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NAISSANCE de l’UNION DES NATIONS LATINOAMERICAINES

Publie le vendredi 23 mai 2008 par Open-Publishing
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Aucun écho dans la presse néolibérale de langue française de cet évènement : Le 22 Mai 2008 à Brasilia douze nations ont signé le traité constituant l’UNION des NATIONS LATINOAMERICAINES (UNASUR). But : développer une instance capable de répondre en profondeur aux problèmes communs.

Il a été question, lors de cette réunion fondatrice à Brasilia du CONSEIL DE DEFENSE LATINOAMERICAIN, proposé par le Président Lula, comme issu de l’UNASUR, et des violations du territoire Venezuelien dont la Colombie s’est rendue coupable. La Colombie ne fait donc pas partie de ce conseil tant qu’elle n’a pas "clarifié ses positions".

L’UNASUR couvre 17 millions de km2 comportant quasi 30% des réserves mondiales d’eau douce, et elle représente 380 millions d’habitants.

 http://www.aporrea.org/internaciona... (en espagnol)

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  • TRADUCTION approximative DU TEXTE de http://www.aporrea.org/internaciona... :

    "On propose d’éliminer l’inégalité socio-économique, d’obtenir l’inclusion sociale et la participation des citoyens, de fortifier la démocratie et de réduire les asymétries entre les nations

    Brasilia, 22 mai 2008/Douze nations latino-americaines souscriront ce vendredi dans la capital brésilienne le Traité Constitutif de l’Union de nations sud-américaines (Unasur), que cherchera développer une citoyenneté régionale capable de répondre intégrée et profonde à des problèmes communs.

    Le rendez-vous aura lieu dans le Palais de Conventions Ulises Guimaraes de Brasilia et pendant la rencontre on fera aussi le transfert de la présidence avantage témpore maintenant à charge de la Bolivie.

    Dans la réunion de ce bloc, qui cherche aussi se transformer le forum politique des mandataires de la région, ils rôderont d’autres sujets comme le Conseil de la Défense sud-américain, proposé par le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, hôte de la réunion, et la dénonciation du Vénézuéla sur l’incursion dans leur territoire d’un avion américain.

    EN se référant à à cela, le président vénézuélien Hugo Chavez a confirmé ce mercredi que « celui-là sera un sujet, évidemment (...) que nous porterons à Brasilia, parce que nous voulons la paix et sommes obligés de garantir la paix ».

    « La Colombie, dans les présentes circonstances, doit laisser des points de vue clairs et ce n’est pas le moment pour qu’il prenne part de ce bureau de sécurité », a déclaré pour sa part le président de la Colombie, Álvaro Uribe, en se référant au Conseil de la Sécurité.

    Uribe a aussi rejeté la présidence avantage témpore qui lui touchait assumer à Brasilia étant donné les tensions avec Équateur et le Vénézuéla.

    Unasur a son origine dans la Communauté sud-américaine de nations (CSN), dont la création s’est limitée en décembre 2004 à Cuzco, le Pérou. En septembre 2005 Brasilia il a été siège d’une seconde rencontre de chefs d’État de cette région, qui a été appelée Premier Sommet de la CSN.

    En décembre, en Cochabamba, la Bolivie, on a effectué le Second Sommet de la CSN ; et la troisième, qui était prévue pour janvier à Carthagène, la Colombie, a été retardée à la suite des tensions entre la Colombie et l’Équateur après l’incursion de troupes colombiennes dans ce dernier pays passé le 1º de mars, dans une action dans laquelle s’est avéré mort le nombre deux des Forces Armées Révolutionnaires de la Colombie, Raúl Rois, ce qui a congelé les initiatives par la libération d’un troisième groupe de rehenes de ce groupe rebelle.

    Le bloc a adopté en arrière le nom d’Unasur, proposé par le président vénézuélien Hugo Chavez temps, dans le Sommet Énergétique de Porlamar, île vénézuélienne de Marguerite en 2006.

    Avant de signer encore le Traité Constitutif, qui a été accordé dans différentes réunions, ce bloc d’intégration politique et économique a avancé dans des projets énergétiques, d’infrastructure et consulaires.

    Dans le Conseil Énergétique effectué à Caracas les ministres ont commencé à concevoir la stratégie de Sécurité Énergétique de la région, basée deux éléments : la sécurité dans ce secteur et les mécanismes coopération et intégration.

    La réunion de Caracas a fixé un délai de six mois pour avoir un projet de Traité Énergétique.

    Le Vénézuéla maintient des projets d’intégration énergétique avec plusieurs nations latino-americaines, entre lesquels ils sont comptés : la construction de la raffinerie José Inácio Abreu et Lima au Brésil, pour traiter initialement 200 mille tonneaux par jour (b/d) de pétrole et une raffinerie du Pacifique en Manabí, Équateur, pour raffiner quelque 300 mille b/d.

    Le mécanisme d’intégration politique et économique a aussi avancé dans l’exonération de visa pour touristes et dans les projets conjoints en matière d’infrastructure.

    L’Union de nations sud-américaines est étendue dans un secteur de de 17.7 millions de kilomètres carrés avec presque 30% des réserves mondiales d’eau douce et représente à à quelque 380 millions d’habitants."