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La véritable histoire de la Libération de Paris

23 septembre 2011, 10:52, par alors là !

C’est à dire que les propos quej’ai relevés, les tiens, étaient une réponse au second degré à l’article (ou plutôt les divers articles que l’auteur avit mis en ligne ?

Si c’est cela, dont acte et mes excuses.
Mais tu avoueras que cela pouvait prêter à confusion.
T’aurais écrit" Paris a été libéré ? J’ignorais..Chouet, sans communistes, ni immigrés, lmais simplementparle Général Leclerc..Ouf.."là c’était de mon niveau..

DONC TOUTES MES EXCUSES.

mais..sauf si j’ai la berlue, hier l’article de PACO sur le post.fr..n’était pas en ligne, il était simplement mentionné en source , non ?

De toutes façons ce Paco déconne..

Son histoire du24 Aôut avec un DRONNEentrant dans Paris en libérateur "de pointe" c’est ridicule.

Que ma non compréhension de ton humour soi tpartiellemnt pardonnée, grâce à mon avocat, Maitre Wikipédia:: :

Le métro de Paris, la gendarmerie le 13 août, puis la police qui lui emboîte le pas le 15 août, suivis des postiers le jour suivant, se soulèvent. Ils sont rejoints par d’autres ouvriers de la ville quand la grève générale éclate le 18 août. Des barricades sont dressées, entravant les mouvements des véhicules allemands, et des escarmouches contre les forces allemandes d’occupation, épaulées par des membres de la Milice[6],[7] restés à Paris malgré le repli général des miliciens quelques jours plus tôt[8], commencent à devenir sérieuses les jours suivants, atteignant leur maximum le 22. De sérieux combats ont lieu à la préfecture de police.
Combat en milieu urbain lors de la bataille pour Paris. Char d’assault capturé tire sur une position de sniper.

Une trêve est conclue, trêve qui permet à chacun des camps soit d’évacuer la capitale pour les Allemands, soit de conforter ses positions, pour la Résistance.
Scène montrant deux Parisiens (possiblement FFI) désarmant un soldat allemand récemment tué près de Notre-Dame.

En marge des évènements de la capitale, des accrochages et embuscades sont organisés par des partisans et résistants en banlieue parisienne.

Les insurgés, faute de munitions, n’auraient pas pu tenir longtemps : la résistance intérieure envoie en mission le commandant Cocteau ("Gallois"), chef d’état-major du colonel Rol-Tanguy, auprès du général Patton pour signaler aux Américains que la moitié de la ville est libérée le 23 mais que la situation des résistants est critique. Mais, devant cette situation désespérée, ayant obtenu l’accord de De Gaulle (il rapelle à Eisenhower sa promesse faite à Alger en décembre 1943 que la libération de Paris serait confiée à une unité française), le général Leclerc force la main aux Américains en donnant l’ordre de marche sur Paris aux éléments de reconnaissance de sa 2e division blindée française. Le général américain Gerow, supérieur hiérarchique de Leclerc, est furieux, considérant cela comme une insubordination. Eisenhower doutant de pouvoir retenir les Français finit par accepter et envoie la 4e division d’infanterie américaine en renfort

Plus loin

>Les forces alliées progressent vers l’Est, les généraux américains Eisenhower et Bradley, engagés dans les combats de la poche de Falaise, prévoient de contourner Paris pour ne pas être ralentis dans leur progression, notamment au niveau logistique, la libération des 4 millions d’habitants parisiens nécessitant 4 000 tonnes de vivres par jour. Le général Bradley écrit dans ses mémoires[4] à propos de la capitale française : «  La ville n’avait plus aucune signification tactique. En dépit de sa gloire historique, Paris ne représentait qu’une tache d’encre sur nos cartes ; il fallait l’éviter dans notre marche vers le Rhin ». Les Overlord forecasts (prévisions Overlord) ont pour cible principale le bassin de la Ruhr où se concentre l’industrie lourde allemande, la libération de Paris étant prévue pour fin octobre[5].

A.C