Bon tout ça c’est du charabia qui ne donne aucune piste pour faire progresser le sort de la classe populaire et dégager un chemin vers l’autogestion (pouvoir des travailleurs).
D’abord
1) s’engager pour un gouvernement aussi fidèle à la classe populaire que Sarko l’est à la bourgeoisie.
C’est donc partir des revendications populaires comme programme concret.
ca ne signifie pas qu’un gouvernement puisse appliquer cela car il faudra alors le complément des :
2) outils de masse organisationnels unitaires démocratiques se saisissant des entreprises directement . Cela ne s’improvise pas , cela se travaille, cela se prépare.
avec un gouvernement de gauche ou de droite, l’axe central est là, le seul qui fait gagner les vraies batailles
Sans une classe populaire très organisée, indépendante de tout pouvoir d’état, pas de conquêtes, encore moins des conquêtes durables .
C’est ce qui a manqué de très peu dans le grand mouvement actuel et donc
3) les logorrhées sur les "travailleurs eux-mêmes, etc..." qui finissent par les "travailleurs doivent obéir devant des directions éclairées ou des "camarades ministres" où rien ne change, où on est crispé à mort en braillant qu’on ne veut pas de coordinations démocratiques, etc, , c’est ce qui barre le chemin pour aller plus haut.
Le socialisme tracera son sillon dans les expériences des travailleurs pour se diriger eux-mêmes, et donc déjà concretement pour faire reculer la bourgeoisie au quotidien et dans les grandes batailles.
Ca ne s’improvise pas.
4) l’infantilisme qui redémarre à l’approche des échéances électorales pour en faire des réponses absolues de la situation cachant mal l’abandon à des alliances avec la bourgeoisie est assez usant.
Mais il y a bien pire que s’allier au PS, c’est faire sa politique sans le PS. car au fond des nationalisations sans contrôle des travailleurs, le républicanisme bourgeois sans pouvoir des travailleurs, les naïvetés sans arrêts se finissant en branlées faute d’analyse et de stratégie adéquate tenant compte de la nature d’un appareil d’état, ce n’est pas bon.
Bon tout ça c’est du charabia qui ne donne aucune piste pour faire progresser le sort de la classe populaire et dégager un chemin vers l’autogestion (pouvoir des travailleurs).
D’abord
1) s’engager pour un gouvernement aussi fidèle à la classe populaire que Sarko l’est à la bourgeoisie.
C’est donc partir des revendications populaires comme programme concret.
ca ne signifie pas qu’un gouvernement puisse appliquer cela car il faudra alors le complément des :
2) outils de masse organisationnels unitaires démocratiques se saisissant des entreprises directement . Cela ne s’improvise pas , cela se travaille, cela se prépare.
avec un gouvernement de gauche ou de droite, l’axe central est là, le seul qui fait gagner les vraies batailles
Sans une classe populaire très organisée, indépendante de tout pouvoir d’état, pas de conquêtes, encore moins des conquêtes durables .
C’est ce qui a manqué de très peu dans le grand mouvement actuel et donc
3) les logorrhées sur les "travailleurs eux-mêmes, etc..." qui finissent par les "travailleurs doivent obéir devant des directions éclairées ou des "camarades ministres" où rien ne change, où on est crispé à mort en braillant qu’on ne veut pas de coordinations démocratiques, etc, , c’est ce qui barre le chemin pour aller plus haut.
Le socialisme tracera son sillon dans les expériences des travailleurs pour se diriger eux-mêmes, et donc déjà concretement pour faire reculer la bourgeoisie au quotidien et dans les grandes batailles.
Ca ne s’improvise pas.
4) l’infantilisme qui redémarre à l’approche des échéances électorales pour en faire des réponses absolues de la situation cachant mal l’abandon à des alliances avec la bourgeoisie est assez usant.
Mais il y a bien pire que s’allier au PS, c’est faire sa politique sans le PS. car au fond des nationalisations sans contrôle des travailleurs, le républicanisme bourgeois sans pouvoir des travailleurs, les naïvetés sans arrêts se finissant en branlées faute d’analyse et de stratégie adéquate tenant compte de la nature d’un appareil d’état, ce n’est pas bon.