Il naviguait en pèr’ peinard
    Sur la grand’ mare des canards,
    Et s’app’lait les Copains d’abord
    Les Copains d’abord.

    Ses fluctuat nec mergitur
    C’était pas d’la litteratur’,
    N’en déplaise aux jeteurs de sort,
    Aux jeteurs de sort,
    Son capitaine et ses mat’lots
    N’étaient pas des enfants d’salauds,
    Mais des amis franco de port,
    Des copains d’abord.

    C’étaient pas des amis de lux’,
    Des petits Castor et Pollux,
    Des gens de Sodome et Gomorrh’,
    Sodome et Gomorrh’,
    C’étaient pas des amis choisis
    Par Montaigne et La Boeti’,
    Sur le ventre ils se tapaient fort,
    Les copains d’abord.

    C’étaient pas des anges non plus,
    L’Évangile, ils l’avaient pas lu,
    Mais ils s’aimaient tout’s voil’s dehors,
    Tout’s voil’s dehors,
    Jean, Pierre, Paul et compagnie,
    C’était leur seule litanie
    Leur Credo, leur Confiteor,
    Aux copains d’abord.

    Au moindre coup de Trafalgar,
    C’est l’amitié qui prenait l’quart,
    C’est elle qui leur montrait le nord,
    Leur montrait le nord.
    Et quand ils étaient en détresse,
    Qu’leurs bras lancaient des S.O.S.,
    On aurait dit les sémaphores,
    Les copains d’abord.

    Au rendez-vous des bons copains,
    Y’avait pas souvent de lapins,
    Quand l’un d’entre eux manquait a bord,
    C’est qu’il était mort.
    Oui, mais jamais, au grand jamais,
    Son trou dans l’eau n’se refermait,
    Cent ans après, coquin de sort !
    Il manquait encor’.

    Des bateaux j’en ai pris beaucoup,
    Mais le seul qui ait tenu le coup,
    Qui n’ai jamais viré de bord,
    Mais viré de bord,
    Naviguait en père peinard
    Sur la grand’ mare des canards,
    Et s’app’lait les Copains d’abord
    Les Copains d’abord.

    Georges Brassens

  • Si dans votre Fou de Bassan, les hommes ne sont que sympas et s’ils ne sont pas beaux moi je me pointe pas.

    rire...

    leila

  • T’es arrivée là Léa. Qu’est-ce que tu veux boire ?

    Durdo REIL

    • Ah ! Je suis un peu déçue. Mais je prendrais bien un verre quand même. Le cocktail maison par exemple. c’est quoi ?
      Léa.

    • Punch de fruits de l’amitié, avec un énorme soupçon de liqueur de complicité, rehaussé au sirop de bienvenue. Aucun coeur normalement constitué n’en sort indemne. Je te sers ?

      Durdo REIL

    • BONNE MERE ,
      L’ OOOOEEEEEEMMMMMMMMMMM , n’est plus là , ils etaient tous à la manif et ils ont oublié l’heure du match ?
      C’est pas grave , ils feront moins mal , l’an prochain , dis leur , esteban , de passer boire un punch façon durdo , c’est moi qui paye !
      je t’embrasse , mais je fais gaffe , embrasser le plus beau mec , ça va parler au fou , je fais un bisou à toutes les filles bien sur !
      claude de toulouse .

    • Surveiller Le Yéti et après c’est facile. QUE DU BONHEUR !

      "Mèfi"* à la serveuse elle est un peu dure d’oreille !  ;o

      "Mèfi" y’en a un aussi qui s’est assis longtemps sur un ballon jusqu’à le rendre ovale. Pourquoi ? parce qu’il il roule moins vite et c’est moins fatiguant d’y courir derrière !

      Copas, lui, toujours select, mais quand il frappe sur la table...danger !

      Rose aux pétales perlées s’en amuse de ce renard toulousain qui court, qui court et se prend l’ovoïde en pleine poire à chaque rebond.

      Nicole, au corps d’albâtre se déhanche en arrivant et tous les gâteux (pas moi) bavent !

      Maintenant Léa...

      C’est un lieu toujours correct, alors les filles vous viendrez ?

      J’insiste, méfiez-vous le filles du renard de toulouse.

      *provençal : "attention"

      Esteban

    • BON , VOUS SAVEZ OU C’EST ,

      il parait que c’est le plus beau notre esteban , peut etre , quoique .... ; mais il vole de fleur en fleur et en oublie au passage , franca , leila , michelle et bien d’autres , moi je suis à la table du fond avec jips , nose et les jean claude des landes et des pyrenées , il me traite de renard , mais alors de renard bleu , le plus beau des renards , c’est pas un artifice le bleu , c’est cette satanée gonfle que j’ai prise trop souvent sur la face , plus quelques mandales , bourre pifs et autres gracieusetés rubistiques .
      c’est vrai que les danseuses qui courent derriere un ballon rond risquent moins .............
      enfin pour revenir à la serveuse , elle n’est pas sourde du tout , passée une certaine heure , elle n’entend que les commandes de jus de fruits , c’est pour cela que certains beaux garçons sont toujours avec nous , grace lui soit rendu .
      alors à bientot , je crois que dans quelques jours on va faire la fete , une intuition .
      claude de toulouse .

    • mais on a pas l adresse

      viens demain apres la manif, on fait péter la roteuse :)

    • "...ils feront moins mal , l’an prochain..."

      Là, Claude, le marseillais du Fou - celui qui se déclare le plus beau sans attendre le verdict des filles - va comprendre le contraire, "vapeurs alcoolisées" aidant.

      Je ne t’embrasse pas sinon les filles vont finir par nous virer du Fou.

      Durdo REIL

    • Bon ! Le cocktail a l’air pas mal. Je le prendrai incognito parce que les mecs ont l’air un peu chelou au Fou de Bassan. En tout cas, c’est sûr, c’est un vrai piège à filles. Et on a du mal à croire qu’il y ait un seul mec beau... Mais l’humour c’est valable aussi. A bientôt,
      Léa.

    • LEA ,
      tu me fais peine , on est pas chelou du tout , et incognito ou pas tu seras traitée comme une reine , car au FOU , cela fait longtemps que l’ANNEE de la femme , est la regle d’or !

    • Non Léa, n’écoute ni claude ni durdo qui se laisse entrainer, tu as raison ils sont vraiment chelou !

      D’ailleurs ils se mettent toujours au fond, le renard te l’as dit. Quand à Durdo méfie-toi de ses coktails, c’est le renard qui lui indique les doses, c’est un de leur artifice.

      Moi je suis nature, VRAIMENT sportif (pas un sportif des tribunes comme les ovalistes du" fou") et merveilleux : un ADONIS, je peux pas te dire mieux !

      ah ! j’oubliais : pas vantard.

      Comme Le Yéti ne tardera pas à nous réunir, à bientôt Léa, à bientôt à toutes les filles.

      Esteban

    • Et moi qui suis un peu timide d’habitude, le vin de la fraternité aujourd’hui m’encourage et me fait dire aux Claudes qu’on se sent bien ici, aussi bien qu’"au bar de l’Étoile Rouge" de Juliette, et que j’entend la musique un peu grecque du "fou de Bassan" ( si, si , elle existe) jouée chez Le Yeti, que les filles me pardonnent mes regards admiratifs sans équivoque, elles sont aussi belles et aussi combatives que leurs mères. L’Italie de BELLA CIAO a paré ce Fou de couleurs merveilleuses.. Je pense à toi Vincent B., ouvrier du Bâtiment dont le père a bu l’huile de ricin administrée par les fascistes et à toi Severin paysan de Venise, enrôlé de force par Mussolini en Grèce, occupant malgré lui, qui m’a offert cet accordéon russe dont tu ne pouvais rien tirer (moi non plus) tant il ne ressemble si peu aux autres ; des larmes de joie me montent aux yeux quand je pense à cette somme d’espoirs que nous avons enfouis si longtemps, qui montent et se mélangent aux larmes. Avec vous tous, la nuit ne tombera plus aussi noire après la fermeture du Fou de Bassan. Jdes Pyrénées

    • ET BIEN MON POTE

      des coups comme ça , au fou , ça vaut trois tournées generales par soir et toute la semaine , plus quelques bons mots , de quoi detendre l’atmosphere , parceque là l’esteban , tu sais l’Adonis , il va l’avoir mauvaise , il va falloir au moins deux millions de manifestants demain pour qu’il entrevoit la possibilité eventuelle d’etudier un debut de commencement d’oubli .
      Quand à Durdo qui ta donné la recette de sa boisson speciale "accueil au fou " , t’a interet à lui en fourguer une aussi bonne en echange , mais enfin , cette petite meprise mise à part , si tu acceptes de jouer une mi-temps talonneur dans mon equipe , je crois que je peux encore t’arranger le coup pour que tu entres dans la famille du " fou" , aprés tout , comme on l’a dit , on est des mecs sympas .
      bienvenu au fou , ami , mais plus de coups pareils !
      claude de toulouse .

    • apportes le avec toi la prochaine fois , on va bien en tirer quelques chose de cet accordéon , et puis je te confirme , tu ne reves pas , parfois il y a bien de la musique grecque au " fou" , c’est les soirs ou l’on a un grand evenement à feter .
      au plaisir de lever nos verres , ami .
      claude de toulouse .

    • je te crois pas léa non tu mens

      Esteban moi j’aime pas les adonis, ça crée des jalousies, des disputes, des censures …

      J’aime pas être jalouse car je deviens dangereuse. Une fois, pour me venger de mon mari qui a osé regarder une autre femme que moi, je lui ai glissé un frelon vivant dans la culotte. Je ne vous décris pas le cri qu’il a poussé au moment d’enfiler sa culotte. Je me suis régalée de le voir pendant plusieurs jours, en gandoura, les jambes écartées me suppliant de lui préparer son café.

      Depuis, il a plus recommencé !

      leila

    • Je n’arrive pas à me faire à l’idée que notre nouveau POTE s’appelle...Léa !
      J’ai comme l’impression que Léa a voulu tester la force des sentiments...d’amitié de l’Adonis.

      Est-ce qu’il subira ce test sans dommage, lui qui s’est donné tant de mal pour...l’accueillir ?
      On ne tardera pas à le savoir. Chacun sait qu’il n’est pas vantard, il nous dira donc toute la vérité.

      Quoi qu’il en soit, la recette vaut pour tous les visiteurs, en espérant qu’ils deviennent des habitués.

      Bienvenue à Léa…mon pote ? Je ne m’y ferai pas !

      Durdo

    • Alors j’arrive, la soirée est finie ...
      J’arrive chez vous, ça a l’air pas mal.
      TRAN-S

    • Tous mes ami(e)s font front contre moi, bienvenue cher Tran-s, il n’y a pas de ségrégation au fou.

      Esteban

    • Allez ! Devant tant de désespoir, je ne peux pas vous faire marcher plus longtemps.
      Il n’y a vraiment que les femmes qui ont de l’intuition. Félicitations à Leïla.
      Et oui, je blaguais.
      Et non, je ne suis pas un mec.
      Et ça maintenant, cela vaut bien six tournées générales.
      Je devrais boire au Fou de Bassan gratos pendant un an, au moins.
      Alors je souhaite une très bonne manif à tout le monde (dans l’allégresse retrouvée) ! On arrosera ça après.
      Léa.

    • BAH C’EST PAS LA PREMIERE FOIS QUE CA ARRIVE...

      C’est vrai quoi ? Regardez, Yasmina KHADRA qu’est un "vrai" mec aussi, alors...
      Qui disait que l’homme est une femme comme les autres ? Moi çà me dérange pas s’il a de la conversation et de l’amitié plein les yeux !
      Et puis l’inverse est vrai : une femme est aussi une femme comme les autres...

      NOSE

  • j’aimais mon troquet, il s’appelait : chez mémé, on a passé de ses soirées, on était fous de musique, ça pétait le son à fond : le son c’est bon quand il est fort. Je défends les petits trocs, les cafés à deux balles, les vieux machins, les trucs sans flore, c’est dire : dénicher les cafés, ça c’est un bon plan, faire le tour des trocs de France : tu mets dix ans ou quoi, tu t’arrêtes dans la meuse ? Trop cool.

    Petit-taf et melns

  • J’AI VU DE LA LUMIERE...

    Je rentrai de Bellaciao hier soir, un peu écoeuré et un peu las d’avoir été pris à partie par un faf (83.1) qui se proposait de me "crever", de "m’enculer" (parce que dans la vie, selon lui, y a les "mâles" qui "enculent" et les "pédés" qui se font enculer), ou même "d’enculer ma mère" (la pauvre elle a 82 ans et elle est au Maroc !), sans que les copains ne soient intervenus pour lui faire comprendre de passer son chemin et cesser ses menaces...
    Et j’ai repensé au"Fou de Bassan" où je n’étais jamais entré...
    Et c’est vrai qu’en y faisant irruption, dès avoir pu accomoder le regard au travers des fumées de cigarettes et des vapeurs de cervoise, on est pris par la chaude et fraternelle ambiance.
    Repensant à ce colonial pauvre type qui me promettait tant d’horreurs, au nom de ses échecs et ses souffrances dans ce monde trop souvent inhumain, pour lui qui me parlait d’Indochine, d’Algérie et "d’autres conflits plus récents" dans lesquels il s’était "investi", j’ai retrouvé ces quelques mots salutaires (car ils permettent de prendre du recul) dans l’oeuvre poétique de Léopold Sédar Senghor :

    "Ah ! ne dîtes pas que je n’aime pas la France-je ne suis pas la France, je le sais-
    Je sais que ce peuple de feu, chaque fois qu’il a libéré ses mains
    A écrit la fraternité sur la première page de ses monuments
    Qu’il a distribué la faim de l’esprit comme de la liberté
    A tous les peuples de la terre conviés solennellement au festin catholique."

    Alors, il me semble que tout est dit...

    Entrant "au Fou de Bassan", je me récite ce rubayat d’Omar Khayam
    "Bois du vin ! Il te soulagera du TROP, du PAS ASSEZ,
    T’allègera des soucis des soixante et douze partis ;
    Ne rate pas cette pierre philosophale : si tu bois
    Seulement cinq verres, tu es guéri de mille maladies."

    À ciao à tous,
    et fraternité !

    NOSE

  • aujourd’hui , je vous convie , tous les ami(e)s à lever votre verre en l’honneur de Léa , et oui , c’est sa fete aujourd’hui !
    BOONNE FETE LEA .

    • Je ne me trompe pas, cher petit renard adoré, toujours à l’affût.

      Léa je dois reconnaître que notre ami Claude à marqué un point, il est le premier et le seul à avoir eu cette gentille attention.

      Bonne fête Léa "ma chérie",

      Esteban

    • Merci beaucoup, votre attention me touche ! Esteban, je te promets, tu peux vraiment ne pas mettre de guillemets.
      Mille baisers,
      Léa.

    • Bien sur , bien sur !

      Quand on est l’Adonis du troquet
      On peut ne pas mettre de guillemets ,
      Mais quand on est simple renard ,
      On n’a pas droit à un regard !
      La vie est trop injuste ,
      Bien sur le renard est frustre ,
      Mais lorsqu’il est bleu ,
      Il est quand meme heureux .
      deux mille baisers , foi de renard ,
      pour meriter un p’tit regard .
      claude de toulouse .

    • Suis je bete , l’ADONIS , du fou , les doigts pleins de guillemets ne peut plus frapper sur son clavier , c’est le moment dans profiter , alors Léa , belle Léa , n’ecoute pas les propos fleuris de l’Adonis , souvient toi du petit chaperon rouge , c’est pour mieux te voir mon enfant , c’est pour mieux t’entendre mon enfant , c’est pour mieux te croquer mon enfant ! Et je t’assure il ne dessine pas . Je sais bien qu’avant le destin des renards bleus ne s’accomplissait qu’a leur mort , ils pouvaient alors orner le cou des femmes , mais les temps ont changé , rien n’est plus beau qu’un renard bleu vivant !
      le renard bleu .

    • Mais les mille baisers c’était pour vous deux !
      Jamais vu un renard bleu pour l’instant. Des loups et des lions, oui. Ah si, un sacré renard une fois, très rusé, vraiment très rusé. Mais pas bleu.
      A bientôt ô Toulouse,
      Léa.