Un SONDAGE , quelques « redites » et UNEPROPOSITION pour AVANCER
26 octobre 2011, 13:59, par Copas
Tu donnes une importance excessive à la question électorale.
Tu vas être très déçu (et relis Luxembourg sur la question du parlement, puisque tu la cites) par les prochaines élections....
La légitimité politique qu’a la démocratie limitée du système ne se contrecarre pas apr la dénonciation mais par la bataille pour créer une légitimité démocratique supérieure construite sur l’auto-organisation généralisée, unitaire et démocratique, et prenant les mesures que la démocratie limitée est incapable de prendre contre le capital.
Tu peux t’attaquer sérieusement à la légitimité politique de la démocratie limitée que si tu as une légitimité supérieure...
Et même , sérieusement, la question n’est pas d’attaquer la démocratie limitée mais d’attaquer le capital et construire cette légitimité politique supérieure qui ne s’acquière que si tu as une autoorganisation démocratique centralisée puissante d’une classe à cette fin.
Le caca, c’est sale, contre les élections, qui s’arrange d’ailleurs de temps en temps d’exception pour des gens qui ne sont pas quand même aussi clair qu’un Poutou, comme à Marseille, ne sert à rien en l’occurence.
Les travailleurs n’abandonneront réellement la croyance en le parlementarisme que si une autre légitimité crédible se dresse, pas en donnant de la vertu à la démocratie limitée en l’attaquant simplement.
Nous avons la situation grecque qui nous montrent les 3 facettes de l’impuissance du mouvement populaire même parmi les rejetons les plus dégénérés : les anars qui veulent attaquer le parlement, le KKE qui veut faire pression sur le parlement mais envoie ses militants jouer aux flics pour sauver son fond de commerce (la pression) enfin la gauche félonne et criminelle du PASOK et son syndicat, aux affaires.
Tous sont quelques part dans la pression...
L’essentiel pour répondre à l’offensive de la bourgeoisie, construite sur une légitimité politique de la démocratie limitée, est bien dans la capacité de construire une autre légitimité démotique plus forte avec des élections dans les entreprises, les quartiers et les villes, dont la centralisation prend des décisions que le parlement bourgeois est incapable de prendre.
Tout tourne, actuellement, dans la puissance des mouvements de masse à se constituer mais pas à jouer de l’anti-parlementarisme.
Le pessimisme politique fort dans quelques pays d’Europe et une partie de la gauche radicale est assez impressionniste.
Ca bouge autour de la France, c’est la France qui bouge le moins. C’est un assemblage de circonstances particulières qui veut cela, mais les fondamentaux sont comme ailleurs où ça bouge.
C’est donc que nous nous y prenons mal, comme des nœuds.
Tu donnes une importance excessive à la question électorale.
Tu vas être très déçu (et relis Luxembourg sur la question du parlement, puisque tu la cites) par les prochaines élections....
La légitimité politique qu’a la démocratie limitée du système ne se contrecarre pas apr la dénonciation mais par la bataille pour créer une légitimité démocratique supérieure construite sur l’auto-organisation généralisée, unitaire et démocratique, et prenant les mesures que la démocratie limitée est incapable de prendre contre le capital.
Tu peux t’attaquer sérieusement à la légitimité politique de la démocratie limitée que si tu as une légitimité supérieure...
Et même , sérieusement, la question n’est pas d’attaquer la démocratie limitée mais d’attaquer le capital et construire cette légitimité politique supérieure qui ne s’acquière que si tu as une autoorganisation démocratique centralisée puissante d’une classe à cette fin.
Le caca, c’est sale, contre les élections, qui s’arrange d’ailleurs de temps en temps d’exception pour des gens qui ne sont pas quand même aussi clair qu’un Poutou, comme à Marseille, ne sert à rien en l’occurence.
Les travailleurs n’abandonneront réellement la croyance en le parlementarisme que si une autre légitimité crédible se dresse, pas en donnant de la vertu à la démocratie limitée en l’attaquant simplement.
Nous avons la situation grecque qui nous montrent les 3 facettes de l’impuissance du mouvement populaire même parmi les rejetons les plus dégénérés : les anars qui veulent attaquer le parlement, le KKE qui veut faire pression sur le parlement mais envoie ses militants jouer aux flics pour sauver son fond de commerce (la pression) enfin la gauche félonne et criminelle du PASOK et son syndicat, aux affaires.
Tous sont quelques part dans la pression...
L’essentiel pour répondre à l’offensive de la bourgeoisie, construite sur une légitimité politique de la démocratie limitée, est bien dans la capacité de construire une autre légitimité démotique plus forte avec des élections dans les entreprises, les quartiers et les villes, dont la centralisation prend des décisions que le parlement bourgeois est incapable de prendre.
Tout tourne, actuellement, dans la puissance des mouvements de masse à se constituer mais pas à jouer de l’anti-parlementarisme.
Le pessimisme politique fort dans quelques pays d’Europe et une partie de la gauche radicale est assez impressionniste.
Ca bouge autour de la France, c’est la France qui bouge le moins. C’est un assemblage de circonstances particulières qui veut cela, mais les fondamentaux sont comme ailleurs où ça bouge.
C’est donc que nous nous y prenons mal, comme des nœuds.