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Premières tractations entre le PS et le PCF en région parisienne

Publie le mercredi 10 octobre 2007 par Open-Publishing
29 commentaires

de Jean-Michel Normand et Sylvia Zappi

"Pour le parti socialiste et le Parti communiste, c’est une habitude avant les échéances électorales : faire du bruit et bomber le torse. Tout en sachant que, finalement, il faudra bien s’entendre pour reconquérir certains des fiefs perdus en 2001.

Alors que les rencontres ont débuté pour préparer les municipales et cantonales de 2008, les deux partis ont entonné leur refrain. Bruno Le Roux, secrétaire national du PS aux élections, assure qu’"il ne peut y avoir d’autre stratégie que de rassembler à gauche" mais, ajoute-t-il, "le rassemblement de la gauche réclame des rééquilibrages" tenant compte du poids électoral de son parti.

Le dirigeant socialiste espère aboutir à des accords avec le PCF début novembre.

Le maire PS de Pau tenté de rejoindre une liste d’ouverture
Après avoir rencontré Nicolas Sarkozy, le maire socialiste de Pau, Yves Urieta - en conflit avec les instances locales du Parti socialiste - pourrait rejoindre l’UMP sur une liste d’ouverture lors des élections municipales. En 2006, après le décès d’André Labarrère, M. Urieta avait été élu par le conseil municipal malgré l’opposition de la section socialiste. En septembre, les militants PS ont désigné la députée Martine Lignières-Cassou pour mener la liste de gauche. Malgré une réunion de conciliation organisée sous l’égide de François Hollande, aucun accord n’a pu être trouvé. David Habib, député PS des Pyrénées-Atlantiques, qui voit dans M. Urieta "le candidat masqué de l’UMP", estime que cette candidature vise à contrecarrer celle, de plus en plus souvent évoquée, de François Bayrou à la mairie de Pau. Réélu lors des dernières législatives dans les Pyrénées-Atlantiques, le président du MoDem n’a jusqu’à présent ni confirmé ni démenti son intention de conduire une liste aux municipales de mars 2008.

Les communistes déclarent qu’il serait "suicidaire" de se diviser face au gouvernement Sarkozy. "Le problème est de garder les départements à gauche et d’en gagner de nouveaux face à la droite, pas de se lancer dans une guerre fratricide", a lancé Michel Laurent, membre de l’exécutif, qui rappelle la "règle" : la reconduction des sortants.

La Seine-Saint-Denis constitue l’enjeu principal de ces prénégociations. Les socialistes avaient réclamé dès septembre des "primaires" sur six villes : Aubervilliers, Bagnolet, Pierrefitte, La Courneuve, Saint-Ouen et Villetaneuse, estimant que les résultats aux législatives leur donnaient l’avantage. Ils ont également laissé planer la menace d’un soutien à une liste des Verts à Montreuil contre Jean-Pierre Brard (app. PCF), maire sortant. En face, les équipes communistes commandent des sondages, dont certains témoignent, comme à Aubervilliers, de leur avance. Le PS laisse désormais entendre qu’il pourrait renoncer à revendiquer certaines mairies.

Comme dans d’autres départements, l’enjeu des municipales en Seine-Saint-Denis en cache un autre, celui des cantonales. Avec 11 sièges sur les 15 renouvelables, les communistes savent qu’ils ont toutes les chances de perdre le conseil général qu’ils ne tiennent qu’à une voix face au PS. Ce dernier en réclame la présidence et Claude Bartolone s’y verrait bien.

Après avoir lorgné sur le canton de Bagnolet, le député socialiste de Seine-Saint-Denis envisage de se porter candidat à Pantin, siège détenu par un ex-Vert, exclu de ce parti pour s’être trop rapproché du PRG. Aux écologistes, il est proposé de laisser le champ libre en échange d’un soutien socialiste à Dominique Voynet qui convoite la municipalité de Montreuil, et à deux candidats Verts aux cantonales à Bagnolet et Aubervilliers. "Les discussions restent locales, il n’y a aucune décision nationale sur Montreuil", précise Michel Bock, membre du collège exécutif des Verts.

Le "deal" fait bondir certains responsables Verts. "Pas question de servir de bras armé du PS pour casser du communiste dans un département où leurs sortants n’ont pas démérité et au moment où nous avons mis en place ensemble un groupe PCF-Verts à l’Assemblée nationale !", s’exclame Jean-Vincent Placé, président du groupe Verts au conseil régional d’Ile-de-France, en rappelant qu’il a son mot à dire sur les investitures et les alliances. "De toute façon, Voynet n’a aucune chance face à Brard", pronostique-t-il.

Dans les Hauts-de-Seine, le principal blocage se situe à Nanterre, où le PS local menace de se lancer dans une primaire bien que le candidat socialiste ait été devancé par Jacqueline Fraysse, députée communiste réélue en juin. Un compromis pourrait être trouvé en laissant un candidat socialiste succéder à l’un des deux conseillers généraux sortants communistes de Nanterre.

Présidé par les communistes, le Val-de-Marne est aussi le théâtre d’une compétition à gauche. Les socialistes locaux ont mis la barre très haut et revendiquent la prééminence dans les communes de Vitry, Villejuif et Ivry, détenues par le PCF, quitte à modérer leurs ambitions sur le conseil général, menacé de basculer à droite. "On se demande ce qu’il leur prend, ce n’est pas sérieux. Deux départements dirigés par les communistes, ce n’est pas trop !", réagit Michel Laurent.

Entre le PS et le Mouvement républicain et citoyen (MRC), les points de friction se situent aux Ulis (Essonne), dont le maire est Paul Loridant, et à Paris, où Georges Sarre se prévaut d’un accord avec la direction nationale du PS pour conserver la mairie du XIe arrondissement que Patrick Bloche, député socialiste, entend lui disputer. A Belfort, dont le maire fut longtemps Jean-Pierre Chevènement, PS et MRC sont également en concurrence. Enfin, un accord devrait intervenir en faveur du PCF à Dieppe, au Havre, à Bourges et à Vierzon, d’anciennes villes communistes remportées par la droite en 2001.

http://www.lemonde.fr/web/article/0...

Messages

  • nos alliés sont aussi nos fossoyeur ... quant est ce que l’on s’en rendra compte à Fabien .... pitoyable ...

    • Nos fossoyeurs ne peuvent pas etre de VRAIS alliés. Je dirai plutot que le PC fait un " pacte avec le diable ". Quand aux Verts qui défendent le PC parce qu’il y a un groupe commun à l’Assemblée, quel est le prix de cette " défense " ?. Vieux stal borné.

    • "Vieux Stal Borné, combien de divisions ?"
       ;-))

      Ben oui, t’as raison VSB, comme souvent.....pppfff....je ne réagis même plus à ce genre de "nouvelles" tellement ça me MINE LE MORAL.

      Surtout rien que de suppposer les "justifications" qu’"on" va nous sortir pour gober le tout....

      La Louve

    • Bises, petite Elodie. Combien de divisions ? Je sais d’ou tu la tiens celle-là. Pour le moment, tu es encore une jeune stal bornée, mais si tu arrives à faire avancer tant soit peu le schmilblik, alors là.......Parce que, en ce qui me concerne, j’y réfléchis depuis longtemps, au " stalinisme " ,et quand je vois la " tontonmania " aussi appelé " mitterrandolatrie ", je compare le P.S actuel au défunt P.C.U.S et, alors là, JE ME MARRE, JE POUFFE, et JE ME GAUSSE. Ben oui, c’est tout ce que peux faire. Je te pense un petit post personnel. A plus et gros poutous. Vieux stal borné.

  • Avant relire Rosa Luxembourg ici : http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=53455

    Et ensuite, signer la pétition des communistes ici, plus que jamais d’actualité, avec son nom et sa section du PCF, pour un référendum militant sur les municipales et les alliances avec le PS.

    LA PETITION ICI : http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=53075

  • Le PS est en déliquescence et le PC totalement passé sous silence.
    Le PC n’a rien a espéré d’un parti qui lui a pris trois millions de votants depuis 81 et qui aujourd’hui commerce sans complexe avec Sarko, bien au contraire.
    Il faut que le PC ait le courage de faire cavalier seul, ce qui ouvrira un chemin vers une autre alternative que le libéralisme aux français.
    Quand bien même le PC perdrait quelques circonscriptions, il resterait le seul parti "honnête" envers la "France d’en bas" et ce sera son meilleur atout face aux électeurs.

    Nous devons nous distinguer du PS, c’est une question de crédibilité et de resperct vis-à-vis du peuple.

    L’AMI DE MON ENNEMI EST MON ENNEMI !

    Laissons venir à nous les déçus du Sarkosime et des réformes. Avec le PS à nos côtés, ils iront voir ailleurs.

    roubaisienne

  • COMME LES PARISIENS ONT PRIS LA BASTILLE, LES COMMUNISTES ENCARTES OU PAS, ATTACHES A LA LUTTE DES CLASSES DEVRONT PRENDRE LA PLACE FABIEN ! ( qui doit se retourner dans sa tombe... )

    EUGENE VICTOR

  • Le plus interessant c’est la réaction à cet article. malheureusement le PCF est devenu un parti d’élu. En continuant ses alliances à tout prix avec un PS qui n’a pas défini ses objectifs sociétaux, le PCF se condamne en tant qu’organisation. Mais ses militants qui font sa richesse, sauront refonder ou renforcer des courants réellement anticapitaliste !
    Jacques Beauché
    http://jac.beauche.free.fr

  • rassembler à gauche ?

    mais quelle gauche ! avec le parti socialiste ?

    celui du social libéralisme ? des fabusiens qui veulent nous faire la peau, dans le 93 ?
    Certains de nos élus vont à la soupe pour quelques places comme ils l’ ont fait avec J BOVE.

    Mais cela n’empèchera pas le PS de présenter des candidats, bien fait pour leur gueule !

  • Pas un bouton de guêtre, pas un souffle, pas un bras, pas une force, doivent manquer au mouvement social de riposte à l’agression sociale du Saekozysme.

    Faisons cela, mettons au centre cette politique de gauche réelle, la bataille sociale contre les agressions du bourgeois de Neuilly, dressons en fonction nos revendications et nos orientations : Retraites à 37,5 ans à taux plein, 1500 euros nets tout de suite, défense des régimes spéciaux, gratuité généralisée des soins (donc les histoires de dé-remboursements....), socialisations sous contrôle des travailleurs de l’énergie, l’eau, etc...

    Toutes ces batailles sont au centre de la colère de beaucoup de gens et le Parti avec lequel le PCF souhaite s’allier ne veut pas de ce qu’il a lui-même contribuer à casser (EDF, GDF, Retraites, etc) .

    L’alliance électorale est au détriment de la bataille sociale. Menez la bataille sociale et menez vos batailles électorales sur le même souffle, en défense de la mobilisation sociale, sur vos positions et vous verrez que ça sera nettement plus facile.

    S’allier avec le PS dans ces conditions glauques c’est l’exclusion du mouvement social, et c’est tourner le dos aux alliés politiques naturels : Les groupes révolutionnaires (LO et LCR), les libertaires, les gauches du PS et des Verts, etc.

    Encore une fois, après mille fois, ce sont des alliances de cliques, de sommets, contre les bases et sur des objectifs qui ne sont pas les objectifs des batailles en cours.

    Rien n’est plus important que d’avancer clairement pour un parti politique, de passer des alliances que dans la mesure où celles-ci permettent une prise de confiance en soi des travailleurs et des classes populaires, avec le diable si on veut si ça aide, mais là ce n’est pas le cas.

    Le PS désire se servir de la gauche comme un levier pour s’enkyster dans l’état, avoir des postes, nous n’avons pour l’instant aucun intérêt à cette alliance de cette façon.

    Il est incroyable que la direction de ce parti n’arrive pas à s’empêcher de retomber sans cesse dans la même ornière qu’elle n’a plus quitter depuis la fin des années 70.

    Encore une fois, ce n’est pas du sectarisme que de ne pas faire alliance de cette façon. Les seules alliances possibles, les seules politiques possibles sont celles qui se soumettent aux objectifs du mouvement social actuel en cours de démarrage. Elles ne peuvent se faire qu’avec la gauche réelle, pas avec la rue Solferino.

    Il n’y a pas de base travailleuse au PS à convaincre, celle-ci est atomisée dans ce parti, ne pèse ni politiquement ni culturellement, ni socialement.

    Tout devient simple quand on mène la bataille sociale, et on plie les alliances électorales au développement de la force des travailleurs. Les alliances se font après aisément et , cerise sur le gâteau, même le PS se mettra à changer ses objectifs si il veut survivre sur la gauche.

    Il y a comme un cauchemar de voir sans cesse de mêmes politiques se renouveler, avec le succès que l’on connait : des gauches de plus en plus à droite , préparant sans cesse le retour des droites de droite...

    Copas

    • Je suis d’accord avec Cop et de plus, en toute bonne foi, notre ami Goujat parle de " se servir de la presse de droite " pour faire avancer notre cause ? Cela vaut d’y réfléchir, mais il faut connaitre la démarche du PC interdit par Pétain et " démarchant " les Allemands pour faire reparaitre l’Humanité. Je n’en dis pas plus, espérant PROVOQUER un débat et une réflexion. Mettons l’amour " propre ? " de coté, pas d’insultes, ni d’animosité, " de la discution jaillit la lumière ", et ne recommençons pas une nième fois des c.... dont la critique a été faite en leur temps. Amitiés à tous les humains de bonne volonté. Vieux stal borné.

    • Vieux Stal Borné, vil provocateur, attends un autre sujet avant de déclencher une bagarre de saloon sur le sujet de la division du PC entre ceux qui voulaient faire paraitre l’huma en démarchant les autorités nazies et ceux pour qui, rien que l’ombre de l’ombre d’une telle pensée leur faisait dresser les cheveux sur la tête bien raides et roides d’avoir porter les armes dans les brigades internationales contre Franco et les nazis.

      Sur la question des médias....

      Nos amis de Bellaciao nous foutent une honte profonde en montrant la voie .

      Il nous faut un net avec nos centaines de milliers d’yeux, de cerveaux et d’oreilles, d’intelligences partout, rapportant ce qui se passe (là ou Indymédia s’est ramassé la gueule, nous pouvons mener à bien l’affaire) , sans sectarismes, des espaces où d’autres sons de cloche résonnent, où les enquêtes et les analyses se portent, où les faits s’abattent, drus, sur les discours de Télé-Sarko, ...

      La réponse en ce moment passe un peu là, et dans chaque entreprise en relevant la tête et en faisant lien entre problèmes de l’entreprise et logique politique, en démarchant chaque travailleur et en poussant la porte du voisin.

      Pas une grande rue sans ces chapelets de conscience, réseau d’intelligence, physique et réseau du net.

      Une partie de la question médiatique est là.

      Et Vieux Stal borné arrêtes de donner des coups de canne et de poser des pains de plastic dans la cage d’escalier du quartier général !

      TI Rex Red borné
      Cop.

    • Pardon vieux stal tu te plantes, ce n’est pas parcequ’ un camarade a fait une connerie et en l’occurrence le camarade Tréand que c’est une vérité.

      Nos camarades de la résistance ont fait des bêtises certes, mais ils ont gagné la guerre et c’était une période plus compliquée que maintenant.

      Oui nos dirigeant actuels ont flingué le parti et on a perdu.

      J’enrage que cette infamie ait pollué la pensée.

      Si nous avons fait cela, alors Guy Moquet était un traite.

      Personnellement je serai impitoyable avec les cancres ( ou bien c’est une stratégie de Fabien)

      Quand je lis l’intervention de Cohen Seat qui dit que nous lui faisons un procès de Moscou, pour aujourd’hui ça suffit.

      Francis

    • Tout à fait d’accord avec vous, Copas et VSB.

      Mais le problème ça n’est pas que les masses ne sont pas ou plus politisées, mais que les dirigeants du PC le sont encore moins, pour ceux qui sont sincères. Pour les autres...

      Et qu’aucune structure n’est plus en place pour que les militants, (Et les anciens militants), reprennent le pouvoir ou reviennent dans le giron.

      Les partis en France ont été placés, (Pardon se sont placés), sous perfusion financière du pouvoir de la soi-disant République ou de ce qu’il en reste.

      Pour les autres partis "bourgeois" c’est tout naturel, pour les partis qui se définissent comme "révolutionnaires", ou qui devraient le faire, c’est catastrophique.

      J’ai suivi sur Bellaciao et ailleurs tous les débats douloureux qui ont eu lieu lors des Présidentielles. Et je vous jure que j’ai pu lire des choses par des militants sincères qui auraient du me faire pleurer.

      Bien souvent ça ne dépassait pas le niveau d’une Coupe du Monde de foot. Comme si il n’y avait que l’entraîneur qui compte dans une équipe.

      Je pense perso que si la direction du PCF, pour ne citer qu’elle, continue à ne pas vouloir regarder les réalités, et surtout à ne pas y associer ses militants et les forces communistes hors carte, il n’y aura bientôt plus de Parti révolutionnaire en France. car les "autres" partis "communistes" n’ont de raison d’exister justement que parce que le PCF ne joue plus son rôle.

      Attention, je n’ai pas dit "plus de PCF". Le PCF tel qu’il est aujourd’hui la bourgeoisie se gardera bien de le faire disparaître. Il lui est trop utile dans cet état. Même ils le maintiendront sous perfusion pour bloquer la place.

      Alors y a qu’une solution. Comme disent les Ricains : "Cut and Run".

      Abandonner les structures pesantes pour de nouvelles plus horizontales. Créer ce qu’on pourrait appeller des vraies structures de combat. Car c’est de combat qu’il s’agit. Et le faire avec les autres Partis qui voudraient s’y associer.

      De même larguer, (Ou sous-louer pour les valoriser), tous ces biens immobiliers qui obèrent le budget du Parti . Tous ces sièges de fédés et nationaux qui nous bouffent en remboursement d’intérêts et en entretien, et qui ont été pensés pour un Parti de 1 000 000 de membres. Tous ces signes qui gonflent l’égo des dirigeants mais qui ne servent plus à rien.

      Et redistribuer les revenus du Parti au niveau de l’action quotidienne. Avec des moyens modernes de communication, de la matière grise et du travail militant.

      Il ne s’agit pas de se saborder, d’abondonner le nom, le Communisme, ou même les Logos, comme certains voudraient bien le voir faire, mais de redistribuer les moyens en fonction des structures et des vrais besoins à ceux qui pourront vraiment les valoriser auprès des travailleurs sur les lieux ou ils militent.

      Mais ce que j’en dis... C’est vrai que logiquement je ne devrait pas le dire, m’étant séparé physiquement du Parti il y a 5 ans, même si je rêve de pouvoir un jour y reprendre la place militante que j’y ai occupée durant 40 ans. Comme d’ailleurs des milliers d’autres ex-membres du PCF.

      Mais on peut rêver. Et puis Bellaciao, c’est ausi un terain de rencontre ouvert y compris aux mal-pensants. No ?

      G.L.

    • MERCI DE TA REACTION, C’ETAIT CE QUE VOULAIS PROVOQUER. MERCI CAMARADE ; Vieux stal borné.

    • Merci COPAS pour la justesse de ton propos.
      Après avoir assumé durant des années des responsabilités à la CGT et auPCF,je constate,aujourd’hui comme hier,la difficulté d’assumer aussi la délégation de "pouvoir".

      Quand les camarades nous élisent aux responsabilités,la majorité pensent "que nous allons faire et decider à leur place".C’est pas juste,pas démocratique,mais c’est un fait,et il faut faire avec.

      "on vous fait confiance". Quel militant n’a pas entendu ça ? et puis,avec quelques Cdes "RESPONSABLES" tu décides,et quand il s’agit d’une décision d’action,les nuits ne sont pas synonymes de sommeil réparateur.

      Mais jamais dans nos décisions nous n’avons privilegié la forme au détriment du fond.

      Il faut bien reconnaitre,aujourd’hui,que la direction du parti n’est pas dans cette voie.

      Aller faire du mercantilisme avec la droite( je parle du ps ) pour magouiller la lutte des places,alors que se profilent des actions d’un haut niveau bien ancrées sur des positions de classe,c’est trahir les communistes,c’est trahir le peuple.

      Repartir dans les errements du passé,ce n’est plus de l’incompétence,c’est un suicide ou pire une trahison !

      Très fraternellement LE REBOURSIER

    • Merci " 82 107 " Francis, je ne suis pas un cancre et ce n’est pas une stratégie de Fabien, l’histoire de la réapparition de l’Huma, je la connais, MOI. Je résume, et si tu n’es pas d’accord, ton DEVOIR est de le dire. Dans le contexte de 40, le JEUNE Parti Communiste, relativement inexpérimenté, avec de JEUNES dirigeants, applique avec le zèle des néophytes la règle : se servir des possibilités de la légalité bourgeoise pour combiner le travail légal et ilégal. C’est dans cet esprit que doit se comprendre cette démarche. EVIDEMMENT, C’ETAIT UNE ERREUR. Mais la presse du capital s’en servira pendant des décennies dans son matraquage idéologique, pour salir le Parti Communiste. C’est peut-etre aussi la FAUTE que commettra Marcellin Albert, quand il dira naivement aux journalistes que Clémenceau lui avait donné cent francs pour prendre le train et rendre compte aux viticulteurs du Midi. Si tu relis bien mon post, tu verras que je ne traite nullement les communistes de ceci ou de cela, j’ai été membre du Parti pendant plus de vingt ans. Ce que je pense de la direction prise notamment depuis 81, c’est autre chose. Et quand un camarade parle de " se servir de la presse de droite ", ça me rend plus que méfiant ? Parce que, à essayer de se servir de ces gens-là, on risque plutot de finir par les servir, EUX. La preuve, avec cette histoire de l’Huma. ILS SONT VACHEMENT VICELARDS. La question que, par exemple Marjo aurait DU poser, est la suivante : qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Et quel rapport avec ce qui nous préoccupe ? Mais il est beaucoup moins fatiguant de fontionner sur les réflexes conditionnés par le capital que de les remettre en cause. Et c’est cette idéologie capitaliste, inconsciente, que Marjo prend pour SA reflexion personnelle. Marjo, quel était le philosophe ( Spinoza, non ? ) qui disait que nous CROYONS libres parce que nous IGNORONS les CAUSES QUI ONT PRODUIT NOS IDEES ? TA liberté, Marjo, c’est la liberté de LA BOURGEOISIE. Et le Russe de 1820, qui a le ventre creux, ou le vénézuélien de Chavez, ou le birman qui se fait tirer dessus s’en foutent. Ceci dit, j’ai autre chose à faire que me faire traiter de salopard par des empéchés du bulbe. Alors, Marjo bon courage, et on se retrouve dans quelques mois ? Vieux stal borné.

    • Cher Francis 82 107, une précision supplémentaire : en 75 environ, j’ai participé, avec ma section syndicale dont j’étais secrétaire, aux commérations à Chateaubriand, SUR LE LIEU MEME OU LES RESISTANTS ETAIENT FUSILLES. GUY MLOQUET N ETAIT PAS UN TRAITRE. Vieux stal borné.

    • Idem pour moi, Reboursier, quand je me suis apperçu que le syndicat C’ETAIT MOI, et que de plus, les gens que je prétendais défendre me tiraient dans le dos, je me suis mis aux concours. Quand à ce qu’ils sont devenus.....Vieux stal borné.

    • Ce que fait le PS en région parisienne,et pas seulement,est typique de ses attitudes et c’est habituel,ça fait des années que c’est comme ça.

      Alors c’est quand même aux sections locales à prendre les déçisions qui s’imposent.Et le probléme est tout simplement résumer dans une seule question:sont elles capables,ont elles les moyens physiques et idéologiques de se lancer dans une campagne électorale seules,avec des chances d’arriver devant le PS dans toutes les municipalités ou le maire est communiste ?

      Et je vous laisse imaginer si d’aventure le PCF ne devais en récupérer aucune,la campagne médiatique qui s’en suivrait.

      Nous avons du mal à faire face à la déferlante actuelle alors !!!

      Et il serait bien qu’au lieu de s’en tenir à un débat entre initiés,d’aller voir les gens et d’avoir leur avis,parce qu’il se pourrait fors que nous apparraissions comme des diviseurs position qui n’est généralement guerre appréciée par les travailleurs.

      Etre ferme sur les prinçipes,mesurer les rapports de forces et agir en conséquence.Et eviter de confondre programme municipal et programme national.Et rappeler que nous n’avons su nous servir de nos positions municipales pour progresser vu l’abandon dans lequel ont été nos conseillers municipaux,parce que parmi vous combien ont assisté aux compte rendus et ont répondu aux appels à soutien pour des projets municipaux présentés par nos conseillers ?

      Jean Claude Goujat PCF

    • Vieux Stal mon ami mon camarade pardon, j’ai mis du temps à percuter.

      Tu sais je suis un tout jeune sur ce site.

      Et puis là haut à Fabien ils me mettent les boules, je démarre au quart de tour.

      Salut et fraternité. Le gaffeur

    • EXACT pour les séances de conseil municipal. Vieux stal borné.P.S. Mais comme les séances de conseil municipal sont le soir, donc fatiguantes , et relativement dificiles à suivre pour les salariés, regarde donc les assemblées générales de copropriétaires, pour voir ?

    • VIEUX MOTARD QUE JAMAIS. Et comme je dois etre à Paris fin Toctobre, ( ceci est une liaison malZapropos ), je t’inscris sur la liste de ceux qui en seront d’une tournée au troquet du coin. Ca t’apprendra à tourner ta langue sept fois dans la bouche de ta voisine avant de sortir ta kalachnikov. Remarque, j’ai quand meme été un peu vicelard.....Mais réfléchissons à cette tendance que la bourgeoisie a réussi à fabriquer dans les tetes des gens : GRATUITEMENT et RAPIDEMENT BINAIRES. Je vais continuer un petit boulot que je trouve de plus en plus passionnant : le matérialisme dialectique expliqué aux nuls, sur Bellaciao, à partir du bouquin de Politzer. Va voir, et dis-moi ce que tu en penses. Amitiés.Vieux stal borné. P.S. Avec ma provoc, NOUS avons, TOI et MOI, réussi à remettre sur la table un épisode de la lutte de classes. Et je peux te dire que la commémo à Chateaubriand, dans la clairière, ça n’a pas peu fait pour AIGUISER MA CONSCIENCE DE CLASSE : PLUS JAMAIS CA.

    • Fais connaitre ton idée, après tout, Bellaciao est un site de discution. Vieux stal borné.

  • pour infos, à Bourges ce sera une tête de liste Socialiste et un premier adjoint communiste.
    Pour infos, lors des cantonales, il n’y aura pas de primaire à gauche à Bourges et dans chacun des cantons détenus par celle- ci actuellement....chaque canton présentant une candidature unique..reste à savoir qui et où...!!!!

  • ndlr : j’oubliais.....Bourges est passée à droite en 1995 quant à vierzon......oulalalala.....89 ????

  • lundi 15 octobre 2007 (20h11) :
    Lettre ouverte à Ernesto Che Guevara
    “Laissez-moi vous dire, au risque de vous paraître ridicule, que le véritable révolutionnaire est guidé par des sentiments d’amour. Il est impossible de penser en authentique révolutionnaire si on est dépourvu de cette qualité ».

    Mon cher Che :

    Déjà quarante années se sont écoulées depuis ce jour où la CIA t’a assassiné dans une forêt de Bolivie, ce 8 septembre 1967. Tu avais alors 39 ans. Tes bourreaux pensaient qu’en criblant ton corps de balles après t’avoir capturé vivant, ils allaient condamner ta mémoire à l’oubli. Ils ignoraient que contrairement aux égoïstes les altruistes ne meurent jamais. Les rêves de liberté ne restent pas enfermés dans des cages comme des oiseaux apprivoisés. L’étoile de ton béret brille avec plus d’éclat, la force de tes yeux guide des générations sur les routes de la justice, ton visage serein et déterminé inspire confiance à ceux qui luttent pour la liberté. Ton esprit franchit les frontières de l’Argentine, de Cuba et de la Bolivie et comme une flamme ardente enflamme encore aujourd’hui le cœur de beaucoup de révolutionnaires.

    Ces quarante années ont vu survenir des changements radicaux. Le mur de Berlin est tombé ensevelissant sous ses décombres le socialisme européen. Beaucoup d’entre nous comprennent aujourd’hui seulement l’audace dont tu fis preuve, en 1962, à Alger, lorsque tu signalais les fissures dans les murailles du Kremlin qui nous semblaient pourtant si solides alors. L’Histoire est un fleuve impétueux qui ne sait pas contourner les obstacles. Le socialisme européen essaya de faire barrage aux flots du fleuve avec le bureaucratisme, l’autoritarisme, l’incapacité à faire passer dans la vie du peuple les progrès technologiques qu’avait apportés l’aventure spatiale et, surtout, il se drapa dans une rationalité économiciste qui ne plongeait pas ses racines dans l’éducation subjective des acteurs de l’Histoire : les travailleurs.

    Qui peut dire si l’histoire du socialisme ne serait pas différente aujourd’hui si on avait prêté attention à tes paroles : « L’Etat se trompe parfois. Quand se produit une de ces erreurs, on constate une baisse de l’enthousiasme collectif à cause d’une réduction quantitative de chacun des éléments qui le composent et le travail se paralyse jusqu’au point d’en être réduit à des quantités insignifiantes : c’est le moment de corriger ».

    Che, beaucoup de tes craintes se sont avérées justes au cours de toutes ces années et ont contribué à l’échec de nos mouvements de libération. Nous ne t’avons pas assez écouté. Depuis l’Afrique tu as écrit, en 1965, à Carlos Quijano du journal Marcha de Montevideo : « Laissez-moi vous dire, au risque de vous paraître ridicule, que le véritable révolutionnaire est guidé par des sentiments d’amour. Il est impossible de penser en authentique révolutionnaire si on est dépourvu de cette qualité ».

    Cette remarque coïncide avec ce que l’apôtre Jean, exilé sur l’île de Patmos, écrivit dans l’Apocalypse, il y a deux mille ans, au nom du Seigneur à l’Eglise d’Ephèse :

    « Je connais ta conduite, ton labeur, ta constance. Tu ne peux, je le sais, souffrir les méchants. Tu as mis à l’épreuve ceux qui se prétendaient apôtres et tu les as reconnus menteurs. Vous avez été persévérants. Vous avez souffert à cause de mon Nom et vous n’avez pas perdu courage. Mais il y a quelque chose que je condamne en toi : tu as abandonné ton premier amour » (2,2-4)

    Certains d’entre nous, Che, ont abandonné l’amour des pauvres dont le nombre se multiplie, aujourd’hui, dans notre grande patrie latino-américaine et dans le monde entier. Ils ont cessé de se laisser conduire par de grands sentiments d’amour pour se plonger dans de stériles disputes partisanes et parfois ils font de leurs amis des ennemis et de leurs véritables ennemis des alliés. Corrompus par la vanité et obsédés par la dispute des espaces politiques, leur cœur n’est plus enflammé par des idées de justice. Ils sont restés sourds aux cris du peuple, ils ont perdu l’humilité du travail à la base et maintenant ils troquent des utopies contre des votes.

    Quand l’amour se refroidit, l’enthousiasme s’éteint et le dévouement s’assèche. La cause comme passion disparaît comme l’idylle dans un couple qui ne s’aime plus. Ce qui était « notre » se dit « mon » et les séductions du capitalisme ramollissent les principes, changent les valeurs et si nous poursuivons encore la lutte c’est parce que l’esthétique du pouvoir exerce plus de fascination que l’éthique du service.

    Ton cœur, Che, battait au rythme de tous les peuples opprimés et exploités. Tu as parcouru toutes les terres depuis l’Argentine jusqu’au Guatemala et jusqu’au Mexique, puis du Mexique à Cuba, de Cuba au Congo, du Congo en Bolivie. Toujours tu es sorti de toi-même, embrasé d’un amour qui se traduisait dans ta vie par la libération. C’est pourquoi tu pouvais affirmer avec l’autorité qui convient : « avoir une grande dose d’humanité, du sens de la justice et de la vérité pour ne pas sombrer dans des extrêmes dogmatiques, dans des raisonnements scolastiques froids, dans un éloignement des masses. Il faut lutter chaque jour pour que cet amour de l’humanité vivante se transforme en faits concrets, en gestes qui servent d’exemple, de mobilisation ».

    Combien de fois, Che, notre dose d’humanité ne s’est-elle pas asséchée, calcinée par des dogmatismes qui nous ont emplis de certitudes et nous ont laissés vides de sensibilité envers les drames des damnés de la Terre ? Combien de fois notre sens de la justice ne s’est-il pas perdu en discours scolastiques froids qui proféraient des sentences implacables et qui proclamaient des jugements infâmants ? Combien de fois notre sens de la vérité ne s’est-il pas cristallisé en exercice de l’autorité sans que nous répondions aux désirs de ceux-là qui rêvent d’un quignon de pain, d’un peu de terre et d’un peu de joie ?

    Tu nous as enseigné un jour que l’être humain est « l’acteur de ce drame étrange et passionnant qu’est la construction du socialisme dans sa double existence d’être unique et de membre de la communauté ». Et que ce dernier, le socialisme, n’est pas « un produit fini. Les défauts du passé se transportent dans le présent dans la conscience individuelle et il faut entreprendre un travail permanent pour les éradiquer ». Peut-être aurions-nous dû mettre en avant plus fortement les valeurs morales, les stimulations subjectives, les aspirations spirituelles. Avec ton sens critique aiguisé, tu as pris soin de nous prévenir que le « socialisme est jeune et renferme des erreurs. Les révolutionnaires manquent souvent de connaissances et de l’audace intellectuelle nécessaire pour affronter la tâche du développement de l’homme nouveau avec des méthodes autres que les méthodes conventionnelles, car les méthodes conventionnelles pâtissent de l’influence de la société qui les a produites ».

    En dépit de tant de défaites et d’erreurs, nous avons engrangé des conquêtes importantes tout au long de ces quarante années. Les mouvements populaires ont fait irruption sur tout le continent. Aujourd’hui, dans beaucoup de pays, sont mieux organisés les paysans, les femmes, les ouvriers, les indiens et les noirs. Parmi les chrétiens, un nombre important d’entre eux ont choisi le camp des pauvres et ils ont mis au monde la Théologie de la Libération. Nous avons tiré des leçons des guérillas urbaines des années 60, de la brève gouvernance populaire de Salvador Allende, du gouvernement démocratique de Mauricio Bishop à l’île de Grenade, massacré par les troupes des Etats-Unis, de la victoire puis de la chute de la Révolution Sandiniste, de la lutte du peuple du Salvador. Au Mexique, les Zapatistes du Chiapasmettent à nu la politique néolibérale et se propage à travers l’Amérique Latine le printemps démocratique avec les électeurs qui répudient les vielles oligarchies et qui élisent des hommes et des femmes qui leur ressemblent : Lula, Chávez, Morales, Correa, Ortega, etc.

    Beaucoup reste encore à faire, mon cher Che, mais nous veillons avec tendresse sur ton héritage le plus précieux : l’esprit internationaliste et la révolution cubaine. L’un et l’autre se présentent aujourd’hui comme un seul symbole. Dirigée par Fidel, la Révolution cubaine résiste au blocus impérialiste, à la chute de l’Union Soviétique, au manque de pétrole, aux medias qui prétendent la diaboliser.

    Elle résiste avec toute sa richesse d’amour et d’humour, salsa et « merengue », défense de la patrie et exaltation de la vie. Attentive à sa voix, elle déchaîne un processus de rectification, consciente des erreurs commises et entêtée, malgré les difficultés actuelles, à faire que devienne réalité le rêve d’une société où la liberté de chacun soit la condition de la justice de l’autre.

    De là où tu es, Che, bénis-nous nous tous qui communions avec tes idées et tes espérances. Bénis aussi ceux qui se sont fatigués, qui se sont embourgeoisés ou qui ont fait de la lutte un métier pour leur profit. Bénis ceux qui ont honte d’avouer qu’ils sont de gauche et de se dire socialistes. Bénis les dirigeants politiques qui, une fois déchus de leur poste, plus jamais ne mettent les pieds dans une favela ni apportent leur soutien à une manifestation. Bénis les femmes qui, à la maison, ont découvert que leur compagnon était le contraire de ce qu’il affichait hors de la maison et aussi les hommes qui luttent pour en finir avec le machisme qui les écrase. Bénis-nous nous tous qui, devant tant de misère qui fauche tant de vies humaines, savons qu’il ne nous reste pas d’autre vocation que de convertir des cœurs et des esprits et de révolutionner des sociétés et des continents. Surtout, bénis-nous pour que chaque jour nous soyons motivés par de grands sentiments d’amour de sorte que nous puissions cueillir le fruit de l’homme et de la femme nouveaux.

    http://elortiba.org

    Buenos Aires – Argentina Kaos en la Red

    http://www.kaosenlared.net/noticia....

    Carlos Alberto Libanio Christo, mieux connu sous le nom de "Frei Betto" (1944), est un moine dominicain brésilien. théologien de la libération. Il est l’auteur de plus de 50 livres appartenant à des genres littéraires divers.

    Traduction : Manuel Colinas pour Cuba Solidarity Project http://vdedaj.club.fr/spip/article....

    De : Frei Betto
    lundi 15 octobre 2007
    Voilà un article intérêssant et non pas ce que vous écrivez !!!Pourquoi n’invitez vous pas ce "carlos Alberto Libanio Christo" sous le nom de FREI BETTO à venir débattre avec votre écrivain de service qui n’y entend rien,là on verrai comment il allait se défendre,lui qui n’a jamais vécu ce que vivent ces peuples d’Amerique Latine,il trouverait chaussure à son pied,comme vous d’ailleurs ?C4EST AUSSI VALABLE POUR LES ECHOS,L’EXPRESS,MARIANNE,LE JOURNAL DU DIMANCHE ETC.... à croire qu’il n’y a que cet écrivain qui dit la vérité ????.A L de TOULOUSE