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Attentat de Karachi : le ministère de la Défense a caché l’existence de documents secret-défense.

Publie le vendredi 22 janvier 2010 par Open-Publishing
3 commentaires

Me Olivier Morice, avocat de parties civiles dans l’enquête sur l’attentat de Karachi en 2002, a accusé vendredi le ministère de la Défense d’avoir "caché" l’existence de documents secret-défense alors que les autorités françaises assuraient que tout avait été transmis à la justice...

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http://www.lesechos.fr/depeches/france/afp_00223939-karachi--un-avocat-accuse-l-etat-d-avoir-cache-des-documents-classifies.htm

Le ministre de la Défense actuel, Hervé Morin, était lui-même conseiller de François Léotard à l’époque du contrat entre la France et le Pakistan !

Hervé Morin faisait partie du clan Balladur-Sarkozy à l’époque (1993-1995).

Tu m’étonnes que le ministère de la Défense cache certains documents concernant l’attentat de Karachi !

Le clan Balladur-Sarkozy (1993-1995) :

 le Premier ministre Edouard Balladur,
 son directeur de cabinet : Nicolas Bazire,
 le ministre du Budget Nicolas Sarkozy,
 le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy : Brice Hortefeux,
 le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua,
 le ministre de la Défense François Léotard,
 le directeur de cabinet de François Léotard : Renaud Donnedieu de Vabres,
 le conseiller de François Léotard : Hervé Morin.

Messages

  • C’est justement parce qu’ils sont classés "secret défense" que nous n’en aurons JAMAIS connaissance.Ne pas confondre secret défense avec confidentiel défense.

  • je pense a cet instant a M. LEOTARD qui aime écrire des bouquins

    vite François un livre " saga vérité Karachi " le titre est donné ,pas

    la peine de vous triturer la cervelle M.Léotard ,et .......la vérité par dessus

    le marché ,s’il vous plaît .

  • Le terrorisme international n’existe pas »

    L’ancien chef d’état-major des forces armées russes déclare que la guerre [contre la terreur] est une intox pour justifier la création d’un organe de gouvernement mondial.

    Le Général Léonide Ivashov était chef d’état-major des forces armées russes au moment où se produisirent les attaques du 11 septembre 2001. Ce militaire, qui a vécu ces événements de l’intérieur, offre une analyse différente de ces collègues américains. Comme il l’a fait lors de la Conférence de l’Axe pour la Paix en 2005, il nous explique que le terrorisme international n’existe pas et que les attaques du 11 septembre furent le résultat d’un coup monté. Ce à quoi nous assistons est une manipulation orchestrée par les grandes puissances ; ce terrorisme n’existerait pas sans elles. Il affirme que, au lieu de simuler une "guerre mondiale contre le terrorisme", le meilleur moyen de réduire ce type d’attaques est de le faire à travers le respect de la loi internationale et de la coopération pacifique entre les pays et leurs citoyens.
    Ainsi que la situation internationale actuelle le montre, le terrorisme apparaît là où la contradiction s’aggrave, là où il y a un changement dans les relations sociales ou un changement de régime, là où il y a une instabilité politique, économique ou sociale, là où il y a une décadence morale, là où le cynisme et le nihilisme triomphent et là où le vice est légalisé et où le crime s’étend. C’est la mondialisation qui crée les conditions de l’apparition de ces phénomènes extrêmement dangereux. C’est dans ce contexte que la nouvelle carte du monde géostratégique est conçue, que les ressources de la planète sont en cours de redistribution, que les frontières disparaissent, que la loi internationale est déchirée en morceaux, que les identités culturelles sont gommées et que la vie spirituelle s’appauvrit…

    L’analyse de la nature même du processus de mondialisation et des doctrines militaire et politique, des Etats-Unis et des autres pays, montre que le terrorisme contribue à la domination mondiale et à la soumission des Etats à l’oligarchie globale. Cela signifie que le terrorisme n’est pas quelque chose d’indépendant de la politique mondiale mais seulement un instrument, un moyen d’installer un monde unipolaire avec un seul quartier général mondial. C’est un prétexte pour effacer les frontières nationales et pour établir la loi d’une nouvelle élite mondiale. C’est précisément cette élite qui constitue l’élément clé du terrorisme mondial - ses idéologues et ses "parrains". Les réalités historique, culturelle, traditionnelle et naturelle sont les cibles principales de cette élite mondiale. Elle vise le système existant de relations entre les Etats ; les ordres nationaux et étatiques de la civilisation humaine partout dans le monde, ainsi que les identités nationales.

    Le terrorisme international d’aujourd’hui est un phénomène qui combine l’utilisation de la terreur par des structures étatiques et non-étatiques comme moyen d’atteindre leurs objectifs politiques par l’intimidation des personnes, la déstabilisation psychologique et sociale, l’élimination de la résistance d’organisations puissantes et la création de conditions appropriées pour la manipulation des politiques des pays et du comportement des gens.

    Le terrorisme est l’arme utilisée dans un nouveau type de guerre. En même temps, le terrorisme international, en complicité avec les médias, est à la tête du processus global. C’est précisément la symbiose entre les médias et la terreur qui permet de modifier la politique internationale et la réalité existante.

    Dans ce contexte, si nous analysons ce qui est arrivé le 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, nous pouvons arriver aux conclusions suivantes :
    1. Les organisateurs de ces attaques sont les cercles politiques et d’affaires qui avaient un intérêt à déstabiliser l’ordre mondial et qui disposaient des moyens nécessaires pour financer cette opération. La conception politique de cette action a mûri là où des tensions sont apparues dans l’administration des ressources financières et autres. Nous devons regarder les raisons des attaques à la lumière de la coïncidence des intérêts du grand capital à des niveaux globaux transnationaux, dans les cercles qui n’étaient pas satisfaits par le rythme du processus de la mondialisation ou de la direction qu’elle prenait.

    Au contraire des guerres traditionnelles, dont la conception est déterminée par des généraux et des politiciens, les oligarques et les politiciens qui leur sont d’habitude soumis sont ceux qui l’ont conçue cette fois-ci.

    2. Seuls, les services secrets et leurs chefs actuels - ou ceux à la retraite mais qui ont gardé une influence à l’intérieur des organisations d’état - ont la capacité de planifier, d’organiser et de conduire une opération de cette ampleur. Généralement, ce sont les services secrets qui créent, financent et contrôlent les organisations extrémistes. Sans le soutien des services secrets, ces organisations ne peuvent pas exister, ne serait-ce que pour mener des opérations d’une telle ampleur dans des pays si bien protégés. Planifier et conduire une opération à cette échelle est extrêmement complexe.

    3. Oussama ben Laden et "al-Qaïda" ne peuvent pas être les organisateurs ni les exécuteurs des attaques du 11 septembre. Ils ne disposent ni de l’organisation, ni des ressources nécessaires, ni des dirigeants. C’est pourquoi, il fallait créer une équipe de professionnels, et les kamikazes arabes ne sont que des extra qui ont servi à masquer l’opération.

    L’opération du 11 septembre a modifié le cours des événements dans le monde dans la direction choisie par les mafias transnationales et les oligarques internationaux ; c’est à dire ceux qui espèrent contrôler les ressources naturelles de la planète, les réseaux d’information mondiaux et les flux financiers. Cette opération a aussi favorisé l’élite économique et politique américaine qui cherche aussi à dominer le monde.
    L’utilisation du terme "terrorisme international" poursuit les buts suivants :

     Cacher les véritables objectifs des forces déployées partout dans le monde dans la lutte pour la domination et le contrôle ;

     Changer les exigences des gens pour une lutte contre des cibles non définies - contre un ennemi invisible ;

     Détruire les normes internationales de base et changer les concepts tels que : agression, terreur d’état, dictature ou mouvement de libération nationale ;

     Priver les peuples de leur droit légitime à se défendre contre les agressions et à rejeter le travail des services secrets étrangers ;

     Etablir le principe du renoncement aux intérêts nationaux, transformer les objectifs dans le domaine militaire en donnant la priorité à la guerre contre le terrorisme, qui viole la logique des alliances militaires au détriment d’une défense conjointe en favorisant la coalition antiterroriste ;

     Résoudre les problèmes économiques par une règle militaire sévère utilisant la guerre contre le terrorisme comme prétexte.

    Pour combattre de manière efficace le terrorisme international il est nécessaire de prendre les mesures suivantes :

     Confirmer devant l’Assemblée Générale des Nations-Unies les principes de la Charte de l’ONU et de la loi internationale comme principes que tous les états sont obligés de respecter ;

     Créer une organisation géostratégique (éventuellement inspirée de l’Organisation de la Coopération de Shanghai, qui comprend la Russie, la Chine, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Kirghizstan et le Tadjikistan) avec un ordre de valeurs différent de celui des Atlantistes. Une telle organisation permettrait de concevoir une stratégie de développement des états, un système de sécurité internationale, un autre modèle financier et économique (ce qui voudrait dire que le monde reposerait à nouveau sur deux piliers) ;

     Associer (sous l’égide des Nations-Unies) les élites scientifiques à la conception et à la promotion des concepts philosophiques de l’Etre Humain du 21ème siècle.

     Organiser l’interaction de toutes les dénominations religieuses du monde, pour le compte de la stabilité du développement de l’humanité, de la sécurité et du soutien mutuel.

    Jeff Rense Program,

    BIOEXPRESS
    Le Général Léonide Ivashov est le vice-président de l’Académie des affaires géopolitiques. Il a été le chef du département des Affaires Générales au Ministère de la Défense de l’Union Soviétique, le secrétaire du Conseil des ministres de la défense de la CEI (Communauté des Etats Indépendants), le chef de la coopération militaire au Ministre de la Défense de la Fédération Russe et le chef d’état-major interarmes des armées russes.