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Albanel fait du chantage à Free, les lobbys approuvent !

Publie le samedi 13 octobre 2007 par Open-Publishing
9 commentaires

de Guillaume Champeau

Incroyable et pourtant vrai. La ministre de la Culture Christine Albanel a rencontré Free vendredi pour conditionner l’obtention d’une licence 3G à la collaboration de l’opérateur dans la lutte contre le piratage, en pointant du doigt un service pourtant légal et légitime. L’industrie culturelle, bien sûr, applaudit en choeur la ministre...

On pensait avoir à peu près tout vu avec l’ancien ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres. La nouvelle hôte de la rue de Valois, pourtant, fait encore pire que son prédécesseur dans l’obédiance aux grands lobbys français de l’industrie culturelle.

"Ensemble tout devient possible", avait prévenu pendant sa campagne Nicolas Sarkozy. On ne l’avait pas pris assez au sérieux.

Voyez-vous donc. Vendredi, Christine Albanel a convoqué le PDG d’Iliad (maison mère de Free) dans son ministère pour lui manifester "sa réticence face aux nouvelles caractéristiques du service de partage de dossiers volumineux de Free, +dl.free.fr+ qui permet de transporter des fichiers beaucoup plus volumineux". Quelques jours seulement après que la Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France (SPPF), lobby des maisons de disques "indépendantes", se soit émue publiquement de voir ainsi le fournisseur d’accès rendre service à ses clients (voir à ce sujet notre article du 3 octobre 2007). Ce service, rappelons-le, permet aux internautes de stocker et partager entre amis des fichiers volumineux, sans que Free n’intervienne dans le contrôle des fichiers échangés. Demande-t-on à la Poste d’ouvrir chaque colis qu’elle transporte et de poster des chiens renifleurs à chaque centre de tri ?

Christine Albanel ne connait pas l’Histoire...

Assimiler ce service qui s’inscrit dans la progression naturelle de la technique de communication à un simple service de piratage au détriment de l’industrie culturelle est aussi inconscient et maladroit qu’un décret américain de 1922, qui avait interdit aux radios de diffuser de la musique à l’antenne. A l’époque, le ministre du commerce des Etats-Unis avait lui-aussi écouté les industriels du disque, qui voyaient dans la radio l’outil diabolique qui les empêcherait de vendre des disques... Albanel est pire encore. Elle demande "la restriction effective" voire "la suppression pure et simple du service", et oublie que derrière sa mission de protège-paillettes se trouve aussi sa mission de ministre de la Communication, qui se doit de favoriser le développement des nouvelles techniques de communication en France.

Pire, confusion totale des genres, alors que l’ARCEP a refusé la candidature de Free à la quatrième licence 3G pour des motifs financiers, la ministre a indiqué que "l’engagement tangible de Free dans la lutte contre le piratage est un prérequis essentiel à l’examen de leur dossier d’attribution d’une 4e licence de téléphonie 3G". Il s’agit là d’un chantage gouvernemental à une société privée, qui ne s’appuie pourtant sur aucun texte de loi. Pour le moment, mais la mission de Denis Olivennes devrait suggérer d’y remédier, l’ARCEP ne dispose pas du droit de regarder la politique anti-piratage des opérateurs comme critère d’attribution et de régulation des fréquences.

Evidemment, on ne s’étonnera pas que les lobbys de l’industrie du disque et du cinéma se soient immédiatement réjouis de ce que la ministre ait suivie leurs recommandations à la lettre. La Sacem a déclaré apporté son "soutien" à la position de Christine Albanel, tout comme la Société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs (ARP) et la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD). Tous mitraillent Free, qui n’a pas réagi officiellement à cette fronde et au chantage dont il fait l’objet.

Renaud Donnedieu de Vabres était nul et incompétent, mais il avait au moins la qualité d’être maladroit et lâche et d’être ainsi relativement inoffensif. Christine Albanel, qui a transformé le Château de Versailles en parc d’attraction au détriment de la préservation du patrimoine, est visiblement toute aussi nulle et incompétente, mais assume clairement d’être la caniche des lobbys culturels. Bienvenue à Sarkoland.

 http://www.ratiatum.com/news5827_Al...

Messages

  • Mais c’est que c’est très dangereux des internautes libres !

    Christine sait que des internautes qui communiquent entre-eux et s’échangent des documents sont une TRES grande menace pour le pouvoir établi. Et que c’est une catastrophe pour les profiteurs milliardaires de l’industrie culturelle. Et Christine veut que ses copains profiteurs soient encore un peu plus gras et que le pouvoir quasi monarchique du petit président - et je ne parle pas du tout de sa taille - soit bien établi.

  • Albanel a raison ,
    Il ne faut pas que s’échangent des fichiers trop volumineux sur Internet. Car ce moyen est utilisé par les pirates, il faut donc interdire ce type d’échanges,

    Albanel a raison,
    Il ne faut pas que les mafiosis puissent se parler au téléphone, car 100% des bandits ont un portable, il faut donc interdire le téléphone, faire pression pour que Bouygues, SFR et machin chose cessent leur commerce qui est un encouragement honteux au délit

    Albanel a raison,
    La mobilité du banditisme rend difficile le règne bien pensé d’une vie policée, les véhicules à moteur sont souvent des instruments du banditisme leur permettant d’échapper aux représentants de la loi, les constructeurs automobiles sont bien des gens qui couvrent la délinquance en vendant fournissant à n’importe qui ces armes de pénultième catégorie, il faut interdire les automobiles et les routes en goudron . Place aux calèches, aux sentes campagnardes et à la lampe à huile (100% des délinquants appuient sur un interrupteur électrique)

    Albanel a raison,
    De tous temps des bandits ont utilisé le courrier pour monter des actes délictueux, il est nécessaire de faire pression sur les fabricants de pâte à papier qui couvrent ainsi lâchement le grand banditisme. D’accord ça empêchera les journaux et les livres de paraitre mais vous n’êtes quand même pas du côté des pédophiles voleurs de portables pirates du dernier Johnny et de scooteurs multi-récidivistes quand même ?

    L’inculte aurait fait empaler Gutenberg pour moins que ça....

    Albanel a raison,
    Il ne faut pas que les délinquants puissent se parler, car 100% des délinquants se parlent, il faut donc interdire aux gens de parler, couper les langues, mettre en prison professeurs et parents qui en apprenant à leurs sales moutards à parler , indéniablement les pousse à la délinquance, au gnouf le laxisme ! la langue, cet instrument charnu et incontrôlable est bien une arme de 1ere catégorie, coupez moi tout ça !

    Enfin, Albanel a raison,
    De tous temps, quasiment 100% des délinquants (sauf les ministres) se sont servis de l’espèce d’éponge humide qu’ils ont entre les deux oreilles pour préparer leurs forfaits. Le cerveau est bien une arme d’anté-1ere catégorie. Il faut aller jusqu’au bout de la logique et opérer à la naissance pour retirer ce pousse au crime qu’est le cerveau,.......
    ..........................et pour Albanel, pas de soucis, ......

    Bienvenue dans dans la France des sentes, des idiots heureux et de l’arriération , bienvenue ....

    Au nom d’un évadé fiscal et d’une poignée d’intérêts corporatistes ont essaye de contrôler d’interdire et de mettre en laisse la liberté d’échanger. La fureur sans limite de la poignée de bourgeois qui nous dirige contre nos libertés, notre créativité et notre liberté d’échanger, est sans limites.

    La culture, l’intelligence, le progrès, la recherche, l’humanité se nourrissent des échanges les plus libres possibles, Aubanel à la suite du précédent ministre et sous la dictée de l’élysée sort et braque son pistolet sur tout ça.

    On n’a pas affaire là à une défense de la culture mais bien à ce qui l’étrangle et la tue.

    La liberté n’est pas au programme d’Albanel.

    Copas

  • Et comme toujours on élude les solutions alternatives possibles !

    Qui parmi nous se plaindra de plus grand accès pour tous aux oeuvres de l’esprit, aux savoirs, aux connaissances accumulées durant des siècles, qui sont entrain d’être numérisées ?

    Avant Gutemberg, seuls les moines, possédaient les livres et le clergé négociait chèrement auprès du pouvoir en place, le partage et la transmissions de ces savoirs universels.

    Alors oui après la révolution de l’imprimerie et celle dite des nouvelles technologies, je suis pour faciliter l’accès pour tous internationalement, je ne renie en cela aucunement le droit d’auteur, auquel je suis très attaché, je suis farouchement opposé au copyright.
    Nous avons eu en son temps la K7, les marchands de K7 payaient une taxe de reproduction pour la copie privée qui était reversée aux sociétés civiles chargées de collecter les droits pour les reverser aux artistes, pareil aujourd’hui sur les CD vierges...

    Pourquoi, ne pas en tirer les leçons et proposer une taxation des "tuyaux", des fournisseurs et des plateformes, c’est assez simple et logique la seule difficulté réside du fait justement que ces fournisseurs sont de droit privé et qu’ils sont domiciliés aux quatre coins de la planète ... enfin surtout aux States. Mais c’est réalisable avec de la volonté plitique, hors c’est bien connu ceux qui nous gouvernent actuellement, si ils peuvent éviter de remonter les manches et de forcer les américains à s’asseoir autour d’une table. Déjà demander à ces ministres de fermer leurs "Blackbell" c’est dur, alors pour le reste vous pensez...

    Saissisons nous, de ce secteur de l’immatériel et défendons le avant qu’il ne soit formaté par les infos riches au détriment des infos pauvres.
    "omme disait un copain après les présidentielles Pocket P.C 2.0" un temps d’avance malgrè le score...
    créons des passerelles entre les militants arts et culture, médias et nouvelles technologies
    et agissons pour maintenir ce fragile espace de liberté et d’échanges

    Salut et fraternité,
    Boroh Piotr

    • RIEN DU TOUT IL FAUT DONNER !

      Liberté totale et sans taxation des tuyaux.

      Taxer les tuyaux c’est partir du postulat que le net étrangle les revenus des créateurs. La démonstration n’est pas faite globalement. Il n’y pas de raison particulière à filer des gros chèques à une dizaine d’artistes qui ramassent le jack pot . C’est également estimer (et on le voit dans la fièvre paranoïaque et délirante que le net tourne autour des revenus de cette poignée de gros intérêts.

      Il y a de plus dans cette affaire particulière une espèce de charge indigne et arriérée contre la création, l’utilité de l’échange de gros fichiers entre internautes.

      La taxation des tuyaux est la mauvaise solution, elle ne fait qu’alourdir le cout de l’informatique et des moyens d’échange.

      La chasse aux internautes, l’enrichissement d’une poignée de satrapes majors, n’apporte aucune création supplémentaire, peu de revenus supplémentaires aux créateurs.

      A la limite on pourrait taxer les tuyaux pour fournir la totalité de cet argent aux créateurs réels qui gagnent moins de 3000 euros par mois par exemple.... Pas nourrir Johnny (qui ne fait pas partie des nécessiteux et dont le fantasme favori est de ne pas avoir la fierté de verser un gros chèque à la collectivité, cet homme n’aime pas la société qui l’a nourrit), pas nourrir la bureaucratie SACEM, pas nourrir les majors qui ont stérilisé la création depuis longtemps.

      Dans la question du droit d’auteur de quoi parle-t-on ? Pas beaucoup des auteurs mais beaucoup des intérêts de quelques trusts de la musique, d’une bureaucratie dévoyée aux contrats exhorbitants (la SACEM), et les armées de contrôleurs qui pensent dur comme fer que le crime n’existe que depuis Internet.

      Pour les créateurs le net est un formidable moyen de se faire connaitre. Là où un créateur qui ne chante pas comme Céline Dion et n’a pas les fesses de tatoune n’a aucune chance de faire connaitre son œuvre vu le conformisme des majors, avec le Net il a sa chance, il a cette chance.

      Pas de taxation, pas d’espionnage (au contraire des lois qui mettent au gnouf les responsables d’entreprises privées ou d’état, qui font de l’espionnage), pas de répression. Au contraire extension de la liberté et des libertés non opprimantes.

      Copas

    • Cher Copas,
      tu simplifies un peu vite, car si tu payes en moyenne 29 euros par mois pour une ADSL box, on peut bien évidement penser que l’entreprise peut reverser une quote part au artistes, sans que cela te coute un cents de plus.

      Il est nécessaire, bien que la piraterie m’est toujours plu, d’aider les auteurs, je dis bien les auteurs je ne te parle pas des productions, en tout cas en 1er lieu.

      Il ne faut pas assimiler les majors et les 150 artistes quelles font vivre au plan mondial aux dizaine de milliers d’auteurs et d’artistes rien qu’en france qui touche des droits pour leurs oeuvres.

      Il est vital qu’un écrivain puisse vivre de l’air du temps et pour cela, on a pas trouvé mieux pour l’instant qu’une quote part à chaque diffusion de son oeuvre...

      A la différence du copyright, ou je te fais un chèque une fois et après je fais ce que je veux de ton oeuvre sans que tu ais le moindre droit de regard...

      Bien fraternellement.

      Boroh Piotr

    • Ca ne change rien au fond.

      Les règles étant ce qu’elles sont ce sont bien évidemment les internautes qui payent pour les bénefs des majors et une poignée d’auteurs qui ne savent plus dans quel paradis fiscal aller.

      Les différentes taxations sur ce terrain avec les corolaires d’acceptation d’espionnages des internautes par des intérêts privés, de bridages des moyens de communication du net, c’est bien comme si on n’avait mis une taxe sur chaque livre des presses de Gutenberg que celle-ci ait été versée au pape (en tant que patron des moines scribes), et qu’on ait limité celles-ci à la production de 10 pages par jour , aussi dément et ridicule.

      La question de la taxation comme alternative à la chasse rétrograde et policière, la limitation des moyens d’échanges de la part de la droite (et d’une partie de la gauche), me parait fort mal posée .

      On veut par là créer une pompe à fric et la pérenniser. Une pompe qui rendra très compliquée une socialisation des couts du net, afin de démocratiser encore plus l’accès au net (il faut des fois jouer avec plusieurs coups d’avance).

      La question de la juste rémunération des artistes nécessitera certainement autre chose, plus imaginatif, et surtout d’abord une analyse plus rigoureuse de la réalité du net (le net accroit-il les possibilités de revenu pour des artistes ou les diminue-t-il ? par exemple).

      Copas

    • Bien, je suis sur le fond d’accord avec toi cher camarad, mais n’oublions pas que le chemin jusqu’à la gratuité totale des savoirs est encore loin, sûr qu’il faut garder à l’esprit cette utopie nécessaire, cependant il y a des étapes incontournables, et c’est aujourd’hui que se joue les possibles victoires de demain.

      Actuellement, tu click, par ci puis par là, à la fin de la journée ton oeil avisé n’a t’il pas détecté tous ces écrans publicitaires tous ces add-on qui envahissent sournoisement mais progressivement toutes les pages, même la page d’accueil de ton serveur que tu payes pourtant !!!

      Alors, oui j’insiste il faut taxer ces publicitées entre autres pour rémunérer les artistes et je ne te parle pas de flickage, juste du nombre de click ou de visionage ce n’est pas lié au destinataire ou au consultant de l’oeuvre, mais à la quantité du traffic.

      Pour l’audiovisuel public, nous pourrions faire la chose similaire, france 2 et autres pourraient se passer de publicité si toutes les publicitées des châines privées étaient à juste titre taxées pour un service public de l’audiovisuel renforcé,
      Si celui ci ne dépendait pas des recettes publicitaires et donc des grands groupes capitalistes, oui il pourrait passer du théâtre à 20h30 ou un documentaire, car il n’aurait plus la pression de l’audimat et du temps de cerveau disponible.

      Cher copain tout est lié, soyons ferme mais réfléchissons à des transitions alternatives si nous voulons redevenir crédible auprès de l’ensemble de la société civile.

      Boroh Piotr

    • Ce sont des solutions affaiblissantes , engageant un peu plus le loup dans la bergerie. A un moment sur ton petit blog on va te faire chier parce que tu fais de la pub pour un concert de solidarité...

      Cautionner des systèmes de surveillance massive du net, alors qu’on doit en demander l’interdiction (des systèmes de surveillance de l’état et des boites privées, car cela sera refilé aux boites privées) c’est donner encore une fois statut légal à une surveillance massive et permanente.

      Et tout ça pour qui ? Pour 10 artistes et 5 majors ! + de quoi manger à une série de bureaucrates de la SACEM, des boites privées d’espionnage , etc.

      Il n’y a aucun réalisme à demander une surveillance massive du net. Surveiller les pubs c’est surveiller le trafic surveiller le trafic ce sont des outils qui forcement permettent de regarder par dessus l’épaule de l’internaute.
      Je comprends ton raisonnement. Mais c’est un raisonnement partant de reculer face à des présupposés non établis (le net affaiblit la culture et ceux qui créent, je crois que ce n’est pas quelque chose d’établi, comme l’ont indiqué plusieurs études qui nécessitent pour le moins distance avec les présupposés de la SACEM, d’une partie de la droite et de la gauche).

      Sur ces présupposés et pour plusieurs raisons (désirs de contrôle et d’endigage du net pour sa liberté, par exemple) s’est construit une logique de répression et de tentative de faire payer le net pour 10 artistes et 5 majors ....etc

      Là ça va plus loin, il s’agit de menacer des fournisseurs d’accès pour qu’ils fassent régresser les moyens d’échange.

      Sur le fond il n’y a effectivement pas photo. Mais sur la tactique par rapport à cela il est très mauvais de proposer des mesures intermédiaires , favorisant la taxation et l’espionnage sur une base non établie. On renforce ainsi une argumentation d’un lobby, et on trace mal les lignes de résistance possible.

      Ce combat pour la liberté doit être mené. Et il faut lui donner la profondeur politique nécessaire.

      Copas

    • Copas, j’apprécie sincèrement ta vivacité d’esprit, mais il faut que tu quittes un peu ton écran internet ; tu vires parano...

      10 artistes, 5 majors, la lorgnette quoi !

      je vais t’en présenter à la pelle moi des types et des gonzesses comme toi et moi qui ne sont et ne seront sans doute jamais signés ;
      et bien crois moi il sont bien content quand une de leurs oeuvres est jouée ou éditée ou diffusée.
      Ils en vivent chichement certes, mais ils en vivent ami.

      En ne faisant rien, tu protéges ceux que tu dénonces, car en ne faisant rien le système du droit latin qui rémunère l’auteur devient obsolète, et nos chers majors dont tu parles sont entrain de crier haro sur le baudet en démontrant que seul le copyright, le brevet a une valeur on paye une fois et ensuite la gratuité...

      Allons, allons réfléchis, ta philosophie est belle, je suis en accord avec elle, mais ici chacun de nous doit aussi apprendre à se confronter au réel et donc dialoguer avec des personnes concernées par la problèmatique...

      Ne pas seulement avoir un avis sur tous pour avoir un avis.

      Bien fraternellement
      Boroh Piotr

      PS : Ne m’en veut pas pour l’acidité ce n’est pas de ton fait ni contre toi, mais je suis un peu remonté en ce moment.