Les dirigeants du SNPL Air France ont utilisé toutes les ficelles pour éviter le moindre manque à gagner lors du conflit. Le président Jean-Louis Barber, par exemple, n’a déposé aucun jour de grève. Il a d’abord fait état de jours de délégation qu’il a annulés ensuite. Antony Poilliot, le vice-président, en combinant des jours où il n’était pas programmé en vol et d’autres posés comme repos, a réussi à ne se voir débiter qu’un seul jour de grève. L’optimisation est maximale chez Jean-Marcel Julien, le secrétaire général, et François Désenfant, un ancien président, qui combine astucieusement congés annuels et jours de repos. Guillaume Schmid, porte-parole du SNPL, a de la chance car la grève correspond à une période de formation et il n’a eu à déclarer aucun jour d’arrêt.
le courage de certains pilotes et des chefs syndicaux.
http://www.lepoint.fr/economie/greve-air-france-pas-de-perte-de-salaire-pour-les-dirigeants-du-snpl-26-09-2014-1867126_28.php
Les dirigeants du SNPL Air France ont utilisé toutes les ficelles pour éviter le moindre manque à gagner lors du conflit. Le président Jean-Louis Barber, par exemple, n’a déposé aucun jour de grève. Il a d’abord fait état de jours de délégation qu’il a annulés ensuite. Antony Poilliot, le vice-président, en combinant des jours où il n’était pas programmé en vol et d’autres posés comme repos, a réussi à ne se voir débiter qu’un seul jour de grève. L’optimisation est maximale chez Jean-Marcel Julien, le secrétaire général, et François Désenfant, un ancien président, qui combine astucieusement congés annuels et jours de repos. Guillaume Schmid, porte-parole du SNPL, a de la chance car la grève correspond à une période de formation et il n’a eu à déclarer aucun jour d’arrêt.