Je pense que le comportement du PCF vis à vis de l’extrême-gauche, du NPA (et avant de la LCR) en particulier, est directement lié aux sondages et résultats électoraux.
De 1972 (date à laquelle, lycéen, je devins sympathisant, compagnon de route de la Ligue, avant d’adhérer à la fin des années 90) à 2002, nous n’existions pas aux yeux du PCF, si ce n’est comme "parasites" (gauchistes-Marcelin et autres joyeusetés). Mépris, non réponses aux courriers, aux invitations, calomnies etc. Contrairement à d’autres, je n’ai jamais vu ni subi de violences physiques de la part du PCF.
Miracle ! Au lendemain de 2002, après le beau succès d’Olivier Besancenot et du formidable slogan "Nos vies valent plus que leurs profits", soudain nous existions ! L’évolution du rapport de force avait contraint le PCF et ses militants à se comporter "normalement", à abandonner mépris, sectarisme et violente agressivité.
Par la suite il fut net (et affligeant) qu’à chaque indice (sondages, élections) de remontée du PCF et/ou de baisse de la LCR (devenue entre temps NPA) les vieux démons revenaient en proportion. Si ce n’était un peu triste, ça en serait amusant, ce parallélisme score/comportement...
Donc, que le sectarisme primaire revienne en ces temps où le Front de gauche peut donner une éphémère illusion de redressement du PCF et où le NPA est au fond du trou électoralement parlant ne doit étonner personne. Ils ne fonctionnent qu’au rapport de force.
Et pour ne pas dénoncer les comportements d’un seul côté, il faut bien dire que les militants LCR (moi compris) donnions des boutons au militants du PCF en jouant les éternels donneurs de leçons...
Je pense que le comportement du PCF vis à vis de l’extrême-gauche, du NPA (et avant de la LCR) en particulier, est directement lié aux sondages et résultats électoraux.
De 1972 (date à laquelle, lycéen, je devins sympathisant, compagnon de route de la Ligue, avant d’adhérer à la fin des années 90) à 2002, nous n’existions pas aux yeux du PCF, si ce n’est comme "parasites" (gauchistes-Marcelin et autres joyeusetés). Mépris, non réponses aux courriers, aux invitations, calomnies etc. Contrairement à d’autres, je n’ai jamais vu ni subi de violences physiques de la part du PCF.
Miracle ! Au lendemain de 2002, après le beau succès d’Olivier Besancenot et du formidable slogan "Nos vies valent plus que leurs profits", soudain nous existions ! L’évolution du rapport de force avait contraint le PCF et ses militants à se comporter "normalement", à abandonner mépris, sectarisme et violente agressivité.
Par la suite il fut net (et affligeant) qu’à chaque indice (sondages, élections) de remontée du PCF et/ou de baisse de la LCR (devenue entre temps NPA) les vieux démons revenaient en proportion. Si ce n’était un peu triste, ça en serait amusant, ce parallélisme score/comportement...
Donc, que le sectarisme primaire revienne en ces temps où le Front de gauche peut donner une éphémère illusion de redressement du PCF et où le NPA est au fond du trou électoralement parlant ne doit étonner personne. Ils ne fonctionnent qu’au rapport de force.
Et pour ne pas dénoncer les comportements d’un seul côté, il faut bien dire que les militants LCR (moi compris) donnions des boutons au militants du PCF en jouant les éternels donneurs de leçons...
Chico