Raison de plus pour ne pas faire pareil et écrire ceci :
Aujourd’hui c’est Poutine et la présidente d’Argentine Cristina Kirchner qui lutte contre les fonds vautours capitaliste , hier c’était Hugo Chavez et demain serait peut être Tsipras .
Mettre Poutine un tant soi peu en lien avec Chavez ou Tsipras me semble osé. Tant qu’on y est, mettons aussi Assad ou Ahmadinejad.
On peut faire des reproches à Chavez ou Tsipras, mais ce sont des progressistes. Poutine se soucie de son peuple comme de sa dernière chemise, seul le pouvoir et la richesse l’intéresse.
Bon, je sais ce qui pousse certains camarades à dire des choses comme ça : ces dirigeants ont en commun d’être tous en butte aux agressions de l’impérialisme US. Mais c’est tout !
Et c’est un jeu dangereux de considérer que "les ennemis de nos ennemis sont nos amis".
On participe ainsi au grand bazar idéologique qui caractérise notre époque, au lieu d’essayer de définir une voie communiste. Qui n’a rien en commun avec Obama, Hollande ou Poutine.
Certes.
Raison de plus pour ne pas faire pareil et écrire ceci :
Mettre Poutine un tant soi peu en lien avec Chavez ou Tsipras me semble osé. Tant qu’on y est, mettons aussi Assad ou Ahmadinejad.
On peut faire des reproches à Chavez ou Tsipras, mais ce sont des progressistes. Poutine se soucie de son peuple comme de sa dernière chemise, seul le pouvoir et la richesse l’intéresse.
Bon, je sais ce qui pousse certains camarades à dire des choses comme ça : ces dirigeants ont en commun d’être tous en butte aux agressions de l’impérialisme US. Mais c’est tout !
Et c’est un jeu dangereux de considérer que "les ennemis de nos ennemis sont nos amis".
On participe ainsi au grand bazar idéologique qui caractérise notre époque, au lieu d’essayer de définir une voie communiste. Qui n’a rien en commun avec Obama, Hollande ou Poutine.