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Tauro-machisme et l’art de tuer

Publie le vendredi 1er février 2008 par Open-Publishing
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Tauro-machisme et l’art de tuer

de Francisco Martín Président de l’Association Vegana Espagnole (AVE)

Les corridas de taureaux sont un écart brutal l’ignorance et la barbarie d’autres temps. Nées comme divertissement militaire sous le mandat absolutiste de Fernando VII, ils ont
progressivement percé comme manière de décharge des frustrations : L’animal se transformait la victime traditionnellement dans laquelle décharger toute la cruauté et agressivité
humaine.

Le coût ce type de pratiques et de ses dérivations (emprisonnements, taureaux martyrisés, etc.) représente pour les contribuables un paiement de de milliers de de millions.
Le nombre de partisans est tellement faible qu’il ne suffit pas de supporter tous les frais, ce pourquoi pour son maintien l’appui gouvernemental est nécessaire.
La majorité de places de taureaux dans ce pays sont déficitaires, et nous sommes les contribuables ceux que nous devons couvrir ce déficit.
Les fêtes taurines (sans compter les corridas), supposent quelque 20.000 millions des anciennes pesetas.

La torture
Le taureau est un animal herbivore et par conséquent pacifique, seulement sur base de punitions et de manipulations on parvient à altérer sa nature tranquille.
Dans la place le taureau la seule chose ce qu’il cherche est la fuite, et ses attaques sont des tentatives désespérées d’échapper.

Un taureau mort

Nous ne voulons pas avec ceci dire que de s’agir d’un animal plus cruel, était justifiable ce spectacle. Avant que le taureau sorte à la rotation commencent déjà les tortures, leur
on découpe les cornes (« rasé »), en privant les de leur seule défense, ils leur donnent des battements
en les frappant avec des couches
de sable ou des bois
pour diminuer sa force, les graissent les yeux avec vaseline pour diminuer leur vision, ils les font
des coupes dans les sabots, en les
graissant ensuite avec essence de térébenthine ;
ils leur introduisent coton dans le nez pour compliquer leur respiration, ils leur
fournissent des laxatifs pour les affaiblir.

Toutes ces pratiques sont interdites, mais restent occultes n’étant pas effectué vu le public, cependant en étant confirmé par quelques vétérinaires.

En cet état affaibli le taureau doit sortir de ce qui est toril à la rotation, où a lieu une épreuve cruelle :
Au moment d’être sorti on lui cloue la « devise » pour qu’il sorte germé par la douleur.
Postérieurement le picador introduit une puya qu’il pénètre jusqu’à 40 cm, en effectuant des mouvements pour déchirer et forer la viande de l’animal, en le provoquant
et intensifier les hémorragies. Étant donné la grande perte de sang le taureau souffre d’une soif insupportable que lui fait parfois que dans une tentative
désespérée de vouloir boire il arrive à lamer son prope sang.

Les banderilles aiguisés harpons de quelque 6 cm de longueur qu’on lui cloue
dans l’échine - ils ont la fonction « de h l’umillar », c’est-à-dire, ce qui agache la tête pour que le matador puisse lui introduire l’épée mortelle.
L’estoc pénètre 45 cm en sectionnant les veines sanguins vitaux, ce qui produit une hémorragie interne massive, qui n’est pas perçue depuis l’extérieur mais qui suppose
une agonie infernale à l’animal.
Dans le meilleur des cas c’est la fin de la souffrance de l’animal.

Banderilles utilisées pour les taureaux

Par malheur, et tres fréquemment les matadors doivent prononcer leurs estocadas, en répétant maintes et maintes fois l’introduction de l’estoc (une épée d’un mètre), et
en lui perforant les poumons, qui sont inondés de sang. Il n’est pas rare de voir que l’animal à reçu jusqu’à 10 estocadas.

Quand même ainsi ne meurs pas, on doit recourir à la puntilla - couteau qui sectionne La moelle épinière [1] - et
laisse l’animal paralysé mais encore conscient, ou soi vivant.

(1) Moelle épinière : le système nerveux central, la moelle épinière des animaux, les symptômes ... partie du système nerveux central contenue dans la colonne
vertébrale.....

Finalement comme trophées pour ce qui est matadors on coupe les oreilles et/ou la queue de l’animal qui tres souvent et encore entrant d’agonisant, été dans lequel il entre
postérieurement dans ce qui est desolladero.

Les chevaux sont aussi des victimes des corridas.
À de nombreuses occasions ils reçoivent cornades qui leur ouvrent les boyaux, dissimules par le peto, souvent on met à nouveau à l’intérieur elles et leur on coud pour
qu’ils sortent à nouveau.

L'action de donner la mort Cheval bande - couvre les yeux et le front

Il est nécessaire de les droguer avec des injections de morphine et de leur couvrir les yeux, pour qu’ils sortent à la place, puisque d’une autre manière, la terreur les
ferait s’enfuir.
On leur coupe les cordes vocales pour qu’ils ne puissent pas crier de douleur.

Il ne faut pas oublier les fêtes populaires dans lesquelles on emploie des animaux, fondamentalement taureaux ou génisses, qui supposent l’importante source
de recettes pour les éleveurs, en vendant ces animaux qui ne se considèrent pas aptes pour les corridas.

Certaines de ces fêtes sont : des taureaux place des embolados, leur une structure de métal dans les cornes dans laquelle il y a une matière inflammable à à laquelle
on promet feu.
Le taureau, qui consigne une frayeur avec le feu, court affolé.
Certains des lieux où « ils ont lieu » sont de nombreux villages de la Commune de Valence, d’Aragon, Medinaceli (Soria), et dans « les Terres de l’Ebre »
(Tarragone).

Le domination par la force et l’humiliation d’un être sans défense dans aucun cas on peut considérer culture, mais elle constitue un hommage à la pire cruauté humaine
qui est de faire de la douleur une festivité.

L’immense majorité de la population, est contraire aux corridas de taureaux et ses dérivations.
Il est la responsabilité de de tous d’agir pour mettre un terme à cette barbarie que nous payons tous et qu’il sert seulement à enrichir à à quelques-uns et à perpétuer
un modèle de domination de l’homme sur l’animal.

Pouvez-vous réponde, « sommes-nous des humains et civilisées ? »

Campagne contre les correbous et les emprisonnements populaires dans toute l’Espagne. En Catalogne il est tradition de tenir correbous dans plus de
60 peuples : la majorité a lieu dans la province de Tarragone, le jour de la Festivité Plus grande du peuple en honneur à son Saint Patron ou sa Sainte Vierge.

Il existe de différentes modalités de correbous : depuis la libération de génisses dans des places portatives, jusqu’au Taureau Ensogado et EI Taureau
de Feu. Les « génisses » sont des taureaux ou des jeunes vaches, qui sont détachées à la rotation et sur base de provoquer de elles, doivent poursuivre
aux garçons « courageux ».

Quand ils les poursuivront, ils sautent la barrière et restent à l’abri de revolcones. Ces génisses portent les cornes rasées et ils ne se clouent personne.
Les bêtes pauvres vont de peuple en peuple jusqu’à ce qu’elles crèvent de fatigue et arrêtent dans la boucherie. Parfois, ennuyées de tant d’absurdité, se
sont arrêtés dans le moyen de la place et faut les encourager avec des bois, repoussements, insultes et autres méthodes comme botellazos, cordes, les
pousser à une piscine inattendue pour la festivité, etc..

Les haut-parleurs des organisateurs encouragent aux jeunes pour obtenir un certain prix par leur exploit culturel. Ceux-ci sont les correbous
considérés « lisses ».
Le Taureau Ensogado est celui qui est entraîné par tout le peuple avec une corde attachée autour de ses cornes et tête, avec deux extrémités
de corde, par lequel ils jettent à la fois, à gauche et droite, quelques mozos (les jeunes les plus forts) pour le dominer. Si tous jettent à la fois, le taureau est immeuble, lié.

Parfois, ceci est répété trois fois par à jour pendant une semaine. Entretemps le taureau est entraîné, est obligé par la douleur de marcher par des rues
pavées qui le déshuilant les sabots, les gens jettent des auges (seaux) d’eau depuis les balcons pour rafraîchir ce qui est concourantes qui ont beaucoup chaleur.
Avec l’eau, l’animal pauvre glisse et « zas ! », au sol.

Ils le lèvent en jetant de leurs cornes, en l’insultant, en repoussant « oléo » et l’animal terrorisé pauvre cherche parfois refuge dans un certain commerce.

Aussi ils le tourmentent en jetant pétards dans leurs nez. Maintenant, selon la loi, doivent le porter à la boucherie après la festivité et mangé sa viande, mais
avant, le dernier emprisonnement terminait avec le taureau degollado (crèves de fatigue) dans tout hangar, avec le sol couvert de sang, où les enfants étaient
baignés les pieds, pour qu’ils aient de la chance dans la vie.

Ceci se produisait en « Amposta », par exemple, et il y a des photos et des témoignages qui ainsi l’illustrent.

EI Taureau de Feu a lieu de nuit. Au taureau ils le placent, entre leurs cornes, deux boules de feu et le détachent par les rues avec les lumières éteintes.
C’est un spectacle dantesque et diabolique se voir au taureau agiter ce qui est cornes dans l’air, ou contre le sol, pour éteindre le feu, fou de douleur.

Est que le feu des torches le brûle les nerfs des cornes et le goudron que détachent les boules de feu, tombent et elles la brûlent les yeux.
Les gens crient et le taureau se retourne encore plus fou. Et en voir comment il est débattu pour être enlevé le feu de sur sa tête il consiste le divertissement, en
même temps que n’arrêtant pas de se déplacer il donne l’impression qu’il poursuit au public.

Ce que cherche l’animal pauvre est de disparaître de l’infiemo (cet enfer) à auquel ces animaux humains ont soumis pour tenir une « festivité »
centenaire, que seulement le Diable a pu inventer. Dans des peuples de Tarragone qui ont la mer près, depuis les quais du port ils les font tomber à l’eau, où
la multitude les attend, pour leur faire avaler de l’eau et d’autres perrerías.

À la fin de la festivité, toujours il les attend le décès, qui les libère de tant de bestialités catalanes. Ces festivités sauvages et primitives, finiront seulement
quand, comme avec les corridas de taureaux en Catalogne, elles ne seront pas rentables. Et Comment doivent-ils être rentables si ne paye-t-il pas entrée ? ...
Pues, en négligeant totalement ce secteur, tant touristique comme commercialement.

Attachement

Corridas de taureaux, et l’art de la tromperie

« Non il n’a rien d’aussi pathétique qu’une multitude de spectateurs immobiles en assistant avec indifférence ou enthousiasme à la confrontation inégale
entre un noble taureau et un groupe de durs déséquilibrés en détruisant à un animal innocent qui ne comprend pas la raison de sa douleur...
Un bain de sang annuel de milliards d’euros »

Cruauté et déception

Les corridas de taureaux sont un spectacle honteux dans trois actes, de quelque vingt minutes de durée, qui spécifié la fausse supériorité et la fascination infirme
avec le sang et la viande dont ils sont nourris, contre toute logique morale et diététique, ceux qui croient avoir un droit divin de disposer à son caprice de la vie d’autres
êtres sensibles, en arrivant même à justifier et vulgariser la mort du taureau comme art et divertissement ; un comportement pathologique qui naît d’une incapacité
pour affronter la douleur des victimes et une morbidité irréfrénable devant la possibilité de être témoin direct de quelqu’un cornades, ou la mort de ce qui est matador ;
un risque fortuit, rare (un torero par chaque 40.000 taureaux sacrifiés), et surtout évitable que, toutefois, augmente le caractère macabre de la corrida.

Une charité cruelle et non-solidaire
Égal que les bouchers et les guerres, les corridas de taureaux ont mauvaise image, et il n’est pas facile de présenter la mort comme art, repas ou liberté.

Mais si la condition pour un festin est le massacre d’un animal, et les tirs sont les précurseurs de la liberté, qui sont obtenus aussi le divertissement au prix
de la vie animale ils ont besoin de justifier et de focaliser l’attention les consommateurs et les utilisateurs dans la supposée utilité leurs produits et de services
en soutenant des œuvres d’intérêt social ; par exemple, à travers une corrida de caritative bénéfique, un acte aberrant et non-solidaire qui, toutefois, peut servir
de réclame en tranquillisant certaines tu fais prendre conscience, surtout si le bain de sang profite hypothétiquement à une maison de personnes, ce qui est
hermanitas de ce qui est pauvres, par une association qui défend ce qui est destitués comme la Fondation Père Arrupe, ou institutions comme l’Association
espagnole Contre le Cancer ou la Croix Rouge, qui est aussi entrée faire partie de l’affaire taurine avec l’exploitation du service de louer de coussin dans la place de Séville.

La destruction de toute vie, hypothétiquement au bénéfice des autres, est moralement inacceptable ; mais ceci n’a pas empêché aux religieuses de la
Fraternité du Saint le Christ du Réconfort et Notre dame de ceux Désemparés de tenir l’année passé à Ciudad Real novillada ou une « festival
taurin-religieuse », en négligeant l’article 2.418 du catéchisme, où on dit que faire souffrir aux animaux il va contre la dignité humaine.

Autre exemple pittoresque, impropre d’une société démocratique et civilisée, que non garde relation avec une attitude solidaire et humanitaire vers ce qui est
destitués et les animaux, a eue lieu en Alcuéscar, Cáceres, où le maire a construit avec argent public une pente et une zone spécial pour que 80 spectateurs
dans des chaises roulantes à puissent être des témoins d’un lynchage répugnant d’animaux physiquement sains.

La Députation de Malaga s’est aussi ajoutée à cet intérêt taurin inhabituel pour les handicapes physiques, en apportant de l’argent public pour que la place de « 
La Malagueta » soit la première du pays à installer un élévateur pour handicapés, qui étaient préalablement transféré dans des bras par les employés, en
habilitant la rotation pour tous les publics, avec la création de rampes/pentes d’accès la place et à une grille pour tenir les chaises roulantes.

Les administrations publiques, propriétaires de 65% des trois cent places de taureaux espagnoles, malgré les plaintes de l’immense majorité des contribuables
qui ne souhaitent pas soutenir avec leurs impôts cette barbarie nationale que, les intérêts taurins traitent désespérément de maintenir et stimuler, ils suivent en
exigeant un plus grand nombre de supérieures dans les plis d’adjudication des concours taurins ; une boucherie annuelle, esthétiquement imprésentable qui, avec
plus de mille représentations en spécifique le massacre d’un pacifique (paisible, tranquille) animal herbivore qui finit dans ce qui est desolladero, menace de se
noyer avec son sang, même, l’intérêt de ses complices, moralement et physiquement destitués plus fidèles et inconditionnels, d’une lâcheté de tous une chose qui est évident.

Une farce sinistre imposée comme festivité nationale
Derrière la barrière qui les isole du sang, les aficionados et curieux, fidèles au mort et à la douleur étrangère, ils se vantent de nourrir un biocide aberrant et stérile
avec l’achat d’engrais qui leur permettent de voir jusqu’à la satiété un spectacle nauséabond dans lequel on torture, un après un autre, milliers de fois, six animaux
magnifiques, conditionnés depuis la naissance pour représenter, avec le cheval, le rôle funeste qu’un tiret fatidique, divisé trois « chances » dans
lesquelles des accidents mercenaires montrent leur dédain la vie, en tracassant et « infligeant » (punir) à un taureau noble, manipulé et trahi, avec des
harpons et des piques aiguisées, jusqu’à ce qu’il meure, asphyxié ou noyé dans son propre sang avec les poumons détruits par l’épée du matador, ou apuntillado
avec un poignard avec lequel ils essayent de lui sectionner la moelle spinale.

Peuvent avoir été soumis, selon des études vétérinaire, à toute classe de mortifications frauduleuses, y compris, outre ce qui est « afeitado »
(dont, selon l’article 47.2 du règlement de 1996, les éleveurs sont hypothétiquement responsables), l’approvisionnement de drogues et les purgatifs, qui agissent
comme hypnotiseurs et tranquillisants, en pouvant produire manque de coordination l’appareil locomotif et les défauts de la vision avant de commencer la farce
taurine et à être décapite par les picadors, qui le clouent le fer de la « puya » dans le morrillo, en ouvrant, comme de levier, un trou énorme avec le
croisillon, en coupant et en détruisant les tendons, ligaments et muscles de la nuque pour l’obliger à baisser la tête et pouvoir le tuer plus facilement.

Continuant avec le supplice des las banderilles ; trois paires de harpons d’acier coupant et pointu (appels aussi « alegradores »), qui le cassent
le cervical, l’enlevant sa force et vitalité, avant de être estoqueado par ce qui est sicarios de l’épée et le poignard ; une tâche récompensée avec les oreilles, queues
et jambes extraites de ses victimes, même avant la mort, comme trophées qui témoignent le degré de déshumanisation de leurs lâches bourreaux et ceux qui les
encouragent avec le cris inconscient où un silence complice.

Les corridas de taureaux, en plus de manquer sens moral et appui social, favorisent le dédain où le mépris de arrogance envers les animaux et le manque de
solidarité entre les citoyens, habitués à rester impassibles devant le lynchage (exécuter sommairement sans jugement régulier et par une décision collective) d’un être vivant.

N’étant pas non plus un spectacle qui dispose l’appui inconditionnel de ses aficionados plus fervents qui protestent contre « la invalidité des pseudotoros »
et l’inaccomplissement réitéré des normes qui règlent la torture l’animal, chaque fois plus affaibli et « falto de casta », qui souffre l’indignité pénible
de « afeitado où raccourcissement des cornes »

Une pratique que implique la coupe d’un morceau de piton, dedans de le mueco où lui immobilise, souffrant celui appelé blessure traumatisme violent, en détruisant
les muscles et tendons en combattant désespérément pour être libéré du yugo que mobilise sa tête, en sortant desvencijado dans le tiroir vers les basse-cours de la
place, à où il arrive fatigue et sans force pour confronter les dégradante puyazos que le infliger les picador.

Une fraude honteuse, toléré et très étendue, selon les propres taurins, qui devrait suffire de condamner et d’isoler publiquement aux durs qui ont imposé, avec
l’approbation institutionnelle de leurs vasallos politiciens, cette affaire sale comme emblème de l’Espagne noire et « fête nationale ».

« L’ART de TUER » comme modèle éducatif, religieux et culturel
Même s’a diminué l’appui populaire aux corridas de taureaux, la fin des festivités cruelles dépendra du degré de soutien des moyens de communication, des intérêts
économiques et des institutions publiques et religieuses qui traditionnellement les ont justifiées et les ont maintenu, politiquement et matériellement, en échange de
vendre son âme au diable ou mieux postor, en permettant l’implantation du « statut quo » taurin et la perte de valeurs morales et religieuses du modèle
égoïste de la société actuelle, intolérante et cruelle, qui se manifeste à travers les retransmissions taurines, la violence sportive et domestique et la télé-poubelle en
général, avec le silence complice, égoïste ou ignorant des électeurs qu’ils légitiment active ou passivement la violence institutionnalisée sans comprendre l’origine
des conflits sociaux et les guerres locales et transnationales qu’ils conditionnent et hypothèquent le présent et le futur de l’humanité.

La promotion de la cruauté et le méprisable à la vie arrive à redéfinir et conditionner le comportement et l’identité culturelle des ceux aficionados au sang, à travers les
nouveaux vidéo-jeux comme « Torero, art et passion dans l’aréna », avec une option, présentée par une connaissance torero, qui enseigne à deux joueurs
les techniques les plus raffinées pour torturer et tuer ses victimes virtuelles ou potentielles.

Tout comme les efforts, clairement tendancieux pour présenter une corrida de taureaux symboliquement, avec insolence ou subtilité, comme une expression artistique
fascinante et respectable, à travers le cinéma ou le théâtre, dans des œuvres comme « Carmen » et « Don Juan en los
ruedos », Salvador Távora, que remplissent les scènes de sang réel, versée pour satisfaire la maladie des spectateurs, ou le
film « Hable con ella », du directeur Pedro Almodóvar, celui qui a organisé corridas de mort à Madrid et Guadalajara, qui ont coûté la vie à plusieurs
taureaux, en détruisant la magie effusion du cinéma pour souiller de sang aux spectateurs et leur faire des complices involontaires d’une atrocité moralement
incompréhensible et injustifiable.
Un des facteurs qui contribuent à maintenir et à favoriser les corridas de taureaux est l’apport d’argent public des institutions locales et régionales aux écoles
taurines, qui sont apparues avec les anciennes boucheries municipales, où on forme à des enfants de douze et quatorze années en « l’ART de TUER », au
moyen de compétitions et de pratiques avec des veaux et des vaches, qui souffrent indignes des blessures et même, comme dans l’école taurine de Madrid, mutilations
des oreilles et la queue avant de mourir.

Barbaries qui font partie du cérémonial tauricida des corridas, soutenues et justifiées par des représentants taurins de la culture, comme l’auteur et le professeur
d’éthique de l’Université d’Alcala de Madrid, défenseur des corridas de taureaux et des victimes du terrorisme, Fernando Savater, celui qui se vante de duquel « las
barbaries ont parfois aussi leur mérite, son esthétique et son éthique », en justifiant démagogique ment la cruauté n’étant pas, selon lui, « l’objectif de
la diversion », mais « un ingrédient nécessaire ».

Le gouvernement d’Andalousie, qui soutient aussi les corridas de taureaux, justifie les écoles taurines qu’il subventionne en faisant une lecture partielle des
articles 35 et 46 de la Constitution Espagnole, qui traitent du droit au travail et la libre élection un emploi ou d’une profession, ainsi que la promotion et la
conservation du patrimoine culturel espagnol, sans tenir compte de l’article 14, qui traite du droit à la vie, sans peur à la torture et à un traitement inhumain
et dégradant, qui n’est pas convenablement appliqué aux taureaux et aux chevaux des victimes des corridas.

D’autres facteurs économiques qui contribuent à maintenir les corridas sont l’assistance, pas du tout agréable, du touriste occasionnel qui soutient, souvent
involontairement, le spectacle morbide et la diversification économique des rotations.

De même, tandis que quelques éleveurs profitent de l’aide économique de l’Union Européenne, destinée à la production de viande, d’autres subventions
publiques permettent la célébration de corridas de taureaux dans des villages et des villes qui manquent de moyens économiques pour les organiser par leur compte.

La vente de viande des animaux sacrifiés aux gourmets taurins, qu’ignorent ou souhaitent ignorer l’importante libération de toxines produite par l’effort des victimes
et les maladies habituelles en rapport avec leur consommation, comme tuberculose, des nefritis et de la parasitosis hépatique, aussi contribue à rendre plus
rentable le massacre taurin.
Malgré le manque d’appui public par les spectacles cruels des dernières statistiques, coïncidant avec l’essor du végétarisme/veganismo et la recherche de
valeurs spirituelles basées le respect à la vie, sans absurdes exception anthropocentriques ou religieuse, la maffia taurine, qui dans son histoire macabre n’a voulu
jamais savoir de lois de protection animale (incompatibles avec son activité tauricida, destructrice d’hommes et chevaux),
il essaye désespérément de retarder la fin inévitable d’une dictature sanglante qui étend ses tentacules par les satellites taurins l’Europe, l’Amérique et d’autres
potentiels feudos, en imposant un spectacle dénigrant et en remodela do ou en projetant de nouveaux centres de torture multi-usage, avec couverture ou plafond
rétractile, pour subventionner et comparer le martyre d’animaux avec d’autres spectacles musicaux et artistiques plus lucratifs, comme le centre multimillénaire de
la ville de Burgos, prévu pour le 2004.

Une perspective historique
Même si les corridas de taureaux sont un spectacle singulier et honteusement espagnol, son origine il remonte aux jeux romains sanglants et les vernations
cruelles dans lesquelles on tuait milliers d’animaux pour amuser à un public assoiffé sang et de fortes émotions.

Comme compte Plinio le Vieux, dans son Histoire Naturelle, Julio César avait introduit dans les jeux circenses la lutte entre le taureau et le matador armé avec
épée et bouclier, outre la « corrida » d’un taureau à auquel le chevalier le démontait et démolissait en le tenant par les cornes.

Une autre figure de cette époque, selon Ovidio, avait été appelé Karpóforo, qu’il obligeait au taureau à attaquer en utilisant un mouchoir rouge.

Le sacrifice de taureaux était aussi inclus entre les rites et les coutumes que les Romains ont introduites en Hispanie.

En Crète, outre l’histoire de la mythologie grecque qui compte les aventures d’Ariadna, fille du roi Minos, et Teseo, qu’elle a tué au Minotauro, ont certitude de la
célébration de jeux dans la place de Cnossos, dans le palais duquel, connu par le Labyrinthe, on peut voir de fresques qu’ils montrent à des hommes et des
femmes dans des scènes de tauromachie, guidés peut-être par les mêmes mythes et l’ignorance insensée qui permet de caractériser à un pacifique(tranquille) animal
comme un monstre ou un ennemi virtuel, en le transformant en victime réelle de notre échec évolutif comme êtres humains, pour pouvoir traiter avec la vie et la
douleur de d’autant que manquent arbitragent de nos privilèges immérités.

Le harcèlement et le massacre de taureaux en Espagne comme cérémonial de divertissement

La première référence historique d’une corrida date de 1080, comme une partie du programme de fêtes du mariage du nourrisson Sancho d’Estrada, à Avila.

Existant une connexion psychologique entre la corrida et ces célébrations par la légende rituelle libidineuse imaginaire entre taureau et le torero, ou entre ce qui est
masculin et ce qui est féminin, avec des ramifications dans le folklore et les festivités populaires, ainsi que la relation libidinal entre le public et le torero, et d’autres
éléments moins visibles qui manifestent tout un spectre désirs, traumatismes et passions malsaines et infirmes.

Bien que plusieurs écris auteurs signalent que le Cid Campeador, Rodrigo Díaz de Vivar, a été le premier chevalier espagnol qu’alanceó taureaux, selon Plinio, la pratique
elle l’introduit par Julio César, en attaquant lui-même avec une pique aux taureaux à cheval.

Une coutume que los moros (arabes) considéraient moins dangereuse que les tournois entre des chrétiens, qu’ils leur préparaient pour les batailles dans lesquelles
les hommes étaient tués la même manière.

Pendant l’Âge Moyen la corrida de taureaux est développée et est progressivement monopolisée par la noblesse qui, influencée par la galanterie et le mauvais
exemple des rois, comme elle arrive en Espagne actuellement, était contestée la notoriété publique, les attentions de damassé et le respect des autres, en exhibant
son « valeur » et gaillardia, tracassant et en alanceando des taureaux, considérés comme ennemis totémiques de grand de pouvoir défense.

La reine Isabel le Catholique a rejeté les corridas de taureaux, mais il ne les a pas interdites, tandis que l’empereur Carlos V a été distingué par son penchant et il avait
tué un taureau de d’un lancé à Valladolid pour célébrer la naissance de son fils Felipe II, dans le règne duquel on a promulgué les premières phrases ecclésiastiques.

La complicité du pouvoir et l’église avec les corridas de taureaux
EN 1565 un conseils à Toledo pour le remède des abus du royaume, il a déclaré les fonctions
de taureaux « très désagréables à Dieu », et dans 1567 les Pape Pío V il a promulgué la bula de Salutis Gregis Dominici, en demandant
l’abolition des corridas dans tous les royaumes chrétiens, en menaçant avec l’excommunions à auxquels elles ils soutenaient, mais leur successif par
Gregorio XIII il modère la rigidité de la bula de San Pío V, conformément au désir Felipe II de lever l’excommunions.

Dans 1585, Sixto V met à nouveau en vigueur la condamnation, qui à son tour est annulé dans 1596 par Clemente VIII. Felipe III a renouvelé et a perfectionné
la place mayor de Madrid dans 1619, avec capacité pour presque soixante mille participants, et Felipe IV, en plus d’alancear des taureaux et tuer un d’un
arcabuzazo dans la Huerta de la Priora, estoqué à mort à plus de quatre cent jabalíes.

Pendant les siècles XVI et XVII, en Espagne et le sud de la France on pratiquait déjà la libération génisses et taureaux par des rues et les places, et autres
fêtes comme les taureaux de feu et les taureaux embolados, ensogados ou enmaromados, comparables en cruauté avec le spectacle aristocratique de la
corrida dans lequel le chevalier avait un rôle prépondérant dans le harcèlement et la mort du taureau, qui souffrait aussi les mille provocations que lui
causaient les manœuvres depuis ce qui est burladeros ou caponeras, les harpons qui la chusma la clouaient et ce qui est griffages de quelques chats
introduits dans un certain tonneau qui le taureau desbarataba.

À Séville, on documente une corrida, à charge de la confrérie de Sainte Ana, avec « six ou douze taureaux avec courroies et cordes pour joie du village », en
arrivant à être généralisé dans les grands corridas à cheval, avec
rejones, la provision d’un premier taureau « pour qui soit trompé, humilié et mort par le village de à pie ».

L’enthousiasme de la noblesse pour les corridas a été maintenu pendant le règne de Carlos II, mais à partir du siècle XVIII, quand la noblesse se
desentendió du torero à cheval, à la suite de l’interdiction Felipe V appelées des « fêtes des cornes »
(a aussi refusé de prendre part une voiture de foi organisée dans son nom al principe de son règne), on a imposé le protagoniste plebeyo dans
torero à pied, à la nouveauté de la mort du taureau à des mains des gens plus vil et peu raffinée liés à l’approvisionnement de viande et aux boucheries, où ils
ont développé leur modalité tauricida particulière jusqu’à former dans le siècle XVII des groupes manœuvres ou souteneurs pourvus de
couches, qu’on a uni aux cavaliers pathétiques et impitoyables (varilargueros), pour courir (provoquer le harcèlement du taureau), doubler (lui faire donner
des retours brusquement avec la tromperie), perforer et l’achever (desjarretar) aux taureaux fatigues qui soufrant la raconte avec ces bourreaux à cheval et les chiens de prisonnier.

En passant d’être la confrontation avec le taureau un entraînement « sportif » à une affaire lucrative qui a continué avec l’appui réel pour ériger
dans la Puerta de Alcalá de Madrid la vieille place d’œuvre d’usine, faite don par Fernando VI à la Réelle Assemblée d’Hôpitaux, qui a été inauguré dans 1754.

À partir de la seconde moitié du siècle XVIII on destine des terres étendues pour pâtures, tandis que le matador de taureaux atteint de la réputation comme
espada et on consomme la dictature taurine, en marge de la loi, avec la prolifération de places permanentes, au style des colisées Romaines, comme un
cancer de la raison, avec la conséquente perversion et la vulgarisation des mauvaises coutumes et la perte de valeurs morales et sociales que les
Espagnols illustrés ont essayé de corriger, sans succès, avec une législation plus humanitaire ment et socialement juste.

La conscience humanitaire illustrée et le despotisme taurin
À la fin du siècle XVIII, une initiative pour civiliser les coutumes du pays du comte Aranda, ministre du gouvernement illustré de Carlos III et président du
Conseil de la Castille, a abouti la promulgation du Réel Ordre de du 23 mars de 1778, qui interdisait les corridas de taureaux avec la mise à mort dans
tout le royaume, à l’exception de celles-là destinées à supporter, « por vía de arbitrio », de certains frais utilité publique ou fins bénéfiques, étant
celles-ci interdites aussi postérieurement par la « pragmatique-sanction en force de la loi » du 9 novembre de 1785, qui considérait son « cessation
ou suspension ».

Finalement, par le décret du 7 septembre de 1786 on a consommé l’interdiction totale de toutes les fêtes, sans exception, y compris les corridas
accordées à titre temporaire ou perpétuel à tout organisme comme « las Maestranzas ou un autre quelqu’un corps ».

Dans 1790, une autre « Real Provisión de los señores del Consejo », déracinait, non seulement la version spectacle de la récemment
inventée « corrida moderne », mais toute célébration qu’aurait au taureau comme victime protagoniste, en vertu de laquelle on
interdisait « par point général l’abus de courir par les rues novillos et taureaux qu’on appelle de corde, ainsi de jour comme de nuit ».

Dans 1805, un autre royal arrêté de Carlos IV réitérait l’abolition des corridas de taureaux en Espagne et ses territoires d’outre-mer, bien qu’on tolère
quelques exceptions avec des fins bénéfiques. Interdiction qui a cessé d’être effective même avant l’arrivée de Fernando VII, le roi absolutiste que
restaure le tribunal de l’inquisition (aboli dans 1808) et il donne son appui aux corridas, tandis qu’il supprime les libertés et la constitution de 1812.

En fermant les salles de classe de l’Université dans tout le royaume, en même temps que créa, dans 1830, la première école de tauromachie, avec siège
dans la boucherie sévillane, qui serait fermé après la mort, dans 1834, sous la régence de María Cristina.

Le désir de la maffia taurine de renforcer son pouvoir et d’imposer son spectacle à tout prix à la population espagnole augmente le rythme de
construction de cirques de mort tout au long du siècle XIX (en réponse à l’interdiction légale des corridas), dans la période duquel ils sont érigés et on
augmente la capacité de la majorité de ceux qu’aujourd’hui ils sont en utilisation.

En provoquant la passionnée clameur littéraire de la poétisa espagnole Carolina Couronné (1823-1911) contre la profusion de cirques taurins, dans
sa poésie Sur la construction de nouvelles places de taureaux en Espagne.

Pendant le siècle XIX on règle le massacre des taureaux en marge de la loi, en publiant dans 1836 la Tauromachie complète, tandis qu’on organise
des spectacles lesquels prennent part des chiens et d’autres espèces animales, au plus pur style de l’ancien cirque romain, comme la confrontation
qui a eu lieu à Madrid entre un taureau et un éléphant dans 1898.

La mort de milliers de chevaux, horriblement étripés, transforme les corridas de taureaux de véritables boucheries qui finissent en réduisant la population
chevaline à la moitié dans le dernier tiers de la fin de siècle, ce qui motive l’introduction en 1928 du peto, un couvre-lit protecteur d’invention française, qui n’élimine
pas la souffrance du cheval, mais évite de blesser la sensibilité des spectateurs qui tolèrent moins le sang.

Les éleveurs manipulent le comportement et la force du taureau en réduisant sa taille et en fabriquant un animal accommodé au
moyen de croisements successifs pour leur adapter au cérémonial taurin « moderne ».

Pablo Iglesias (1850-1925), figure incontestée du Parti Socialiste (PSOE) depuis sa légalisation dans 1881, condamne publiquement les
corridas de taureaux ; mais c’est son propre parti qui les légalise de nouveau en Espagne médiante par l’arrêté royal 176/1992, Juan Carlos I, qui, loin de
standardiser la cruauté comme infraction comme il correspond à un gouvernement constitutionnel démocratique, établit les mesures pour favoriser la barbarie taurine
« en attention la tradition et l’utilisation culturelle de la festivité des taureau » en spécifiant les caractéristiques et la taille des armes, légalement
homologuées, que les bourreaux doivent employer pour torturer à leurs victimes, comme les banderilles ; plus longues qu’il y a deux siècles, les
banderilles noires (qui ont remplacé celles de feu avec des cartouches de poudre), pour terroriser au taureau apprivoisé
qui ne collabore pas avec ses bourreaux, ainsi que la « puya » ou pique, l’épée ou l’estoque et la « puntilla » propre de
la boucherie et l’arsenal taurin.

L’affaire taurine hors de l’Espagne : une question de vie et mort
Les corridas de taureaux en Amérique, la France et le Portugal ont traversé les mêmes vicissitudes qu’en Espagne, en décrétant interdictions
civiles et ecclésiastiques qui, sauf quelques exceptions, n’ont pas été respectées, même s’elles contribuaient au développement d’un style différent
de spectacle, également cruel, basé le tourment et la mort d’un animal sensible.

En France, l’entrée en vigueur de la loi Grammont en interdisant les corridas de taureaux le 2 juillet de 1850, n’a pas empêché l’introduction des
corridas de mort au style espagnol, pour satisfaire à l’Imperatriz Espagnole, Eugenia de Montijo, qui est personnellement intervenu pour solliciter
la suspension de l’interdiction qui affectait une série de corridas en Bayonne, programmées pour l’été de 1853, dans lesquelles sont morts 19 taureaux et 39 chevaux.

Malgré lequel, les corridas ont continué à être légalement interdites pendant cent années dans tout le territoire national, jusqu’à l’adoption, par le
Conseil de la République, le 12 avril 1951, d’une proposition de loi en déclarant que la loi précédente « no était applicable aux corridas de
taureaux quand une tradition ininterrompue pouvait être invoque ».

En craignant qu’une plus grande préoccupation pour les droits des animaux rend plus difficile de maintenir trompée à l’opinion public mondial, la maffia
taurine il essaye désespérément d’exporter son spectacle absurde à tout pays sans aucune tradition taurine comme l’Egypte et la Russie, ou d’autres
villes de la France comme Paris, où ils ont essayé d’organiser une corrida, en juin 2002 ; ou Carcassonne, où on a monté une corrida pour la première
fois depuis 1954, après que le maire et la cour supérieure de justice feraient régner l’échappatoire légale dont il existe « une tradition locale
interrompue », une disposition qui exclut aux corridas taureaux et luttes de coqs des sanctions prévues actuellement pour le mal traitement
d’animaux dans la loi française de protection des animaux de du 15 juillet 1976.

« Second une enquête française de 1993, 83% de la population est contre les corridas de taureaux, et seulement elles il soutient par un 11% »

Au Portugal, où la cruauté et la souffrance des animaux est semblable au reste de la péninsule, malgré l’interdiction des corridas de mort au
style espagnol en 1928, la tradition de tuer aux taureaux dans les places des villes frontalières avec l’Espagne continue dans des lieux comme
Ville de Barrancos, où les autorités les ont permises pendant des décennies.

Paradoxalement, une nouvelle loi permettra à nouveau le massacre du taureau dans les rotations, dans les villes qui peuvent démontrer avoir
maintenu ininterrompu ment la coutume de tuer des taureaux et d’avoir systématiquement négligé la loi pendant au moins cinquante années.

Les faux arguments utilitaristes en défense des traditions pour justifier la torture des taureaux ne justifient d’aucune manière aucun acte basé
ce qui est supplicie gratuit de nouvelles espèces animales, mais l’abus systématique d’animaux de toute espèce finit en insensibilisant à l’opinion
publique devant la souffrance animale, en permettant, par exemple, y compris des emprisonnements d’autruches en Aragon et dans populations
comme « Fuengirola », sans tenir compte des conséquences physiques, psychologiques, morales ou morales pour les victimes
involontaires ou pour lesquelles ils prennent part de bon désir dans tout spectacle cruel et dégradant.

Si nous souhaitons arrêter la violence contre les animaux de toute espèce et commencer à construire une société basée le respect à la vie et
des autres, nous devons avancer dans la direction la plus humanitaire d’autres pays de l’Union Européenne comme l’Allemagne, l’Italie ou le
Royaume-Uni, et améliorer le statut des animaux en Espagne et d’autres pays comme le Portugal, la France, le Mexique, la Colombie, l’Équateur, le Pérou
et le Venezuela, en condamnant sans palliatifs la torture de tout être vivant au niveau européen et international
et en réformant l’article 632 du Code Pénal espagnol, qui est totalement inefficace pour prévoir les cas de cruauté avec les animaux, puisque seulement
s’applique ou spectacles non autorises légalement, en cas qu’ont les maltraite c’est seulement puni comme une faute, avec une amende.

Réveiller la conscience publique
Les efforts continus des institutions à l’appui des corridas de taureaux et des festivités cruelles, dans lesquelles on torture des animaux de plusieurs
espèces en Espagne démocratique, font face au rejet croissant d’une jeunesse plus critique qui cherche une relation plus sincère et harmonieuse
avec les animaux et la nature, et à un avis public plus sceptique et disposé à interroger, non seulement la qualité et l’origine des aliments, mais
aussi les divertissements les plus aberrants.

Ce qui permettrait la fin de la sangria nationale permanente et un plus grand progrès économique, social et culturel du pays en faisant réalité le
rêve de déraciner les coutumes violentes, non-solidaires et cruelles, comme les corridas de taureaux, interdites il y a plus de deux siècles par
nos ancêtres illustres comme une maladie sociale qui se montre, de multiples manières, en détruisant notre sensibilité et le sens moral et
esthétique de d’autant qu’ils acceptent comme normal que les parties mutilées d’un animal herbivore pacifique servent de récompense à
leurs bourreaux, et en favorisant y compris le machisme et la violence de ce type ; puisque si on accepte qu’un être vivant puisse être torturé
par profit et divertissement, aussi la condition humaine peut faire l’objet la même considération.

José Vargas Ponce, capitaine de frégate, membre et directeur de l’Académie royale de l’Histoire, et notable érudit, ami de ce qu’est
principaux illustrés de l’époque, comme Jovellanos et Villanueva, a résumé sa Dissertation sur les corridas de taureaux, écrite dans 1807, tous les
arguments anti-taurins du siècle XVIII, travail qui, regrettablement, n’a pas pénétré au-delà du limite cercle académique, étant inconnu dans les
archives jusqu’à 1961, quand Julio Guillén Tato, un autre marin académique, a publié la Dissertation et une certaine documentation
complémentaire, dans laquelle l’auteur condamne les diverses perversions qui se résument dans la corrida de taureaux :

« Il sera possible que spectacle par tant de titres barbare, exposé et indecoroso, ait toléré des siècles et des siècles, sans le répugner, par les gens Espanola ? »

Dans un autre paragraphe sur les effets pernicieux que ce spectacle produit dans le caractère collectif des Espagnols, il dit :
« Cela est dans le fonds l’objet de chaque corrida ; ceci c’est qui représente et multiplie les scènes : férocité produite par l’homme, dommages
et boucheries volontaires, dechados éternelles de cruauté et d’ingratitude, et sang purge versée et mélanges de sangs, et toujours du sang et
davantage de sang. Donc si ceux-ci sont les exemples des taureaux, que peuvent-ils produire les taureaux ? Dureté du cœur, exil de la douce
sensibilité et manières aussi impitoyables et cruelles comme le spectacle qui regardent »

Les corridas de taureaux et les droits naturels des êtres vivants
La signification historique des droits civils, la liberté d’expression et l’extension des droits naturels aux êtres humains et aux animaux, pour
la première fois avec des critères purement humanitaires, est apparue d’une profonde réévaluation des valeurs morales et les priorités
humaines qu’a permis d’interroger toute forme d’exploitation animale comme la domestication d’animaux, qui est un modèle pour la soumission
sociale, tout comme la chasse, que historiquement il à représenté une affirmation de pouvoir et une virilité, et la vivisection qui, outre une atrocité
scientifique, hypothèque notre santé, en nous faisant rehenes des critères mercantilistes de l’industrie pharmaceutique, qui ne conçoit pas la santé
sans recours obligée aux médecines.

Pour faire face aux corridas de taureaux comme une coutume cruelle et institutionnalisée, il est avant nécessaire de comprendre la relation existante
entre ce spectacle archaïque et la primitive échelle de valeurs de la culture carnivore dans laquelle il est soutenu, qui considère aux êtres humains et
d’autres êtres vivants comme ennemis potentiels à auxquels il est possible de dominer ou de sojuzgar, en plus de consommer ses abats.

Puisqu’une forme d’exploitation justifie généralement l’autre, et toutes les deux ils appartiennent à une mythologie qui sépare aux animaux de notre niveau moral.

Joseph Ritson (1752-1803), disait dans 1802, dans son Essai moral sur l’abstinence, que la relation entre la consommation d’animaux et le
comportement cruel et impitoyable de l’être humain, est un fait historiquement démontré.

Et qui l’origine des l’mauvais appelées sports barbares et insensibles des Anglais, comme les courses de chevaux, la chasse, le tir avec
des fusils (armes à feu), le harcèlement avec des taureaux et des ours, les luttes de coqs, les combats professionnels de boxe, et autres tant, est
dans la dépendance à la viande.

Le végétarisme comme base du progrès social et culturel
Les racines du mouvement végétarien, qui arriverait à être la base des campagnes pour les animaux et ses droits, ont leur origine dans les idéals
de l’illustration et dont elles ont cru et ont combattu pour un monde plus juste pour les êtres humains et les animaux ; intellectuels illustrés comme
le comte d’Aranda (1719-98), diplomate et premier ministre de Carlos III, et Gaspar Melchor de Jovellanos (1744-1811), jurisconsulte, homme d’Etat
et auteur, se caractérisé par son rejet frontal aux corridas de taureaux, en promouvant la culture, et l’amélioration du bien-être social et améliorer les coutumes.

Dont l’influence a été laissée sentir dans toute la génération des écrivains de du 98 qui, à l’exception de Valle-Inclán, se sont opposé aux corridas de taureaux.

Miguel d’Unamuno a transformé l’ancienne devise Pain et Jeux en Pain et Taureaux, en critiquant aux masses qui allaient aux corridas à la
recherche d’un divertissement macabre et sanglant, tandis que Pío Baroja a exprimé sa préoccupation pour la souffrance des animaux.

Les livres de Tomas Payne (1737-1809), « Sentido común » et « Los derechos del hombre »
leur influence a marqué le cours de l’histoire de l’humanité, et Joseph Ritson, celui qui croyait que les sacrifices rituels d’animaux ont permis que
l’être humain commence à manger de la viande, ont représenté les idéals de l’illustration pour tous ceux-là qu’ils croyaient dans un nouveau concept
universel de la justice pour les êtres humains et les animaux, en consignant les bases du mouvement végétarien international dont font partie des
organisations comme l’Union Végétarienne Internationale (IVU) et diverses associations végétariennes internationales qui promeuvent un style de
vie plus sain et solidaire, basé dans une alimentation d’origine végétale, qu’il rejette et il condamne le mal traitement des animaux et son exploitation
pour la production d’aliments, que leur commercialisation et leur consommation ils empêchent l’adoption de mesures nécessaires, justes et
responsables pour le bien-être les animaux, et du mouvement global pour la défense de ses droits, un groupe à celui qui appartiennent aussi
plusieurs associations espagnoles comme Amnistie Animale, ADDA, ALA, ANPBA, ASANDA, ATEA, Droits pour les Animaux, OLGA, etc. que
défendent les droits des animaux et ils condamnent la cruauté institutionnalisée des corridas, en canalisant l’indignation publique vers ces
spectacles, comme dans la première marche anti-taurines du printemps de 1987 à la place des las Ventas de Madrid.

Protestations qui ne reçoivent pas toujours l’attention adéquate des moyens de communication par crainte à perdre les faveurs politiques et économiques
des intérêts taurins et institutionnels qui les soutiennent.

Pour un futur sans divertissement sanglant
Le plus grand rejet de la société aux guerres et les spectacles cruels dans lesquels ils sont torturés et tuent les animaux par profit et divertissement, devrait
produire une attitude moins tolérante avec la violence que souffrent les animaux et il dégrade à toute la société ; toutefois, bien que quelques fêtes cruelles, comme
le lancement d’une chèvre du clocher de « l’église de Manganeses », ils ne son plus permis ; d’autres, comme le « Toro de la Vega », qui
consiste à poursuivre à un taureau par le domaine jusqu’à le tuer avec une lance pour se contester ses testicules comme trophée, ils trouvent leur justification
dans les corridas de taureaux et continuent avec le suffisant appui institutionnel, représenté par des intérêts taurins, qui ne permettent pas d’instruire
à la société à évaluer également à toutes les victimes de la violence, en empêchant l’adoption et l’exécution d’une véritable loi étatique de protection
animale, en accord avec une société démocratique évoluée qui respecte les intérêts de ceux qui sont plus vulnérables.

Si nous pouvons établir que nous sommes ce que nous mangeons et rejetons la violence en rapport avec la consommation de viande, nous devons
aussi laisser vivre les autres.

Si notre aliments sont notre médecine, aussi peuvent nous permettre de redéfinir la signification de ce que nous appelons divertissement et obtenir
nourrir l’esprit, ou l’âme, en apprenant à apprécier les aliments obtenus sans violence ni cruauté.

Si nous sommes réellement des êtres miséricordieux, chacun de nous nous devons faire partie de la solution et demander l’abolition des corridas
de taureaux et de toute sa légende suprématiste qui fait une festivité de la douleur, en centrant nous efforts en pour affaiblir les fondations politiques
et économiques qui font possible que subsiste un anachronisme de notre passé sanglant qui n’a pas lieu dans une société qui se auto-définit comme
moderne, démocratique et solidaire.

« Selon une enquête récente, 68% des Espagnols ne sont pas intéressé pour les corridas de taureaux, étant les jeunes et les femmes
sont ceux qui le moins les soutiennent.

Les catalans et les galiciens, avec 81 et 79%, respectivement, sont ceux qui sont moins intéressés. D’autres données reflètent que 82% des
Espagnols n’ont jamais assisté à une corrida, tandis que 87% condamnent la souffrance animale dans les spectacles publics ».

Francisco Martín

Président de l’Association Vegana Espagnole (AVE)

Si des erreurs ou fautes de traduction apparaissent, ils sont involontaires.

Mais le plus grand erreur et faute, c’est cette souffrance que l’homme fait subir aux animaux seulement pour le plaisir et pour l’argent.

http://pagesperso-orange.fr/ednum33/la_corrida_2.html

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