Marie-George Buffet : solidarité avec José Bové (video)
7 février 2007, 23:24
LA LUTTE POUR VIVRE
Chers amis et camarades, ce sont malheureusement tous les ans des centaines de militants qui subissent dans l’indifférence des répressions syndicales sous diverses formes. Pour ce qui en est de Bové, je me suis trouvé en 2000 à la fête de l’Huma : un espace avec prise de parole avait été organisé pour soutenir Bové. Je suis intervenu pour dénoncer cette répression qui avait tendance à se généraliser dans le pays et qu’il fallait rompre ce silence.
Ce sujet me concernait, et je veux en témoigner : je venais de subir 3 répressions syndicales, mutation hors département, mise d’office à disposition d’une autre direction de la fonction publique, lorsqu’en 1997, grève pour l’emploi, « ambiance Germinal », j’ai été condamné avec un autre camarade à 8 mois de prison avec sursis. S’il y a eu sursis, c’est grâce à la mobilisation.
Lorsque l’on est condamné par la justice de son pays, et que vous n’êtes pas médiatisé, quand vous avez le soutien du PCF, du monde du travail, ça vous aide à supporter cette injustice… cette injustice que vous subissez vous marque malgré tout au plus profond de vous-même. Je demande à MGB, comme le PCF l’a déjà fait par le passé, d’exiger une amnistie pour tous ceux qui ont été condamnés durant les mouvements sociaux. C’est leur rendre justice.
Je crois que MGB a rendu visite à Bové en prison.
L’attitude du PCF n’a jamais failli lorsqu’il s’agit de défendre le monde du travail, c’est un outil au service des travailleurs.
LA LUTTE POUR VIVRE
Chers amis et camarades, ce sont malheureusement tous les ans des centaines de militants qui subissent dans l’indifférence des répressions syndicales sous diverses formes. Pour ce qui en est de Bové, je me suis trouvé en 2000 à la fête de l’Huma : un espace avec prise de parole avait été organisé pour soutenir Bové. Je suis intervenu pour dénoncer cette répression qui avait tendance à se généraliser dans le pays et qu’il fallait rompre ce silence.
Ce sujet me concernait, et je veux en témoigner : je venais de subir 3 répressions syndicales, mutation hors département, mise d’office à disposition d’une autre direction de la fonction publique, lorsqu’en 1997, grève pour l’emploi, « ambiance Germinal », j’ai été condamné avec un autre camarade à 8 mois de prison avec sursis. S’il y a eu sursis, c’est grâce à la mobilisation.
Lorsque l’on est condamné par la justice de son pays, et que vous n’êtes pas médiatisé, quand vous avez le soutien du PCF, du monde du travail, ça vous aide à supporter cette injustice… cette injustice que vous subissez vous marque malgré tout au plus profond de vous-même. Je demande à MGB, comme le PCF l’a déjà fait par le passé, d’exiger une amnistie pour tous ceux qui ont été condamnés durant les mouvements sociaux. C’est leur rendre justice.
Je crois que MGB a rendu visite à Bové en prison.
L’attitude du PCF n’a jamais failli lorsqu’il s’agit de défendre le monde du travail, c’est un outil au service des travailleurs.
Félix