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Nico et Carla (zaz)

Publie le lundi 17 décembre 2007 par Open-Publishing
5 commentaires

Avertissement

 Les zaz sont une forme d’expression politique.
 Un zaz se définit comme un bon mot mauvais.
 Ok, certains sont atroces, mais c’est le principe qui le veut.
 Comme le lecteur le sait déjà, zaz indique une manière d’écrire délibérément décalée, qui ambitionne par un éclairage oblique à plus de perspicacité dans l’analyse.

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"La relation entre le président Nicolas Sarkozy et Carla Bruni, ancien mannequin devenu chanteuse à succès, a fait la "une" des quotidiens français et suscité des commentaires de l’opposition socialiste sur la frontière entre vie publique et vie privée." (Le Monde 17 12 07)

C’est trop, selon nous, beaucoup trop, ça nous irrite ! pourquoi y voir comme ça du mal à tout prix ?!
 Carla est peut-être seulement une bonne pote, rien de plus ?

Qu’est-ce qu’on vous disait pas plus tard qu’hier !

Ce que tous les dirigeants d’Europe envient en secret à Kadhafi c’est sa garde d’amazones.
 Ce qu’ils contestent à Sarko, c’est la même chose.

La classe particulière de Sarkozy

Par rapport à ses ministres, c’est que lui, au moins, Carla, il ne l’a pas trouvée à la patinoire de la télé.

Ok, on se prononce pas sur Fillon

A l’approche de Noël, vous savez, François ne rêve toujours que de voitures. Son bon coup à lui serait de se faire à fond le Nüburgring, mais il lui manque l’endurance.

Femmes. Depuis Louis XIV...

Et après Henri IV, Giscard, Mitterrand, Chirac, on reste avec Sarko dans la grande continuïté française. La seule exception curieusement c’est de Gaulle.
 Oui de Gaulle est plus qu’une solution de continuité, c’est un hiatus sémantique.

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Les Pensées zaz de l’Ocséna

Ocsena, Organisation contre le système-ENA... (et pour la démocratie avancée)
 http://ocsena.ouvaton.org

Messages

  • Nicolas Sarkozy prend des omegas 3

    • Intéressant la coïncidence avec la série de documentaires historiques d’Arte intitulés "Maitresse" ces jours-ci. Histoire, histoire, quand nous cesserons d’ignorer tes leçons nous pourrons peut-être prétendre au titre de personnes civilisées... mais bon, on est en loin ! Lavages de cerveaux constants par de beaux simulacres sans aucun devoir de mémoire...

    • Carla ! Carla ! Bon ben, on va pas non plus en faire un fromage !

      Sinon que ne dirait-on s’il s’était affiché avec Carlo !

  • "Pascal Quignard — En reprenant les textes, je me suis aperçu que le mot phallus n’est jamais employé en latin. Les Romains appelaient fascinus ce que les Grecs nommaient phallos. Du sexe masculin dressé, c’est-à-dire du fascinus, dérive le mot de fascination, c’est-à-dire la pétrification qui s’empare des animaux et des hommes devant une angoisse insoutenable. Les fascia désignent le bandeau qui entourait les seins des femmes. Les fascies sont les faisceaux de soldats qui précédaient les Triomphes des imperator. De là découle également le mot fascisme, qui traduit cette esthétique de l’effroi et de la fascination."

    Pour faire bonne mesure, on peut aussi (armé de son sens critique...) "mettre son nez" dans le "Vocabulaire des Institutions Européennes", d’Emile Benveniste (Editions de Minuit, 2 tomes)...

    La Louve

    Ps : Précisément là, je ne vois pas d’autre conclusion à ce Zaz que cette MA-GNI-FI-QUE chanson :) monument d’anthologie de la chanson paillarde

    "Il était deux amants

    Qui s’aimaient tendrement ;

    Ils étaient heureux

    Et du soir au matin

    Ils allaient au turbin,

    Le coeur plein d’entrain.

    A l’atelier, les copines lui disaient :

    "Pourquoi tu l’aimes tant, ton Dudule ?

    Il est pas beau, il est mal fait" ;

    Mais elle, tendrement, répondait :

    "Z’ en faites pas, les amies,

    Moi c’ que j’aime en lui...."

    Refrain :)