Le malheur est que la volonté des dominants va exactement en ses inverse de vos aspirations (et des miennes)
Lire l’article dans son entier :
FRANCE TELECOM : LES DEGATS DE LA PRIVATISATION
dpnt voici le ler paragraphe :
Par Modeste Alcaraz (CGT France Télécom - Nice)
Nous sommes passés de 162 000 salariés en 96 à 142 000 aujourd’hui, à l’échelle nationale. Dans les seules Alpes-Maritimes, nous sommes passés de 1721 salariés au 31 décembre 2005 à 1590 salariés au 30 juin 2006, soit une perte de 131 emplois en un seul semestre. Ces pertes d’emploi se traduisent par une explosion de la précarité, à travers le développement de la sous-traitance. Le nombre « d’équivalant effectif » en sous-traitance est passé de 139 agents par mois en 2004 à 232,5 en 2005 (toujours dans les Alpes-Maritimes). Par exemple, la société ARVATO, basée à Lens, soustraite le flux « renseignements factures » du 1014 de Nice. Une plate-forme de 120 personnes, située à Caen, sous-traite les appels du « Service Après Vente » niçois (1013 et 3900).
Par manque de personnel (profits oblige) il faut actuellement jusqu’à 15 jours pour se faire dépanner
Le malheur est que la volonté des dominants va exactement en ses inverse de vos aspirations (et des miennes)
Lire l’article dans son entier :
FRANCE TELECOM : LES DEGATS DE LA PRIVATISATION
dpnt voici le ler paragraphe :
Par Modeste Alcaraz (CGT France Télécom - Nice)
Nous sommes passés de 162 000 salariés en 96 à 142 000 aujourd’hui, à l’échelle nationale. Dans les seules Alpes-Maritimes, nous sommes passés de 1721 salariés au 31 décembre 2005 à 1590 salariés au 30 juin 2006, soit une perte de 131 emplois en un seul semestre. Ces pertes d’emploi se traduisent par une explosion de la précarité, à travers le développement de la sous-traitance. Le nombre « d’équivalant effectif » en sous-traitance est passé de 139 agents par mois en 2004 à 232,5 en 2005 (toujours dans les Alpes-Maritimes). Par exemple, la société ARVATO, basée à Lens, soustraite le flux « renseignements factures » du 1014 de Nice. Une plate-forme de 120 personnes, située à Caen, sous-traite les appels du « Service Après Vente » niçois (1013 et 3900).
Par manque de personnel (profits oblige) il faut actuellement jusqu’à 15 jours pour se faire dépanner
Michèle