Pour José Bové, le pacte de Ségolène Royal va dans le bon sens
13 février 2007, 18:19
Ni Sego,ni José ne veulent entendre la demande sociale d’un revenu garanti inconditionnel pour toutes et tous (jeunes,etudiants, chomeurs,precaires,retraités,paysans, independants etc) qui concerne pourtant pres de 10 millions de personnes qui ont un revenu inferieur au SMIG.Aucun candidat n’est disposé a affronter cette question car elle implique de sortir du féodalisme monétaire,préalable incontournable à une refondation économique, sociale et écologique.
La nation doit pouvoir émettre la monnaie dont elle a besoin, en proportion de son développement.
Et la monnaie qu’elle crée, elle doit pouvoir l’affecter aux projets qu’elle décide pour demain, non pas au paiement de ceux qu’elle se voit imposer, aujourd’hui, impuissante, endettée.
Le droit "régalien" de l’Etat de battre monnaie, les Européens l’ont aboli en 1992. La grande majorité l’a fait sans le savoir : tandis qu’on focalisait les débats sur l’euro, on mettait en jeu la décision de libérer plus que jamais, totalement, ce qui consistue peut-être le plus grand "aspirateur" du régime capitaliste.
et le debat sur la fiscalité doit prendre en compte la necessaire taxation des machines numeriques a l’origine des hausses paralleles de productivité et de chomage.
Ce qui s’appelle remettre le debat sur ses pieds.
Ni Sego,ni José ne veulent entendre la demande sociale d’un revenu garanti inconditionnel pour toutes et tous (jeunes,etudiants, chomeurs,precaires,retraités,paysans, independants etc) qui concerne pourtant pres de 10 millions de personnes qui ont un revenu inferieur au SMIG.Aucun candidat n’est disposé a affronter cette question car elle implique de sortir du féodalisme monétaire,préalable incontournable à une refondation économique, sociale et écologique.
La nation doit pouvoir émettre la monnaie dont elle a besoin, en proportion de son développement.
Et la monnaie qu’elle crée, elle doit pouvoir l’affecter aux projets qu’elle décide pour demain, non pas au paiement de ceux qu’elle se voit imposer, aujourd’hui, impuissante, endettée.
Le droit "régalien" de l’Etat de battre monnaie, les Européens l’ont aboli en 1992. La grande majorité l’a fait sans le savoir : tandis qu’on focalisait les débats sur l’euro, on mettait en jeu la décision de libérer plus que jamais, totalement, ce qui consistue peut-être le plus grand "aspirateur" du régime capitaliste.
http://www.fauxmonnayeurs.org/
le debat sur la dette doit partir de la...
et le debat sur la fiscalité doit prendre en compte la necessaire taxation des machines numeriques a l’origine des hausses paralleles de productivité et de chomage.
Ce qui s’appelle remettre le debat sur ses pieds.