C’est l’ensemble des travailleurs salariés qui, à la différence des travailleurs indépendants, vendent leur force de travail pour vivre. Mais il n’y a pas que ce volet "côté production" à prendre en considération, il y a aussi celui "côté circulation".
C’est là qu’une autre différence apparait : il y a ceux qui épuisent leur salaire en fin de mois - les prolétaires - et les autres qui ont des capacités d’épargne. Mais il faut distinguer celui qui place 100 euros et celui qui en place 1000 ; Ici il faut distinguer ceux qui ont une très faible capacité d’épargne en fin de mois (ceux qui mettent un peu sur un livret A) de ceux qui en ont une plus importante et qui sont "petits porteurs" et placent en bourse. Les premiers sont prolétaires - à mon avis (c’est une position) alors que les seconds ne le sont pas. S’ils sont aisés ils seront dans la petite-bourgeoisie, s’ils sont de grands possédants ce sera la bourgeoisie.
Ce qui est moins rigoureux c’est le chiffre proposé. C’est issu d’un rapport du conseil des impôts qui remarquait qu’au-delà de 2800 euros net par mois l’argent était épargné. En fait cela dépend de la composition de la famille et du lieu de vie. Un célibataire n’est pas un travailleur avec une famille et un parisien n’est pas un creusois. 3000 euros est arbitraire. Ce peut être bcp moins : 2600 par exemple. Ce qui est certain c’est que l’on quitte le prolétariat au-dessus d’une certaine somme. On ne l’est plus à 3500 euros. Pour autant on n’est pas riche mais aisé. C’est F Hollande qui disait que les riches débutait à 4000 euros net par mois. Il proposait de taxer la petite-bourgeoisie aisée. Ce qui est juste si cela n’est pas prétexte pour ne pas ponctionner la classe dominante.
Cette façon de voir tient compte de l’évolution du salariat. On a même un salariat de "faisant fonction" qui perçoivent de très hauts salaires, qui ne sont plus de vrais salaires. On retrouve cette évolution dans le public, en Grande Bretagne comme en Europe mais aussi moindrement en France ou une sorte de bourgeoisie d’ Etat apparait.
C’est l’ensemble des travailleurs salariés qui, à la différence des travailleurs indépendants, vendent leur force de travail pour vivre. Mais il n’y a pas que ce volet "côté production" à prendre en considération, il y a aussi celui "côté circulation".
C’est là qu’une autre différence apparait : il y a ceux qui épuisent leur salaire en fin de mois - les prolétaires - et les autres qui ont des capacités d’épargne. Mais il faut distinguer celui qui place 100 euros et celui qui en place 1000 ; Ici il faut distinguer ceux qui ont une très faible capacité d’épargne en fin de mois (ceux qui mettent un peu sur un livret A) de ceux qui en ont une plus importante et qui sont "petits porteurs" et placent en bourse. Les premiers sont prolétaires - à mon avis (c’est une position) alors que les seconds ne le sont pas. S’ils sont aisés ils seront dans la petite-bourgeoisie, s’ils sont de grands possédants ce sera la bourgeoisie.
Ce qui est moins rigoureux c’est le chiffre proposé. C’est issu d’un rapport du conseil des impôts qui remarquait qu’au-delà de 2800 euros net par mois l’argent était épargné. En fait cela dépend de la composition de la famille et du lieu de vie. Un célibataire n’est pas un travailleur avec une famille et un parisien n’est pas un creusois. 3000 euros est arbitraire. Ce peut être bcp moins : 2600 par exemple. Ce qui est certain c’est que l’on quitte le prolétariat au-dessus d’une certaine somme. On ne l’est plus à 3500 euros. Pour autant on n’est pas riche mais aisé. C’est F Hollande qui disait que les riches débutait à 4000 euros net par mois. Il proposait de taxer la petite-bourgeoisie aisée. Ce qui est juste si cela n’est pas prétexte pour ne pas ponctionner la classe dominante.
Cette façon de voir tient compte de l’évolution du salariat. On a même un salariat de "faisant fonction" qui perçoivent de très hauts salaires, qui ne sont plus de vrais salaires. On retrouve cette évolution dans le public, en Grande Bretagne comme en Europe mais aussi moindrement en France ou une sorte de bourgeoisie d’ Etat apparait.