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Amiens : la victoire de la Gauche, la défaite de Maxime Gremetz

Publie le mardi 18 mars 2008 par Open-Publishing
2 commentaires

Le maire sortant d’Amiens nettement battu par le socialiste Gilles Demailly, s’incline avec environ 43,79 % des suffrages. Gilles de Robien décide de se retirer de la vie politique. Retour en images sur cette soirée du second tour... Maxime Gremetz finit quant à lui 2è grand perdant de ces élections cantonales et municipales.


Messages

  • C’est bien contre le "pouvoir personnel" qu’on mobilise "classe contre classe" !

    Outre les méfaits matériels du capitalisme, il y a un mal plus grave encore car ce mal attaque "la dignité de la personne humaine" :

    le Patron, maître chez lui , au regard du "devenir humain" , n’est qu’un monstre aux yeux et à la pensée "invaginés" sur lui-même : à plaindre...

    Quant au salarié, précarisé "par principe de parisot", n’en parlons plus...

    Si "le Parti de l’émancipation humaine "n’est plus un parti de lutte de classe, alors, on comprend qu’il produise des "patrons politiques" aux yeux révulsés sur leur égo... Mais n’allons pas si vite en besogne : notre parti est encore un parti communiste, même peut-être plus que jamais, car on peut s’y exprimer sans craindre des ayatollah ou autres procureurs !

  • si vous parlez de la gôche plurielle, petite bourgeoise, antourière, sectaire, européaniste, otaniste...on en reparlera bientôt avec la casse des départements et ensuite des communes en tant que telles

    bientôt les landers, les districts, les comtés, et tout cela, pas dans la Somme mais dans les Hauts de France.

    que la gôche soit bannie, que les communistes véritables reviennent à leurs idéaux fondateurs, de classe de masse, et pour l’anéantissement du capitalisme