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17 mars 2017, 19:58, par le Rouge-gorge
Voici le poème
Méditerranée
. .
La femme allongée sur la plage bronze,
aucun mouvement, le soleil si fort, si haut,
pas un bruit, hormis le léger clapotis,
des vagues qui inlassablement se suivent.
Là, dans l’immensité, seule couchée sur le ventre,
ni vent, ni nuage, le temps semble définitivement arrêté,
un monde de douceur sur le sable trop fin,
la chevelure brille, humide sur sa peau.
C’est trop de bronzage, trop de soleil, trop de sel,
trop de silence, trop de vagues, trop d’azur,
trop de douceur, de sable et d’immobilité,
une épeire besogneuse tisse un suaire diaphane.
Fabrice Selingant
déjà publié ici : bellaciao.org/fr/spip.php ?article153186
Fraternellement. Fabrice le Rouge-gorge
Voici le poème
Méditerranée
. .
La femme allongée sur la plage bronze,
aucun mouvement, le soleil si fort, si haut,
pas un bruit, hormis le léger clapotis,
des vagues qui inlassablement se suivent.
. .
Là, dans l’immensité, seule couchée sur le ventre,
ni vent, ni nuage, le temps semble définitivement arrêté,
un monde de douceur sur le sable trop fin,
la chevelure brille, humide sur sa peau.
. .
C’est trop de bronzage, trop de soleil, trop de sel,
trop de silence, trop de vagues, trop d’azur,
trop de douceur, de sable et d’immobilité,
une épeire besogneuse tisse un suaire diaphane.
. .
Fabrice Selingant
déjà publié ici : bellaciao.org/fr/spip.php ?article153186
Fraternellement. Fabrice le Rouge-gorge