Au lieu d’utiliser le fantôme de Derrida, notre commentateur ferait mieux de ne pas embrouiller les niveaux d’analyse. Il confond ainsi deux niveaux qui ne sont pas nécessairement associés :
– à un niveau collectif, l’excès de la justice par rapport au droit positif, comme point d’appui pour tranformer, de manière infinie, tout droit positif, toujours en-deçà de la justice (le niveau d’analyse de Derrida) ;
– à un niveau individuel, la fragilité de chaque engagement personnel qui ne peut se caler sur aucune certitude absolue, ce qui n’empêche pas l’engagement, mais conduit à ménager un espace de jeu (de questionnements) à l’écart d’un rapport dogmatique (le niveau d’analyse de Landsberg via Corcuff).
La confusion ajoutée au fantômes, ça n’aide pas le débat. Encore quelqu’un qui a du avoir du mal avec l’épreuve de philo au Bac !
Au lieu d’utiliser le fantôme de Derrida, notre commentateur ferait mieux de ne pas embrouiller les niveaux d’analyse. Il confond ainsi deux niveaux qui ne sont pas nécessairement associés :
– à un niveau collectif, l’excès de la justice par rapport au droit positif, comme point d’appui pour tranformer, de manière infinie, tout droit positif, toujours en-deçà de la justice (le niveau d’analyse de Derrida) ;
– à un niveau individuel, la fragilité de chaque engagement personnel qui ne peut se caler sur aucune certitude absolue, ce qui n’empêche pas l’engagement, mais conduit à ménager un espace de jeu (de questionnements) à l’écart d’un rapport dogmatique (le niveau d’analyse de Landsberg via Corcuff).
La confusion ajoutée au fantômes, ça n’aide pas le débat. Encore quelqu’un qui a du avoir du mal avec l’épreuve de philo au Bac !
un gars qui a le désir d’être curieux