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Messieurs ! Soyez donc du miel et pas du vinaigre !

Publie le dimanche 18 octobre 2009 par Open-Publishing
32 commentaires

Lettre ouverte aux hommes qui se considèrent encore comme supérieurs à nous les femmes : pourquoi n’essayeriez-vous pas d’évoluer ?
Ainsi, peut-être finiriez-vous par être nos égaux !

de FLORILEGE1975

Messieurs ! Soyez donc du miel et pas du vinaigre

« Chérie, tu peux m’apporter une bière ? Arrête d’épousseter la télé, pendant le match de foot, tu le feras après ! Qu’est-ce qu’on mange, ce soir ?... »

Un parfum d’habitude ? Une rengaine rabâchée tous les jours ? Eh oui, Messieurs, les femmes n’ont toujours pas compris comment vous satisfaire. Il faut sans cesse répéter, sans cesse les dresser. Quelle fatigue !

Le pire, c’est qu’à notre époque, elles sont loin d’être aussi dociles et perméables à l’autorité masculine qu’antan. Seuls quelques rares maris d’Orient arrivent encore à avoir des « femmes parfaites ».
Comment font-ils ? Sont-ils meilleurs que vous ? En fait, non ! Cela est dû à des mœurs différentes.

En effet, si vos femmes n’avaient pas obtenu le soutien de petits cons comme Molière ou Condorcet, vous ne vivriez pas cette situation appelée « égalité des sexes ». Quels égoïstes, ceux-là ! C’est facile de se plaindre d’aise. Maintenant, vous, vous ramez à cause de leurs pseudo-techniques de drague : « Flattez leur ego et vous décrocherez le gros lot ». Voilà quel était leur vrai but.
Oui, Messieurs, vous avez des raisons de regretter ce temps jadis, ce temps merveilleux où les femmes vous étaient soumises. Vous avez raison de vouloir réinstaurer cette ère glorieuse. D’ailleurs, l’illustre philosophe Caliméro résume très bien votre situation : « C’est vraiment trop injuste ! »
Mais bon, en tant qu’homme, vous avez l’immense qualité de ne pas vous plaindre de votre sort. Dès lors, voyons la situation sous un angle positif. Oui, vous êtes également gagnant ! Lisez plutôt...

Premièrement, vous avez l’opportunité de pouvoir développer votre corps et votre endurance à domicile. En effet, en vous levant pour aller chercher votre bière, vous perdrez quelques grammes. Si l’on considère une soirée entre potes et deux bacs de vingt-quatre, vous perdrez facilement une petite livre. Génial, non ? de plus, en faisant le ménage, vos biceps, vos triceps et même vos quadriceps deviendront plus beaux et plus forts. Entre lever de seaux, étirements avec serpillière et extensions en lavant les carreaux, vous vous sculpterez une musculature de rêve qui vous sera vite jalousée. Mais l’avantage majeur de cette technique de « sport à domicile » est que, de cette façon, vous aurez toujours un oeil sur ce qui se passe chez vous. Eh oui, Messieurs, plus vous passerez de temps à la maison, moins votre femme aura la possibilité d’avoir un amant caché dans l’armoire. C’est logique ! dès lors, vous aurez potentiellement moins de chance d’être cocu sous votre toit.

Mais cela n’est pas le seul point positif de l’égalité des sexes. En ce qui concerne votre progéniture, il y a également des avantages. En effet, vous avez l’ »opportunité de vous impliquer directement dans leur éducation et de leur inculquer les bons principes. Par exemple, vous pourriez leur apprendre que les garçons sont faits pour être forts et braves, tandis que les filles ont pour destinée d’être belles et dociles. Oui, Messieurs, il faut agir au berceau pour avoir des résultats.
Mais attention, vous n’en obtiendrez qu’à coup d’amour et de disponibilité pour eux car les enfants aiment les personnes qui s’occupent d’eux. Profitez donc qu fait que Madame est au travail pour gagner leurs faveurs.

D’ailleurs, cette idée amène le troisième gros point positif de l’émancipation des femmes. Vous avez plus d’argent ! Et cela ne veut pas dire que vous n’êtes pas capable d’entretenir votre famille. Prenez cela comme un surplus et non pour une nécessité. En fin de compte, il faut bien occuper ces dames.

En somme, l’égalité des sexes présente de nombreux avantages : il suffit d’en tirer parti. Malheureusement, la plupart d’entre vous n’y arrivent car ils ont peur.

Oui, Messieurs les machos (appelons un chat, un chat), vous avez peur de perdre votre toute-puissance et de perdre, par la même occasion, votre femme. En effet, il est facile de garder une femme quand on la domine et qu’on l’abrutit de sa philosophie mais il est moins évident de garder une femme éveillée au monde et libérée. Actuellement, il est plus difficile de séduire une femme et de la faire sienne. Avant, il suffisait d’avoir l’accord parental, moyennant finances. Maintenant, c’est à coups d’amour, de tolérance et de partage que l’ont obtient une femme,... sa femme ! Mais, en fin de compte, n’est-ce pas là une forme de toute-puissance ? N’est-ce pas mieux ? Une femme aimée et aimante, qui se sent protégée et non pas dominée, n’est-elle pas plus capable d’aimer chaque jour l’homme qu’elle a jugé digne d’elle ?

Oui, Messieurs, la fidélité et l’amour ne s’achètent pas, ils se conquièrent. En adoptant un comportement macho et irrespectueux envers les femmes, vous perdez plus que vous n’y gagnez. L’adage ne dit-il pas : « On n’attrape pas des mouches avec du vinaigre » ? Ne soyez pas ce vinaigre, ce poison qui les fera fuir. Soyez plutôt leur miel. Faites en sorte qu’elles soient collées à votre douceur et à votre compréhension. Méditez, Messieurs !

Alors, à vous, tous les Arnolphe de la terre, avant de dire que « du côté de la barbe est la toute puissance », pensez à ce que serait votre vie sans les femmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain…

Voir encore aujourd’hui des femmes soumises et humiliées( et pas forcément dans les contrées lointaines...) n’est pas acceptable !

En conclusion, tous les Arnolphe (L’École des femmes de Molière, pour mémoire ! ), ouvrez les yeux !
Cessez d’avoir des préjugés, des principes à l’égard des femmes. Apprenez à être de vrais hommes sans faux semblants : sinon vous serez perdants !

Messages

  • c’est gentil tout ça

    moi j’espérais depuis toujours être accepté par une femme précisément parce que je ne suispas un homme comme le modèle que vous critiquez.

    ben aucune femme ne m’a jamais trouvé digne d’elle

    et en plus, on me dit que je fais chier avec ma solitude parce que je suis intelligent, sensible et pas mal comme mec... alors qu’il aille ailleurs et arrête de se pleindre : un homme ça se pleind pas !

    ben je vais vous dire : un homme qui n’aime pas la bière, qui fait sa lessive et son raccomodage lui-même, qui fait sa bouffe lui-même, qui fait son ménage lui-même, qui achète ce qui est nécessaire à la cambuse sans avoir besoin de liste, qui ne regarde pas la télé parce qu’il n’en a jamais acheté, qui ne fantasme pas sur les grosses cylindrées, qui n’aime pas les restaurants et être servi parce qu’il a l’impression d’être dans ce genre de situation un impotent ou un dominateur, un homme qui préfère la douceur des peluches et des pulls et déteste les bites pendues au cou et les petites voitures pour faire vroum vroum pinpon pinpon, un homme tout simple qui n’a pas envie spécialement de niquer...

    ben on sent qu’il n’aura jamais de place parmi les autres hommes, donc dans la société, et que donc il n’aura jamais de place valorisante nulle part, donc probablement pas de fric... donc il risque pas de vous permettre un confort et une protection vu que lui-même a du mal à sauver sa peau et survivre...

    et en plus, on sent qu’on va pas pouvoir se faire féconder quand on en sentira le désir impérieux... parce que lui, de reproduire la souffrance qu’il connait depuis son enfance, il va y réfléchir à deux fois et peut-être plus...

    voir pire, c’est peut-être une bite molle qui va pas bander quand on en aura envie...

    donc au mieux, on en fait un confident à qui on raconte que les autres hommes sont des salauds... mais de toute façon, on va l’éconduire...

    et pas toujours gentiment

    voir des fois, c’est l’aubaine : on se venge sur son dos de ce qu’on reproche aux autres...

    alors dites aussi aux femmes de ne pas élever leurs garçons comme elles sélectionnent leurs progéniteurs

    après

    peut-être qu’on vera autre chose se reproduire

    • Dommage pour toi, tu n’as sans doute rencontré que des femmes conformistes ! Le conformisme c’est terrible,moi qd je dis en société que j’ai pas d’enfants à 50 balais , ça jette tjrs un froid , plus jeune on me disait "ah ça va venir" je répondais que j’étais stérile pr avoir la paix, pr pas avoir à me justifier , c’est dingue ça , comme ds les pays ss-développés où une femme est un monstre si elle a pas de gamins, des gamins qui vont en ch... comme des esclaves sur cette planète pourrie

    • Tiens c’est marrant, je me suis demandé après avoir lu le billet, si je ne n’allais pas laisser un commentaire disant peu ou prou la même chose que toi.

      (k)G.B.

    • Bon, Paul, reprenons.
      Tout ce que tu dis devrais pourtant en faire saliver plus d’une.
      Donc, où est ton problème ? ne pas avoir de télé, ok, pas un problème, pas de fric, on est un peu tous dans la même situation, pas de voiture, on s’en fout, pas d’enfants, vous avez tous raison, ect.......

      Par contre, Paul, c’est peut être là où tu merdes :

      c’est peut-être une bite molle qui va pas bander quand on en aura envie...

      Parce que là, tu déconnes !!!!c’est une des seules choses qu’on peut encore faire librement, alors usons et abusons et je te dirais juste de te référer au post de La Louve concernant le clip vidéo de David Bowie.

      Y’a pas si longtemps, dans un de tes articles, je te traitais de rabat-joie, alors, haut les coeurs !!!!!!

    • " parceque là,tu déconnes !!! c’est une des seules choses qu’on peut encore faire librement,alors usons et abusons et je te dirai juste de te référer au post de LA LOUVE..."

      Voilà une opinion intéressante,et avec une sérieuse référence.

      De plus " VIRGINIE" qui s’adresse à" PAUL".......

      Réveilles-toi Paul ! hauts les coeurs ! et haute la Bite ! les femmes faut les aimer ! et elle nous le rende bien !

      Moi je les aime toutes....sauf Arlette CHABAUD et Françoise LABORDE !

      Quant au titre de l’article pas d’accord ! ça arrive à être compliqué .

      Avec du miel tu es mielleux,avec du vinaigre tu es acariatre,FAUDRAIT SAVOIR !!!

      bises à toutes

      LE REBOURSIER

    • z’êtes gentilles les filles, merci...

      mais bon j’ai pas bien compris non plus ce que vous voulez dire.

      quand je disais quelque chose à propos de bite molle, c’est que tout simplement c’est des choses que des femmes m’ont dites de diverses façons, du genre, un homme, un vrai on sent tout de suite que ça va bander, toi on sent pas ça, alors va te faire mettre.

      je pense pas que ça soit moi qui merde. mais elles. c’est leurs projections de valeurs machistes et leur fascination pour le mâle qui s’exprime là. et en fait ce qu’il y a derrière, c’est que pour l’immense majorité des femmes, l’objet sexuel, pas simplement d’un point de vue de désignation du désir, c’est l’homme : culturellement, dans le système patriarcale phallocrate, l’homme se réduit à son sexe. le reste de son corps n’existe pas. d’ailleurs il est vestimentairement effacé : un homme ne doit rien montrer de son corps et c’est exprimé par l’obligation d’avoir une chemise fermée au col par la cravate. tout ce qu’un homme doit prouver c’est son obscession à la bandaison parce que sans ça il n’y a pas de fécondation possible. et que la seule valeur de l’homme et de la femme dans ce système culturel, c’est le potenteil de procréation qui débouche par la suite dans l’idéologie nataliste de ce système. c’est pas la seule origine du natalisme, puisque la seconde origine importante est le capitalisme de chair qui est le plus ancien et date de la fin du néolithique lorsque les économies découvrent le pouvoir résultant de l’accumulation de ressources (ressources de la terre agricole céréales et troupeau, ressources en corps d’esclaves et de guerriers d’où il vient que le plus fort est celui qui est le plus nombreux).

      Sans bandaison le guerrier, le cultivateur, le capitaliste, etc ne sont rien parce qu’ils ne sont pas père.

      le plaisir lui vient de bien autre chose

      peu d’homme vous avoueront qu’il arrive très souvent que la pénétration ne se passe pas bien et que souvent l’on se fasse mal : et si malgré cela on bande quand même, ça empèche d’éjaculer.

      Donc pour réussir à éjaculer à tous les coups de façon à remplir son obligation d’objet sexuel fécondateur, l’homme est obligé de s’éduquer à s’insensibiliser, précisément sexuellement, mais plus largement, dans toute sa sensualité et sa personnalité.

      donc on éduque les hommes à ne reconnaître qu’un seul plaisir qui est purement vaniteux et masochiste : celui d’ignorer la douleur, dans le sexe comme au combat ou dans le travail et l’esclavage, celui de n’atteindre qu’un seulbut qui est son seul fondement de dignité et d’identité : avoir éjaculer dans la femme (d’où l’interdiction de toute masturbation).

      Alors mesdames

      ce que je voulais vous faire sentir

      c’est que l’éducation des hommes est encore plus destructrice de la personne humaine que celle de la femme qui est d’ailleurs malgré tout ce qu’elle subi capable de prendre de la distence, et de critiquer cesur quoi est fondé son identité dans le système

      connaissez vous des hommes qui refusent instinctivement depuis l’enfance d’intégrer les schémas de virilité ?

      moi je n’ai rencontré aucune femme qui acceptait ce genre d’homme, pour deux types de raison : la première est de l’ordre du conformisme, la seconde de ne pas savoir comment s’y adapter, donc d’être en face d’un inconnu culturel, un varitable aliens.

      mais non

      ça ne les fait jamais "baver"

    • ah oui j’oubliais

      j’ai pas bien vu de quel articles vous faites allusion quand vous dites m’avoir traité de rabas joie quelque part

      je n’écris pas d’article sur ce site, j’y fait parfois des interventions quand je connais le sujetou qu’il me touche.

      vous confondez peut-être avec quelqu’un d’autre.

      je sais pas

    • bonjour camarade

      ben là aussi je veux bien comprendre mais il va falloir m’xpliquer en quoi l’article d’Elodie peut me faire découvrir quelque chose.

      je suis passé le lire

      je connais bowie depuis fort longtemps vu mon âge et tout ce qu’il a remué de façon très intéressante de concept culturels...

      mais bon

      j’ai pratiqué longtemps la danse contemporaine, la musique classique...choses assez délicates...

    • Alors, Pénélope a raison, tu n’as du rencontrer que des femmes trés, trés conformistes. Dommage.

      L’article de La Louve sur Bowie faisait référence, je l’ai interprété comme ça en tout cas, à une sorte d’apologie sur la gaité, la joie,le bonheur à trouver des plaisirs simples et à en abuser même si les temps ne si prêtes guère.

      Quant à l’article, c’etait effectivement un commentaire qui faisait référence à Hortefeux où je te disais que tu étais un rabat-joie (mais en toute sympathie et avec humour).

      Ne désespère pas, tu trouveras j’en suis sure ton âme soeur.

    • ah ouai merci mais je ne me rappelle pas du tout de l’article parlant d’hors te feu...

      oui je suis retourné voir l’article de Maître Tuaillon bon j’ai aussi vu que y’avait le truc de la joie et du coup j’y ai répondu avec mes référence.

      bon c’est vrai que je me sens très vieux et fatigué de vivre depuis que je ne produits plus certaines hormones depuis la disparition de ma thyroïde (tchernobyle probablement)

      du coup, avec en plus la prise de conscience prolétarienne, la lecture de pas mal d’économistes, de marx et d’anthropologue depuis beaucoup d’années au lieu d’avoir appris à me faire bien voir par les fâmes... ben effectivement je suis aussi triste que le docteur Faust et comme je sais ce que représente Méphistophéles je n’en suis pas tenté...

      alors il ne me reste pas grand chose

      bon plus idéologiquement

      Je me suis fait mon éducation idéologique en lisant Kate Millet quand j’avais quinze ans : ç m’a permi de comprendre pourquoi je n’intégrais pas les schémas communs à l’adolescence. Freud et des gens comme Levy Strauss ont par la suite complété mon regard sur l’humain. la découverte de Girard puis de Marx... m’ammène à un pessimisme mortifère à l’égard de l’humain.

      Ma thèse, c’est que si justement on est très sensuel et animal, il faut absolument construire une culture indépendante de la référence au sexe, comme si il n’y avait pas fondamentalement de différence due au sexe, mais uniquement du à l’individualité. Paradoxalement, les études féministes ou non, montre qu’anthropologiquement, c’est l’environnement social qui invente la sexualisation de la culture et donc des individus. La division du travail commence avec la divisions des prérogatives en fonction du sexe et ça commence pas l’éducation de la sensibilité. c’est à dire que l’on entraîne les individus à appréhender le monde et soi-même de façon différente en fonction du sexe. et donc on crée des disparités de potentiel d’appréciation du monde, puis donc des disparités de potentiel d’action (je sens puis j’agis c’est du Piaget de base).

      c’est à partir de cette idée que j’ai construit les personnages de mon roman. Aucun d’entre eux n’est humains par choix de genre littéraire à la fois fantastique science fiction et conte philosophique classique.

      ça s’appelle "Chanson d’orage" c’est édité aux éditions Chloé des Lys en Belgique
      y’a eu il y a quelques années un article de E-torpedo repris sur bellaciao pour le présenter.

      mais bon
      j’ai rien vendu

      je présente mon truc sur mon site

      http://dansedeplume.apinc.org/

    • bon aller

      j’ose pour faire sourire le reboursier

      virginie ? vous habitez chez vos parents ?

      moi j’habite encore chez ma mère à cinquante ans

      mais elle me laisse sortir le soir...

      alors bon

      on peut se voir ?

    • J’en suis un deuxième, à peu de chose près. D’une manière ou d’une autre, on trouve toujours à ne pas plaire, pour ceci ou pour cela. Pas de télé, pas de bagnole, pas de frigo, je fais mon pain, ma tambouille qui n’a rien à redonner à des bons cuisiniers, pas de télé, de portable... complètement à dreusse, le mec. Assez beau, pas trop con, poète et pourtant solitude. Trop distancié, finalement, avec le commun de ce social, pour s’être construit soi-même et les femmes, les filles n’en ont que faire. Car c’est un cas social puisqu’il en est de même avec les hommes... qui vivent intégrés dans cette société dont je n’ai rien à faire, n’y obéissant que si peu à ses exigences. Comme la rivière fait son lit, elle se couche et le léopard meurt avec ses taches.

    • bon

      et si on se contactait, se rassemblait et qu’on construisait collectivement la théorie de notre culture pour la diffuser ?

      paulriluma(chez)gmail(point)com

    • bon

      et si on se contactait, se rassemblait et qu’on construisait collectivement la théorie de notre culture pour la diffuser ?

      paulriluma(chez)gmail(point)com

    • bon

      et si on se contactait, se rassemblait et qu’on construisait collectivement la théorie de notre culture pour la diffuser ?

      paulriluma(chez)gmail(point)com

    • "Bon,et si on se contactait,se rassemblait....."

      Mon camarade Paul,quelle évolution(rapide)et quel talent !

      Passer de la vie d’ermite en organisateur de partouze...CAPOTE ! (dans ce cas précis dire "chapeau"serait un peu réducteur).

      Fraternellement

      LE REBOURSIER

    • alors bon
      on peut se voir ?

      Virginie :

      il arrive très souvent que la pénétration ne se passe pas bien et que souvent l’on se fasse mal

      un p’tit coup de bistouri peut-être ?

       :)

  • Quand je vois le nombre de mecs qui se font emmerder toute leur vie par leurs gonzesses, je me marre doucement quand je lis des articles comme ça. La violence est des deux cotés, mesdames. J’aime bien ce ton qui prend les hommes pour des cons, comme si le vainqueur parlait au vaincu, ça renifle la tolérance à plein nez.

    Si les féministes ne perdaient pas les pédales à chaque fois qu’on critique leur position (c’est fragile ces petites bêtes), elles pourrait comprendre que malheureusement, elles font le jeu du capital sur bien des points (à la manière de ce qui s’est passé au XIXème siècle d’ailleurs où les femmes ont servi d’outils aux bourgeois pour empêcher les mecs de faire grève, ainsi que le décrit Jacques Donzelot dans son livre "la police des familles"). Pour faire bref, la nouvelle configuration de l’économie qui se dessine avec la tertiarisation et l’immatériel fait la part belle aux qualités socialement attribuées aux femmes. Les comportements masculins sont dévalorisés, que ce soit au travail ou dans la propagande que l’industrie culturelle destine à la petite-bourgeoisie.
    Dans "La distinction", Pierre Bourdieu explique comment, par exemple, la force physique a été peu à peu dévalorisée d’abord dans la contre-culture puis dans la culture dominante actuelle qui n’est qu’une récupération de cette contre-culture (c’est la destiné de toute contre-culture, de toute façon), comment on a tourné en dérision la virilité (exactement à la manière de cet article).
    Or, pour le prolétariat que la bourgeoisie cherchait et cherche toujours (bien qu’elle y soit pratiquement parvenu grâce, entre autre, à des discours comme le féminisme) à détruire, le corps et la force physique étaient à la fois outil de travail et arme de défense. La petite-bourgeoisie en général et les féministes en particulier ont foncé dans ce discours dévalorisant (qu’on retrouve actuellement avec, par exemple, le "virilisme"), les mecs prolo se sont radicalisés dans des trucs de merde (le sport ou bien y a qu’à voir ce qu’est devenu la chasse depuis 3 décennies) et la société est devenue plus vulgaire (homme et femme confondus, chères fémnistes !), on est malheureux, l’exploitation règne, etc.

    Tout n’est pas l’oeuvre des féministes, je ne dis pas ça, je dis juste qu’elles ont suivi le destin de classe de la petite-bourgeoisie qui est d’être le fer de lance des déstructuration que le capital fait subir à la société.
    Au lieu de s’attaquer à la phallocratie, le féminisme s’est ghettoisé dans des trucs de merde comme les tâches ménagères, par exemple. Au lieu d’essayer de forcer les hommes à faire un truc qu’ils n’ont visiblement pas envie de faire, ces nonnes feraient mieux de remettre en cause les normes d’hygiène que la bourgeoisie a fait passer dans la société par l’intermédiaire des femmes avec les sociétés philantropiques du XIXème siècle. Mais là, c’est trop compliqué, ça leur ferait remettre en cause leur petit être, leur petit intérieur maladivement "clean". Il y en aurait à dire sur le niveau d’hygiène qui règne dans l’ensemble de l’Occident, c’est une véritable maladie mentale. Et l’auteure, FLORILEGE1975, appelle ça "sport à domicile" : c’est toute la petite-bourgeoisie.

    "Oui, Messieurs, la fidélité et l’amour ne s’achètent pas, ils se conquièrent." Holala ! Au secours ! Elle s’est échappé du couvent, celle là ! La fidélité... Je vais te dire, petite, je sais pas quel âge t’as, moi j’ai bientôt 40 balais, mais je peux te dire qu’on est plein, mecs comme gonzesses, à se dire que la fidélité, c’est une arnaque, que ça gache la vie sexuelle, que ça te rend exigeant(e) avec le partenaire qui t’empêche d’aller voir ailleurs, qu’au bout d’un moment, tu deviens invivable parce qu’au fond, il te manque quelque chose. Ton partenaire ne t’appartiens pas, laisse le faire sa vie, il ou elle reviendra super bien disposé à ton égard. L’amour c’est ça, c’est la confiance dans le fait qu’il n’y a pas que le cul dans la vie, réveille toi ! Mais t’as peut-être pas encore l’âge et t’as dû beaucoup regarder la télé.

    Allez, je pourrai continuer longtemps comme ça. FLORILEGE1975 attaque toi à la phallocratie au lieu de t’attaquer aux hommes et tu verras, tu te sentiras plus apaisé dans ta peau. Marre du sexisme, d’où qu’il vienne !

  • Faut il être folle pour penser sérieusement que la plupart des hommes SONT réellement TOUT PUISSANTS.....

    Pardon mais que la SOCIÉTÉ leur accorde une forme de toute puissance sur la femme, soit, et dans de trop nombreux endroits du globe, y compris en France.

    Mais c’est quand même un autre débat que de croire qu’ils le sont...Et je pense que leur domination juridique est bien venue d’ailleurs pour faire pièce à la domination autrefois féminine. Mais passons.

    Cela étant dit chères "féministes" vous avouerez que la meuf de base ne fait pas grand chose pour le gagner, ce nécessaire combat contre la discrimination fondée sur une discrimination sexuelle.

    Et que quand elle s’y emploie en général c’est juste pour remplacer une discrimination par une autre t le tout dans un esprit revanchard à vous glacer le sang. Moi je connais bien de mes congénères qui sont de plus insupportables machos que bcp d’hommes eux mêmes !

    Je connais aussi des hommes qui sont bien plus propres et méticuleux que des armadas de femmes, et n’ont pas besoin du prétexte "sport à domicile" pour faire, simplement, le ménage chez eux.

    Quant à la "progéniture" PARLONS EN parce que ça ça me fait bien RIGOLER.

    Ce que veulent la plupart des femmes, soyons honnêtes, c’est que leurs géniteurs leur servent de deuxième nounou - bonniche quoi. Tout le reste c’est du baratin. Parce que dès qu’ils s’agit de plus que ça, en général, le géniteur de sexe femelle se transforme en hyène écumante absolument pas décidée à "partager" les "prérogatives utérines" dûes au seul accident de la naissance (XX ou XY...?). Combien reconnaissent humblement que, tout en étant DIFFÉRENT, un père peut faire le travail d’une mère - et vice versa ? Et ce sont d’ailleurs souvent ces mêmes féministes qui sont contre l’adoption par les homosexuels.

    Et là dessus je rejoins en partie ce que dit Paul.

    Et la CONCLUSION de ce truc alors vraiment c’est un chef- d"oeuvre de bêtise.

    Si tu es du genre de femme qu’on ne peut garder qu’en la dominant , et qui est "mouche" au point d’"avoir besoin de "miel" pour être "attrapée", c’est bien dommage pour toi...

    Moi je crois que les liens les plus "sûrs" sont ceux du respect, de l’amour et ne se trouvent pas dans la domination mais dans le RESPECT mutuel et sans doute aussi d’abord dans le RESPECT de SOI.

    Ma conclusion à moi c’est donc comem svt à la fin de chaque lecture prétendument "féministe", que homme ou femme, la CONNERIE c’est tjs la chose la chose la mieux partagée du monde....

    LL

  • Je me garderai bien de porter un jugement sur ton article,car par certains passages,il me semble un peu autobiographique.

    Je me permettrai juste un conseil.Epousseter une télé lors d’un match de foot,il n’y a que 2 raisons possibles.Soit tu as décidé de l’emmerder,soit c’est autre chose,et là pose ton plumeau,et fais en sorte que les tirs au but arrivent avant la fin du match.

    C’est ce qu’on appelle "prendre son foot".

    LE REBOURSIER

  • Bon

    Moi aussi ma première réaction à l’égard de cet article a été négative.

    Puis je me suis dit que c’était l’occasion de réfléchir et de faire pointer les esprits sur quelque chose.

    Par là suite je donne donc des pistes en profitant des réactions des gens.

    Et je suis sérieux.

    et très sérieux quand je propose de passer à l’acte de réfléchir à une théorisation de nos cultures hors conformismes sexuels

    et encore plus quand je pose la question de définir ce qu’est le respect car très sérieusement, il m’apparaît que ce concept est des plus vague et galvaudé.

    et je n’obtiens, sans aucun étonnement, que des retours amusés prétendument humoristiques et réellement obsédés par le sexe, masquant en fait une absence de réflexion radicale autant qu’une gêne qui relève du tabou culturel...

    ça aussi ça explique certaines solitudes

    ça explique aussi la non évolution des mentalités

    ça explique aussi la prédominance écrasante des conformismes sexuels et sociaux...

    et que je fasse très chier

    • Mon Cde PAUL,moi aussi je vais être un peu sérieux.

      D’abord LA LOUVE veut tout simplement,le PLAISIR,le garder,le protéger,et faire la guerre à ceux qui veulent nous en priver.Comme elle a raison !

      Le respect ? il est écrit sur tous les frontons de nos mairies :

      LIBERTE EGALITE FRATERNITE

      Ben oui,le respect c’est au quotidien avoir à l’esprit ce tryptique qui devrait être la base de toutes relations entre tout être humain sans distinction de sexe.

      Puisqu’il s’agit ici du respect entre hommes et femmes,bannissons le féminisme car il est,par son côté communautariste un frein à cette EGALITE que toute femme et tout homme normalement constitués recherchent au travail,et hors du travail,dans le plaisir,dans la sexualité.Bref,dans LA VIE.Et si l’on rajoute à tout ça un peu de fraternité.....

      Et puis,et surtout,la LIBERTE,sans qui le respect n’existe pas.Je le dis souvent ,je ne suis le propriétaire de personne,et je ne serai la propriété de personne.Si avec ma compagne nous vivons ensembles,c’est notre choix,un choix reconduit chaque jour en toute LIBERTE et indépendance.

      Alors la bière,la télé,la poussière,la fidélité,la jalousie,la conquête,...ect quelle connerie !

      Fraternellement

      LE REBOURSIER

      PZ:Le temps qui m’était imparti pour ma contribution à un débat sérieux étant
      terminé........revenons à la fornication,sans miel ni vinaigre,mais avec beaucoup d’amour.

    • Kamarade (à lire avec le ton genre alerte laguillé sur un bidon de pétrole devant des travailleurs abrutis de télévision capitaliste)

      bon

      il y a là un début de tentative de réflexion sur le respect...

      mais pas suffisant parce qu’il est proposé avec des termes qui eux-mêmes méritent approfondissement très poussé du fait de leur connotation historique déplorable.

      ensuite

      le féminisme : be désolé, mais là aussi il y a totale méconnaissance du sujet, aussi dramatiquement que l’image déplorable et classique qu’en donne florilège.

      le féminisme est partie d’une nécessité de reconnaître quelque chose aux femmes et d’une prise de conscience très progressive et peu comprise de l’artifice de la culture séxuée. on a dit que l’on devenait femme, mais en oubliant de dire que dans la pensée des chercheurs ayant mis ça en lumière il y avait l’idée que l’on devient homme de la même manière, totalement frabriqué par des modèles, des conformismes.

      et finalement, le féminisme ce n’est pas seulement la "libération" culturelle et sociale de la femme mais aussi celle de l’homme. on a dit aussi à partir de là mais cela n’a pas été retenu, que la libération de la femme ne pouvait pas se faire sans la libération de l’homme de son carcan d’artifice culturel.

      et ça c’est radicale, anthropologique : ça veut dire que l’on a compris que ce qu’il fallait c’était reconstruire les cultures sur d’autres termes que l’exagération, la ségrégation des prérogatives morales, psychologiques, sociales, économiques des individus selon leurs déterminant biologique dont le plus fort dans les cultures est le sexe... mais il y a aussi l’âge, le phénotype local etc...

      la liberté qu’est-ce que c’est ?

      et bien non, initialement ce n’est pas la possibilité de dire et de faire ce que bon semble à chacun ! c’est la possibilité reconnue à chacun d’exprimer ses aptitude en conscience de sa place, de son interdépendance dans la collectivité et le monde, donc l’obligation réciproque entre l’individu et la société d’analyser sur observation objective les aptitudes de chacun dans l’intérêt et les déterminismes collectifs (dont l’environnement extra-humain)

      L’égalité qu’est-ce que c’est ?

      et bien non, ce n’est pas que tout le monde doit être pareil, conforme à un modèle ! c’est l’obligation réciproque entre la collectivité et l’individu, chacun, de reconnaître le jugement équitable à l’égard des principes de régulation des activités collectivement établis par l’expérience des déterminismes collectifs et individuels au sens de reconnaissance des aptitudes de chacun !

      La fraternité qu’est-ce que c’est ?

      et bien non, ce n’est pas l’amalgame de tous dans un univers de filiation familialiste généralisante de l’esprit de clan ethnocentré.

      C’est l’obligation réciproque entre la collectivité et chacun de reconnaître l’interdépendance équitable comme lien fondamental à tous dans le collectif : c’est ce qui définit la "membritude" de chacun comme du groupe et cela doit être, en reconnaissance de l’interdépendance du groupe avec son environnement étendu à l’ensemble des acteurs interactifs de l’environnement, autrement dit la fraternité dépasse le déterminisme biologique de l’espèce et s’étend aux autres espèces animales, végétales et minérales donc aux ressources de la biosphère.

      Alors le respect ?

      A mon sens, et en reprenant l’idée initiale du triptyque républicain, le respect est un processus de reconnaissance des aptitudes individuelle de la personne quelque soit son espèce. que sont donc les aptitudes ?

      Je reviens au féminisme mais aussi à l’interdépendance et à la fraternité intégrant le sens animiste primitif du regard à l’autre.

      Les aptitudes comme avec le sens : donc la sensibilité de l’individu.
      puis avec ses potentiels moteur : donc son corps comme organisme sensori-moteur de découverte et d’interaction avec son environnement.
      Sensibilité et motricité, en interdépendance avec l’environnement matériel et culturel de l’individu vont développer savoir faire et connaissance.

      Le respect est la procédure par laquelle chacun observe l’autre objectivement en cherchant à comprendre et détailler les aptitudes de l’autre.

      Apprendre à ne pas projeter sur l’autre ce que l’on est soi-même ou ce que l’on espère en l’autre n’est pas mince affaire après dix mille ans (le néolithique) de cultures projectives et conformistes

      c’est en ce sens qu’il y a une reconstruction radicale des cultures à faire.

      au travail !

    • PAUL,ça devient trop compliqué pour mon petit cerveau de cheminot.

      Je rejoins LA LOUVE,et faire la fête,danser,faire l’amour....et le premier qui m’en empêche il va se retrouver avec une tronche qui ressemblera à un déraillement.

      LE REBOURSIER

    • ben justement c’est là que t’as comlètement tord

      ce qui a fait lesuccès qu’on voit de la stratégie de communication consummériste des néolibéraux, c’est que eux ont récupéré toutes les études anthropologiques, sociologiques, idéologiques qui ont vu le jour pour décortiquer les cultures et les comportements.Puis ils s’en sont servi pour jouer sur la grosse tendence des tous les peuples à la fainéantise, au désir de fairela fête plutôt que de penser sa culture, à la tentation de facilité généralisée et glorifiée dans l’idée fausse de liberté individualiste égoïste.

      en me répondant ça

      non seulement il y a de la moquerie

      mais surtout

      tu fais complètement le jeux del’innommable qui justement fascine les masse par sa capacité à jouir de tout et de faire la fête !

    • Non Paul,il ne faut rien exagérer,il y a la façon de "faire la fête".Il est bien évident que l’innommable,sa clique et la bourgeoisie ont besoin de " dérivatifs "afin que les classes laborieuses pensent à autre chose qu’à la politique et ,surtout,à s’organiser.

      Cela dit,si nous ne faisons que penser,étudier la politique(pour ma part ça fait + de 45 ans) on devient barges,c’est clair.Et faire la java de temps en temps fait un bien considérable ; ça permet de faire des "break"et de repartir de plus belle.C’est un peu le même système que celui (très en danger) des vacances.

      D’autre part,l’innommable et ses sbires veulent par tous les moyens,nous foutre les chocottes,ils veulent qu’on ait peur !! Montrons à ces ordures que NON NOUS N’AVONS PAS PEUR et ce,quoi qu’ils disent.C’est devenu une façon aussi de résister que de s’amuser

      Faisons de la politique tous et toutes,c’est indispensable mais amusons-nous également c’est tout aussi indispensable.

      Et là on ne parle que de la fête mais comme dérivatifs ils en ont un paquet et s’en servent : sports, drames sociaux,débilités de toutes sortes à la tété etc...etc.

      À nous de faire le tri intelligemment,c’est tout.

      Fraternellement.

    • non sans blague

      tu veux faire de la politique et t’es pas foutu de voir que ma principale préoccupation n’est pas à l’égard de la fête mais à l’égard del’absence d’efforts de réflexion politique, de travail sur les fondements philosophiques etc... et est en réaction avec ce que dit le reboursier que mon baratin est trop compliqué ! merde !

      contrairement à l’image que l’innommable et tous les gens qui sont derrière lui, eux font ce travail de manipulation des cultures et ensuite ils utilisent un certain nombre de choses

      la gauche elle s’enlise dans des revendications purement rivalitaire et ne fait que réagir à l’agression stratégiquement construite du capitalisme.

      il n’y a plus de penseurs qui creusent et agressent la culture capitalistes, simplement des gens qui récitent des leçons souvent totalement décontextuées ou au contraire trop particularisées pour remettre en cause le système.

      vous réagissez systématiquement à n’importe quel os qui vous est jeté.

      quand je réagis à ce que vous récitez, genre me ressortir letriptuqye républicain, en proposant d’aller beaucoup plusloin et de réfléchir, on medit que c’est trop compliqué.

      les gens de droite eux prennent ça très au sérieux et récupère systématiquement le truc à leur bénéfice.

      ben au lieu de me répondre comme dans d’autres commentaires d’aller baiser (avec qui ?) vous feriez mieux de lire des travaux radicaux sur le fonctionnement des cultures, sur le fonctionnement des économies, sur le fonctionnement des psychologies de façon à vous libérer de tout ce qui vous est téléguidé

      vous creuser un peu la tête et pas simplement de dire que les financiers sont des ordures :pour moi ces gens là méritent la peine de mort mais ça, ça vous fait peur...

    • Dis donc PAUL,ça commence à bien faire.Je t’invite à relire l’article de FLORILEGE,et tu te rendras compte que tu es hors sujet.Que dans les rapports hommes femmes il n’y ait pas que le sexe,d’accord.Mais de là à le bannir comme tu le fais,parceque ce n’est pas ton truc,en utilisant des circonvolutions dialectiques qui n’ont rien à voir avec le sujet NON !

      Si un jour je dois débattre de la baisse tendentielle du taux de profit,et de la relation de l’inflation avec la crise monétaire internationale je m’assurerai que l’article introductif(décidément) le permet,et je n’en dévierai pas.

      FRAt. LE REBOURSIER

    • non mon gars

      c’est vous qui n’avez strictement rien compris à ce que j’indique et qui êtes totalement bouché

      les stratèges marketing du capitalisme eux au contraire ont très très bien assimilé et approfondi ce genre de question : il s’en servent à leur profit et ça marche remarquablement bien

      quant à l’article de florilège, c’est un florilège d’idées fausses à propos du féminisme.

      c’est justement parce que vous avez abandonné toute capacité de conceptualisation et d’analyse profonde des phénomènes culturels que vous faites le jeux du système phallocrate d’une part et capitaliste d’autre part.

      vous n’avez strictement rien compris au rapport qu’il y a entre division des tâches en fonction de déterminisme extra-individuel comme le sexe (et non en fonction de la reconnaissance des aptitudes individuelle réelles) et division hiérarchisées de la société sur ces mêmes critères puis en fonction du pouvoir d’accumulation de ressources non en fonction de besoin d’intérêt généraux mais en fonction de l’avidité et des intérêts particuliers etc... et votre réponse de dire que je bannis la sexualité est emblématique de cet incapacité à conceptualiser

      au départ j’ai gentiment répondu à vos boutades de mec couillu espérant que vous seriez capable de réflexion : ben non raté, normal si il n’y a que votre ventre et votre gosier qui vous motivent.