Je n’ai pas pu regarder jusqu’à la fin. J’ai stoppé au début du 2/6.
La consommation nous pousse à prendre pour soi. Je vais avoir de la difficulté à faire mon épicerie. Je n’oublierai pas ce que j’ai vu et entendu. Que faire ?
J’imagine qu’à la toute fin du vidéo on propose des pistes de solution. Je devrai regarder et entendre jusqu’au bout.
J’ai deux chattes dont l’une à 14 ans et l’autre 7 mois non stérilisée. Je vais prendre rendez-vous chez le vétérinaire pour règler cet aspect de sa vie. Ainsi elle augmentera ses chances pour elle et évitera que sa portée soit à risque.
L’industrialisation de l’alimentation doit être regardé de très prêt. Le mode de vie sur une petite ferme avec élevage diverse n’a rien de comparable avec le volume pour les supermarchés.
Nous vivons dans des centres urbains. On nous lave la conscience avec le regard publicitaire de consommation pour un idéal de vie. Il va falloir évaluer notre propre consommation humaine à l’échelle de notre propre système d’abattage humain.
C’est pas en ce début de siècle que ça va changer pour la masse humaine. Il nous faudra sans doute quelques drames planétaires pour laisser tomber certaines habitudes de vie humaine.
Je retiens l’aspect vivant du documentaire pour les espèces ; la conscience n’est pas un aspect exclusif à l’humain. Selon notre morale humaine nous avons un devoir de conscience. On ne connait pas d’autres morales terriennes ou on ne veut pas l’évaluer, l’étudier. C’est pourtant au maillon le plus vulnérable que l’on peut évaluer la résistance d’une chaîne. La chaîne alimentaire nourrit la vie. Toutes les vies sont reliées ensemble. L’exclusivité ne nous appartient pas et la nature nous le rappel à chaque instant.
Je n’ai pas pu regarder jusqu’à la fin. J’ai stoppé au début du 2/6.
La consommation nous pousse à prendre pour soi. Je vais avoir de la difficulté à faire mon épicerie. Je n’oublierai pas ce que j’ai vu et entendu. Que faire ?
J’imagine qu’à la toute fin du vidéo on propose des pistes de solution. Je devrai regarder et entendre jusqu’au bout.
J’ai deux chattes dont l’une à 14 ans et l’autre 7 mois non stérilisée. Je vais prendre rendez-vous chez le vétérinaire pour règler cet aspect de sa vie. Ainsi elle augmentera ses chances pour elle et évitera que sa portée soit à risque.
L’industrialisation de l’alimentation doit être regardé de très prêt. Le mode de vie sur une petite ferme avec élevage diverse n’a rien de comparable avec le volume pour les supermarchés.
Nous vivons dans des centres urbains. On nous lave la conscience avec le regard publicitaire de consommation pour un idéal de vie. Il va falloir évaluer notre propre consommation humaine à l’échelle de notre propre système d’abattage humain.
C’est pas en ce début de siècle que ça va changer pour la masse humaine. Il nous faudra sans doute quelques drames planétaires pour laisser tomber certaines habitudes de vie humaine.
Je retiens l’aspect vivant du documentaire pour les espèces ; la conscience n’est pas un aspect exclusif à l’humain. Selon notre morale humaine nous avons un devoir de conscience. On ne connait pas d’autres morales terriennes ou on ne veut pas l’évaluer, l’étudier. C’est pourtant au maillon le plus vulnérable que l’on peut évaluer la résistance d’une chaîne. La chaîne alimentaire nourrit la vie. Toutes les vies sont reliées ensemble. L’exclusivité ne nous appartient pas et la nature nous le rappel à chaque instant.