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la liberté d’expression des antiliberaux interprétée par des supporters de sarkosy en uniforme

Publie le samedi 3 février 2007 par Open-Publishing
2 commentaires

Comme souvent le samedi matin, devant les grandes surfaces ou aux
marchés, une dizaine de militants distribuaient ce samedi 03 février des
tracts "Vivre mieux on y a droit" à l’entrée de l’Intermarché Ousse des
Bois, (Boulevard de la paix, Pau) afin d’informer les habitants de ce
quartier populaire des propositions de la candidate de la gauche
antilibérale Marie-George Buffet.

Il arrive parfois que des directeurs de grandes surfaces expriment leur
mécontement face à ces distributions sur ce qu’ils considèrent comme une
propriété privée vis à vis des militants. Lorsque la Police nationale
est appelée, elle releve les identités des présents, constate l’absence
de troubles à l’ordre public, et après conversation correcte,
l’information à la population continue.

Ce samedi matin tout se passait bien, (sans aucun trouble à l’ordre
public bien sûr) : une centaine de tracts distribués, des discussions
politiques de fond avec les clients intéréssés, une quinzaine de
signatures appellant à voter MGB recueillies, deux Humanités Dimanche
vendues... jusqu’à l’arrivée vers 11 heures de deux motards, un membre
de la Police nationale et un membre des Compagnies Républicaines de
Sécurité (CRS).

Ce CRS a confondu manifestement ses fonctions publiques et ses opinions
politiques. Devant l’affirmation des militants qu’ils allaient
continuer leur activité d’information, il s’est permis de dire devant
témoins "Si vous n’aimez pas la France, quittez la !" et a décidé de
créer un incident, appellant renforts, BAC, etc... Devant le refus des
camarades qu’un seul d’entre eux soit "embarqué", ce CRS s’est même
permis de rajouter "Toi, si tu continues à me regarder comme ça, je
t’éclate la tête"...

Les deux citoyens amenés à l’Hotêl de Police, rue O’Quin, peuvent aussi
témoigner que là, les membres de la Police nationale présents ont eu une
attitude toute différente, digne de celle que l’on peut attendre de
fonctionnaires publics. Après une quinzaine de minutes, vérification et
inscription de leur identité, les deux militants interpelés ont été
"rélachés" et ont rejoint devant le commissariat la dizaine de camarades
venus les soutenir.

Messages

  • Et on va en voit d’autre rien d’étonnant !mais à Pau il y a un autre probléme:le maire socialiste fait appel à une société privée pour casser la gréve des éboueurs,nie le droit à la seule CGT de négocier parce qu’elle refuse de reprendre le travail sur de vagues promesses,il ne veut recevoir que FO et La CFDT.

    Préçisons que le maire est socialiste et que son respect des travailleurs est quand même limité.

    Socialiste ou socialsarkosiste ?

    Jean Claude des Landes

    • PAU ville authentique ,belle image avec sa gréve des éboueurs qui s’achève avec une promesse de négociation prochaine ! pour memoire il faut savoir que le nouveau Maire a envoyé pour" négocier "et surtout pour le mettre à l’épreuve l’ancien élu Communiste Sylvano(pour les intimes) qui s’est fait son trou dans la court de Feu andrélabarrere en crachant sur son parti et en essayant de se faire payer 50000euros sur les cotisations des communistes des PA aprés avoir démissioné de son statut d’aparatchic ! rendez vous donc jeudi 8 février à 10h palace de la république à Pau avec tous les fonctionnaires en lutte !
      la lutte continue la campagne populaire antilibérale avec marie georges promet d’être authentique elle aussi ! berurouge