Elle l’avait dit aussi pour la Libye mais il y a le lobby et qui fait pression et cela donne une déclaration intempestive de l’ONU, jugez-en plutôt par ceci.
D’ailleurs force est de constater que c’est d’abord sur des pays d’obédience socialiste qu’ils vont taper. Yougoslavie, Irak, Libye et bientôt Syrie ? Il est d’ailleurs intéresant de noter que pas un communiste ou ce qu’il en reste ne l’aura relevé. Conscience politique en Berne... Allez haut les coeurs ! Haro sur Damas !!!
L’ONU met en garde le régime d’Al Assad 27/03/2011
La haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Navi Pillay, a mis hier en garde la Syrie contre le risque d’une « spirale de violence » engendrée par la répression violente des manifestations et l’a appelée à tirer les leçons des événements au Maghreb et au Moyen-Orient.
« Les récents événements au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (...) démontrent clairement que la répression violente des manifestations pacifiques ne résout pas les attentes du peuple qui descend dans la rue et risque de créer une spirale de colère, de violence, de meurtres et de chaos », a-t-elle souligné dans un communiqué repris par l’AFP. « Le peuple syrien n’est pas différent des autres populations de la région. Il veut jouir des droits humains fondamentaux qui lui ont été déniés pendant si longtemps », a ajouté Navi Pillay.
La même voix rappelle que les tentatives de recourir à la force en Egypte, en Tunisie, en Libye, au Yémen et au Bahreïn ont échoué à étouffer le mécontentement et « n’ont fait que nourrir la frustration et la colère jusqu’à atteindre le point d’ébullition ». Ainsi, « une fois commencée cette spirale, il est beaucoup plus difficile de faire ce qui aurait dû être fait en premier, à savoir garantir les droits légitimes d’expression et de réunion pacifique, écouter et travailler à résoudre les véritables problèmes ».
Mme Pillay a salué l’annonce, jeudi dernier, par le gouvernement syrien de réformes politiques et économiques. Cependant, elle a observé que « l’action parle plus fort que les mots ». « Annoncer un ensemble particulièrement bienvenu de réformes longtemps attendues et ouvrir le feu sur des manifestants dès le lendemain envoie des signaux diamétralement opposés et sape sérieusement la confiance », a-t-elle dit.
La Syrie, qui est dirigée par le parti Baas depuis près de 50 ans, connaît depuis plusieurs jours des manifestations sans précédent pour réclamer des réformes, dans le sillage des mouvements qui ont marqué plusieurs pays du Maghreb et du Proche-Orient. Au moins dix personnes ont été tuées vendredi dernier à Sanamein, dans le sud de la Syrie, lors d’affrontements avec les forces de sécurité qui ont tiré sur les manifestants et, selon Amnesty International, 55 personnes ont été tuées en une semaine dans des manifestations à Daraa, proche de la frontière avec la Jordanie.
Elle l’avait dit aussi pour la Libye mais il y a le lobby et qui fait pression et cela donne une déclaration intempestive de l’ONU, jugez-en plutôt par ceci.
D’ailleurs force est de constater que c’est d’abord sur des pays d’obédience socialiste qu’ils vont taper. Yougoslavie, Irak, Libye et bientôt Syrie ? Il est d’ailleurs intéresant de noter que pas un communiste ou ce qu’il en reste ne l’aura relevé. Conscience politique en Berne... Allez haut les coeurs ! Haro sur Damas !!!
L’ONU met en garde le régime d’Al Assad 27/03/2011
La haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Navi Pillay, a mis hier en garde la Syrie contre le risque d’une « spirale de violence » engendrée par la répression violente des manifestations et l’a appelée à tirer les leçons des événements au Maghreb et au Moyen-Orient.
« Les récents événements au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (...) démontrent clairement que la répression violente des manifestations pacifiques ne résout pas les attentes du peuple qui descend dans la rue et risque de créer une spirale de colère, de violence, de meurtres et de chaos », a-t-elle souligné dans un communiqué repris par l’AFP. « Le peuple syrien n’est pas différent des autres populations de la région. Il veut jouir des droits humains fondamentaux qui lui ont été déniés pendant si longtemps », a ajouté Navi Pillay.
La même voix rappelle que les tentatives de recourir à la force en Egypte, en Tunisie, en Libye, au Yémen et au Bahreïn ont échoué à étouffer le mécontentement et « n’ont fait que nourrir la frustration et la colère jusqu’à atteindre le point d’ébullition ». Ainsi, « une fois commencée cette spirale, il est beaucoup plus difficile de faire ce qui aurait dû être fait en premier, à savoir garantir les droits légitimes d’expression et de réunion pacifique, écouter et travailler à résoudre les véritables problèmes ».
Mme Pillay a salué l’annonce, jeudi dernier, par le gouvernement syrien de réformes politiques et économiques. Cependant, elle a observé que « l’action parle plus fort que les mots ». « Annoncer un ensemble particulièrement bienvenu de réformes longtemps attendues et ouvrir le feu sur des manifestants dès le lendemain envoie des signaux diamétralement opposés et sape sérieusement la confiance », a-t-elle dit.
La Syrie, qui est dirigée par le parti Baas depuis près de 50 ans, connaît depuis plusieurs jours des manifestations sans précédent pour réclamer des réformes, dans le sillage des mouvements qui ont marqué plusieurs pays du Maghreb et du Proche-Orient. Au moins dix personnes ont été tuées vendredi dernier à Sanamein, dans le sud de la Syrie, lors d’affrontements avec les forces de sécurité qui ont tiré sur les manifestants et, selon Amnesty International, 55 personnes ont été tuées en une semaine dans des manifestations à Daraa, proche de la frontière avec la Jordanie.
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