Nous fumes battus de nous être défendus que pays par pays face à un adversaire qui avait ses multiples divergences mais accord et coordination sur un esprit de classe (bourgeoise) .
Ces processus et la classe bourgeoise derrière, ont eu une défaite politique momentanée en 2005 qui n’a pas ralenti, ou très peu, le galop de la clique anti-démocratique portant politiquement le projet tel qu’il est de l’Union Européenne.
Dans la phase d’accélération de la crise capitaliste, de violents assauts sont menés contre l’écrasante majorité de la population .
La classe bourgeoise essaye dans les soubresauts de sa crise de maintenir et d’accroitre sa part du gâteau des richesses produites. Les conséquences dans ce type de période sont extremement graves. Cette crise ressemble à la dernière du même type, la crise languissante démarrée en 1929 et finie en monstrueux carnage.
On ne sait pas comment les choses vont évoluer et personne n’a de certitudes. Néanmoins les tensions économiques, politiques, sociales, écologiques , sont colossales.
Les initiatives à prendre contre l’Europe du capital doivent favoriser une riposte européenne des travailleurs articulée à des initiatives favorisant la montée au créneau planétaire du prolétariat.
Doivent percer le sentiment d’appartenir à une classe numériquement majoritaire sur la planète , le sentiment d’avoir des sentiments communs, et la recherche d’actions bloquant les interets de la classe bourgeoise opposée.
Dans ce contexte, le souvenir de ce jour de 2005 où fut asséné une défaite politique momentanée fait partie des initiatives fondant un camp.
Faute d’une bonne préparation d’artillerie pour cette année et de la pression des chauvins, on pourrait penser au 29 mai 2011, comme rassemblement du camp populaire , rassemblement européen de travailleurs, pourquoi pas.
Ce camp ne recoupe pas des fachos qui ont toujours été au service du capital, ni des souverainistes de droite, ni des bourgeois nationaux improbables et introuvables.
C’est ce qui fait la différences avec les périodes historiques précédentes du capitalisme : les classes intermédiaires, ou même la paysannerie, n’existent pratiquement plus et les alliances de classe sont vides de sens comme enjeux consistants (par exemple au point de mettre une faucille avec un marteau).
Les questions que nous devons nous poser ce sont des batailles d’abord d"unification à l’intérieur de la classe ouvrière, des batailles contre le racisme et l’islamophobie (qui visent à s’attaquer à une fraction significative du prolétariat et non à lutter contre les croyances religieuses), contre les frontières diviseuses, pour l’égalité des droits, de ne laisser personne au coin de la route,...
Cette bataille d’unification du prolétariat vise également à reconstruire des outils de masse unitaires, démocratiques , de classe, sans nomenclaturas, de résistance et de contre-offensive, afin de dépasser le morcellement actuel.
Cette bataille serait également un des axes de travail d’un parti des communistes, autogestionnaires, libertaires, à construire .
Mai 2005
Mai 2010
Nous fumes battus de nous être défendus que pays par pays face à un adversaire qui avait ses multiples divergences mais accord et coordination sur un esprit de classe (bourgeoise) .
Ces processus et la classe bourgeoise derrière, ont eu une défaite politique momentanée en 2005 qui n’a pas ralenti, ou très peu, le galop de la clique anti-démocratique portant politiquement le projet tel qu’il est de l’Union Européenne.
Dans la phase d’accélération de la crise capitaliste, de violents assauts sont menés contre l’écrasante majorité de la population .
La classe bourgeoise essaye dans les soubresauts de sa crise de maintenir et d’accroitre sa part du gâteau des richesses produites. Les conséquences dans ce type de période sont extremement graves. Cette crise ressemble à la dernière du même type, la crise languissante démarrée en 1929 et finie en monstrueux carnage.
On ne sait pas comment les choses vont évoluer et personne n’a de certitudes. Néanmoins les tensions économiques, politiques, sociales, écologiques , sont colossales.
Les initiatives à prendre contre l’Europe du capital doivent favoriser une riposte européenne des travailleurs articulée à des initiatives favorisant la montée au créneau planétaire du prolétariat.
Doivent percer le sentiment d’appartenir à une classe numériquement majoritaire sur la planète , le sentiment d’avoir des sentiments communs, et la recherche d’actions bloquant les interets de la classe bourgeoise opposée.
Dans ce contexte, le souvenir de ce jour de 2005 où fut asséné une défaite politique momentanée fait partie des initiatives fondant un camp.
Faute d’une bonne préparation d’artillerie pour cette année et de la pression des chauvins, on pourrait penser au 29 mai 2011, comme rassemblement du camp populaire , rassemblement européen de travailleurs, pourquoi pas.
Ce camp ne recoupe pas des fachos qui ont toujours été au service du capital, ni des souverainistes de droite, ni des bourgeois nationaux improbables et introuvables.
C’est ce qui fait la différences avec les périodes historiques précédentes du capitalisme : les classes intermédiaires, ou même la paysannerie, n’existent pratiquement plus et les alliances de classe sont vides de sens comme enjeux consistants (par exemple au point de mettre une faucille avec un marteau).
Les questions que nous devons nous poser ce sont des batailles d’abord d"unification à l’intérieur de la classe ouvrière, des batailles contre le racisme et l’islamophobie (qui visent à s’attaquer à une fraction significative du prolétariat et non à lutter contre les croyances religieuses), contre les frontières diviseuses, pour l’égalité des droits, de ne laisser personne au coin de la route,...
Cette bataille d’unification du prolétariat vise également à reconstruire des outils de masse unitaires, démocratiques , de classe, sans nomenclaturas, de résistance et de contre-offensive, afin de dépasser le morcellement actuel.
Cette bataille serait également un des axes de travail d’un parti des communistes, autogestionnaires, libertaires, à construire .