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Le film l’Atlantide : docufiction ou autophobie communiste en action !

3 avril 2011, 19:36, par Alain Chancogne

pourquoi tant de minus en haut de l’échelle

Ni plus ni moins qu’ailleurs !

Beaucoup de militants sincères, y compris au Bureau politique, pour ce que j ai vécu années

Il n’est guère glorieux aujourd’hui de faire de marchais un espèce de bouc émissaire, il est pitoyable de voir une femme comme Mireille Bertrand que je connais , qui a"suivi" notre fédé, jouer la dinde qui a réalisé un beau matin de Septembre que Marchais, pour des raisons totalement inconnues,venait de de"briser" le PCG !

Elle se fout de nous !

Je la plains, elle qui me demandait en 1976, en pleine campagne électorale législative partielle de filer au pilon le tract national du parti qui revenait sur la condamnation par le Parti des atteintes aux libertés en URSS (affaire PLIOUTCH) !

Le Parti communiste n’était pas un ramassis de connards obéissant à un "Marchais-Staline."

 :)

Il y a a toujours eu les"lignards" qui te déterrent Marchais aujourd’hui pour pisser sur son cadavre, qui hier encore adorait un HUE aujourd’hui fusible de la liqidation, avant hierconsidéré héros de la mutation !

Certains c’est vrai, tiennent à leur place d’élus , voire de permanents et autres salariés du PCF.

On connait la vieille blague anti-coco :

"Le top -model ne mange pas pour garder la ligne alors que le permanent garde la ligne pour pouvoir manger"

Mais ceci dit, il y a eu tout un temps une connerie que ne comprendront pas ce qui n’avaient pas en charge militante un Parti qui, globalement, était du côté des travailleurs, et qui malgré ses virages, retrouvait face à lui, les mêmes , toujours là pour combattre une certaine idée de la dignité du travailleur , du"petit".

Au nom d’une certaine idée de"solidité de groupe uni, oui, certains ont mangé leur chapeau.

J’en connais, certains me font de la peine, d’autres me font hélas sourire.

LE PCF a été une espèce de contre société fraternelle de lutte.

L’actuelle bétise d’une direction qui conduit le char funèbre d’une Organisation qui a eu ses pages glorieuses ne peut pas conduire à traiter les militants du PCF de pov ’cons sans cervelle, obéissant sans réfléchir.

C’est trop facile et ce serait dangereux:il suffirait donc qu’on greffe un jour des neurones plus costauds que ceux des marchais, Lajoinie ou Séguy, pour qu’un parti soit révolutionnaire ?

Allons donc !

A.C.