Les salariéEs - c’est à dire la classe ouvrière au sens historique du terme qui regroupe non seulement les ouvrier(e)s mais aussi les employé(e)s, les fonctionnaires, les cadres et techniciens etc. - représentent plus de 90 % de la population active alors que la véritable classe moyenne (ou petite bourgeoisie) atteint péniblement les 7 % (dont 5 % pour les artisans, petits commerçants, professions libérales, patrons de P.M.E./P.M.I. et 2 % pour les exploitants agricoles).
Il y a dans ce constat à la fois des motifs d’optimisme et des motifs de pessimisme. C’est à nous de choisir, non ?
Un autre éclairage ?
Les salariéEs - c’est à dire la classe ouvrière au sens historique du terme qui regroupe non seulement les ouvrier(e)s mais aussi les employé(e)s, les fonctionnaires, les cadres et techniciens etc. - représentent plus de 90 % de la population active alors que la véritable classe moyenne (ou petite bourgeoisie) atteint péniblement les 7 % (dont 5 % pour les artisans, petits commerçants, professions libérales, patrons de P.M.E./P.M.I. et 2 % pour les exploitants agricoles).
Il y a dans ce constat à la fois des motifs d’optimisme et des motifs de pessimisme. C’est à nous de choisir, non ?