Pauline, je suis bien d’accord avec toi. Il faut se souvenir d’où on vient, et oui, dans des circonstances similaires nous aurions également cet instinct de survie.
Oui nous avons tous notre part de responsabilité et notre rôle à jouer auprès des personnes laissées en marge de notre société.
Un seul reproche à ton article : je te trouve particulièrement stigmatisante et blessante en ce qui concerne les enfants, petits-enfants, arrières petits-enfants d’immigrés italiens et espagnols et les classes moyennes, qui pour la plupart sont bien plus tolérants que ce que tu veux bien décrire là.
Quant aux français "de la haute" de l’époque qui ont effectivement vus arriver mes grands-parents espagnols, une main devant, une main derrière, il y a 60 ans, ils n’étaient pas particulièrement tolérants et accueillants avec eux. C’est avec le temps qu’ils ont réussi à faire leur place.
Et c’est en étant bien consciente de cela, de l’histoire et du vécu de ma famille, que je ne peux que me réjouir du fait que la France puisse encore évoluer et être cette terre d’asile pour des réfugiés en souffrance qui ne demandent qu’à vivre
Pauline, je suis bien d’accord avec toi. Il faut se souvenir d’où on vient, et oui, dans des circonstances similaires nous aurions également cet instinct de survie.
Oui nous avons tous notre part de responsabilité et notre rôle à jouer auprès des personnes laissées en marge de notre société.
Un seul reproche à ton article : je te trouve particulièrement stigmatisante et blessante en ce qui concerne les enfants, petits-enfants, arrières petits-enfants d’immigrés italiens et espagnols et les classes moyennes, qui pour la plupart sont bien plus tolérants que ce que tu veux bien décrire là.
Quant aux français "de la haute" de l’époque qui ont effectivement vus arriver mes grands-parents espagnols, une main devant, une main derrière, il y a 60 ans, ils n’étaient pas particulièrement tolérants et accueillants avec eux. C’est avec le temps qu’ils ont réussi à faire leur place.
Et c’est en étant bien consciente de cela, de l’histoire et du vécu de ma famille, que je ne peux que me réjouir du fait que la France puisse encore évoluer et être cette terre d’asile pour des réfugiés en souffrance qui ne demandent qu’à vivre