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27/12 : à près de 500 à lille, gaza, on n’oublie pas ! Israël assassin !

Publie le lundi 28 décembre 2009 par Open-Publishing
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27/12 : à près de 500 à lille, gaza, on n’oublie pas ! israël assassin !

 lille 27/12 métro wazemmes 11h : gaza « on n’oublie pas »

 arras, 27 décembre, solidarité avec gaza
Israël ASSASSIN !

 27 décembre Lille, Arras : Gaza, on n’oublie pas !

France Complice !

ONU Complice !

Europe Complice !

Moubarak Complice !

USA Complice !

la manifestation s’est disloquée au Parvis des Droits de l’Homme

après un discours percutant du président de l’AFPS

face à la Préfecture représentant la France Complice !

Un Palestinien est-il un Homme ?

pour certains, non... puisqu’on le fait crever derrière des barbelés !

Des responsables égyptiens ont confirmé lundi la construction par l’Egypte d’une barrière de métal souterraine pour obstruer les tunnels de contrebande à la frontière avec la bande de Gaza.

Cette initiative pourrait créer des tensions avec les Palestiniens au moment où l’Egypte joue les médiateurs dans un projet d’échange de prisonniers entre Israël et le Hamas, qui contrôle le territoire côtier soumis à un blocus israélien.

Des ouvriers ont commencé à empiler sous terre des tubes d’acier de 20 mètres de long et 50 centimètres de diamètre, précisent des responsables des services de sécurité égyptiens.

Des habitants des villes de Rafah et Gaza ont dit avoir vu dimanche des ouvriers fabriquer de longs tubes, en soudant bout à bout des éléments courts, qu’ils enfouissaient ensuite profondément dans le sol.

La presse israélienne signalait déjà il y a deux semaines la construction d’une palissade souterraine à 20-30 m de profondeur destinée à bloquer la contrebande entre l’Egypte et la bande de Gaza.

Ce mur est construit avec un financement Américain , sous la supervision technique des services Français

Portfolio

Messages

  • Les français participent à l’enfermement de Gaza


    Par G. Houbballah

    Selon des sources égyptiennes bien informées, le chef des services de renseignements militaires français, Benoît Bougier a visité le site de construction du mur d’acier de Gaza, sur la zone frontalière entre l’Égypte et la bande de Gaza, afin de réduire le phénomène des tunnels.

    Selon des sources égyptiennes bien informées, le chef des services de renseignements militaires français, Benoît Bougier a visité le site de construction du mur d’acier de Gaza, sur la zone frontalière entre l’Égypte et la bande de Gaza, afin de réduire le phénomène des tunnels.

    Au cours de sa visite, il a rencontré des officiers français qui participent avec des militaires égyptiens à la supervision de la construction de la paroi de fer longeant l’axe de Salaheddine afin de fermer les tunnels de passage des marchandises le long de la frontière entre la bande de Gaza et l’Egypte.

    Les sources ont ajouté que le général français est venu s’assurer par lui-même de ce qu’il a appelé "la plus grande opération militaire jamais vue dans l’histoire visant à lutter contre le monde de la ‘contrebande souterraine’ » selon ses termes.

    Selon les mêmes sources, le chef des services secrets français a rencontré avant son arrivée dans la zone frontalière les responsables de la direction étasunienne, créée spécifiquement pour suivre et superviser le processus de fermeture des tunnels et basée à l’ambassade étasunienne au Caire.

    Le chef des services de renseignements militaires français s’est aussi réuni avec la direction exécutive du projet, basée dans la ville égyptienne d’El Arish, avant d’atteindre la frontière pour voir par lui-même les grues égyptiennes géantes creuser et incruster des plaques géantes d’acier de 50 cms d’épaisseur à 18 mètres de profondeur, dans lesquelles les officiers, français et étasuniens, ont installé des capteurs hyper-sensibles ayant pour mission de signaler toute tentative d’infiltration souterraine.

    De l’avis des équipes étasuniennes et françaises, cette opération de fermeture de la frontière entre Gaza et l’Égypte, représente un projet expérimental ; s’il réussit, il sera appliqué dans d’autres guerres contre les soi-disant "groupes terroristes" dans différentes parties du monde.

    Source Al Manar