“Le grand Vicaire peut sourire à un propos contre la religion,
l’Évêque rire tout à fait, le Cardinal y joindre son mot”.
(S. de Chamfort)
De la prescription :
Si la prescription est inscrite dans la Loi, elle devrait cependant conforter les accusations non prescrites et non tomber dans l’oubli judiciaire. Ne plus être répréhensible sur le plan pénal ne ne doit pas faire oublier l’extrême détresse des victimes. Le viol demeure a jamais gravé en elle, il tourne à l’obsession.
J’en parle savamment pour m’être impliqué personnellement dans des affaires de catholiques pédocriminels dont celle du sinistre abbé MAUREL, criminel en série d’enfants de dix ans. Cet individu sans remord a écrit un livre à sa sortie de prison, il est soutenu par toute l’extrême-droite de Dieu et consorts.
Las, même les intégristes n’arrivent plus à noyauter l’information ou à répondre à la vague de dénonciation qui déferle sur le monde.
Le plus terrible dans ces affaires c’est que ces criminels ont été protégés par leur hiérarchie pendant des siècles, j’ai failli dire de père en fils...
Dénoncés à plusieurs reprises à leurs évêques ces derniers les ont absous en échange de quelques pater et ave : ils ont récidivé.
Il fait un temps à ne pas mettre un honnête citoyen dehors. J’ai profité de cet intermède météorologique pour rechercher sur Google rubrique : "prêtre agression sexuelle".
Enfer et damnation, Jésus, marie Joseph ! Il y a 100 pages !
Avec de la patience, chaque citoyen pourra se faire une idée de l’ampleur des dégâts.
J’ai découvert qu’il y a eu environ 70 prêtres condamnés ou mis en examen pour agressions sexuelles (dont viol, etc.) entre 1995 et aujourd’hui... Tous sont présumés innocents bien sûr, ... jusqu’à leur condamnation définitive...
Et les victimes ? Elles sont de "présumées" victimes durant ce temps, ou de présumées menteuses !
Et n’oubliez jamais que la pression de l’Église fait que très peu de victimes osent dénoncer leur curé.
Il y a pas si longtemps, l’Église menaçait d’excommunier les victimes qui dénonçaient.
Une victime de Maurel m’a dit :“Je pense que les curés, en agressant les petits garçons, en détruisant leur identité sexuelle dès l’enfance, les “envoyaient” directement au séminaire...”.
Sans doute ce pauvre jeune homme a-t-il posé la bonne question.
“Le grand Vicaire peut sourire à un propos contre la religion,
l’Évêque rire tout à fait, le Cardinal y joindre son mot”.
(S. de Chamfort)
De la prescription :
Si la prescription est inscrite dans la Loi, elle devrait cependant conforter les accusations non prescrites et non tomber dans l’oubli judiciaire. Ne plus être répréhensible sur le plan pénal ne ne doit pas faire oublier l’extrême détresse des victimes. Le viol demeure a jamais gravé en elle, il tourne à l’obsession.
J’en parle savamment pour m’être impliqué personnellement dans des affaires de catholiques pédocriminels dont celle du sinistre abbé MAUREL, criminel en série d’enfants de dix ans. Cet individu sans remord a écrit un livre à sa sortie de prison, il est soutenu par toute l’extrême-droite de Dieu et consorts.
Las, même les intégristes n’arrivent plus à noyauter l’information ou à répondre à la vague de dénonciation qui déferle sur le monde.
Le plus terrible dans ces affaires c’est que ces criminels ont été protégés par leur hiérarchie pendant des siècles, j’ai failli dire de père en fils...
Dénoncés à plusieurs reprises à leurs évêques ces derniers les ont absous en échange de quelques pater et ave : ils ont récidivé.
Il fait un temps à ne pas mettre un honnête citoyen dehors. J’ai profité de cet intermède météorologique pour rechercher sur Google rubrique : "prêtre agression sexuelle".
Enfer et damnation, Jésus, marie Joseph ! Il y a 100 pages !
Avec de la patience, chaque citoyen pourra se faire une idée de l’ampleur des dégâts.
J’ai découvert qu’il y a eu environ 70 prêtres condamnés ou mis en examen pour agressions sexuelles (dont viol, etc.) entre 1995 et aujourd’hui... Tous sont présumés innocents bien sûr, ... jusqu’à leur condamnation définitive...
Et les victimes ? Elles sont de "présumées" victimes durant ce temps, ou de présumées menteuses !
Et n’oubliez jamais que la pression de l’Église fait que très peu de victimes osent dénoncer leur curé.
Il y a pas si longtemps, l’Église menaçait d’excommunier les victimes qui dénonçaient.
Une victime de Maurel m’a dit :“Je pense que les curés, en agressant les petits garçons, en détruisant leur identité sexuelle dès l’enfance, les “envoyaient” directement au séminaire...”.
Sans doute ce pauvre jeune homme a-t-il posé la bonne question.