25 animaux meurent torturés chaque seconde dans le monde (videos)
4 octobre 2007, 21:26
Lettre à Félix, mon ami, mon frère ;
Quand j’ai appris l’annonce de ta mort, je n’ai pu retenir mes larmes.
De toute ta vie, tu n’auras connu que ces misérables barreaux et les quelques sorties quand ils t’emmenaient te faire torturer.
Loin de la vie qui aurait du être la tienne auprès des tiens dans une quelconque forêt ou savane africaine, tu n’auras jamais connu la joie de courrir dans l’herbe, de grimper à un arbre ; et tu n’auras jamais pu te chauffer aux rayons du soleil, toi qui n’a connu que la blafarde lumiere des néons des laboratoires.
Tu n’as pas connu non plus la joie de dormir sous un ciel étoilé ; toi qu’i n’entendait la nuit que les cris de souffrance de tes amis, eux aussi emprisonés à vie, à tes cotés, eux aussi victimes de cette barbarie sans nom.
La seule chose qui me donne la force de surmonter mon dégout de ces êtres qui se disent "humains", c’est que en ce moment même où toi, tu n’est plus là, des milliers, des millions de tes frères sont à leur tour , torturés, mutilés, eprisonnés et tués au nom d’une soi-disant "science" qui, sous couvert de "recherche", continue cette ignominie.
Pour toi, la vie s’est arrétée fin aout.
Pour eux, le martyr continue !!
J’espère que du fond de ta cellule, tu as pu ressentir cet élan d’amour et de tendresse qui t’était destiné.
Au revoir Félix.
Le jour où ils ont pris ta vie, ils ont pris une partie de moi-même.
Je ne t’oublierais jamais et me battrais pour ta mémoire.
Lettre à Félix, mon ami, mon frère ;
Quand j’ai appris l’annonce de ta mort, je n’ai pu retenir mes larmes.
De toute ta vie, tu n’auras connu que ces misérables barreaux et les quelques sorties quand ils t’emmenaient te faire torturer.
Loin de la vie qui aurait du être la tienne auprès des tiens dans une quelconque forêt ou savane africaine, tu n’auras jamais connu la joie de courrir dans l’herbe, de grimper à un arbre ; et tu n’auras jamais pu te chauffer aux rayons du soleil, toi qui n’a connu que la blafarde lumiere des néons des laboratoires.
Tu n’as pas connu non plus la joie de dormir sous un ciel étoilé ; toi qu’i n’entendait la nuit que les cris de souffrance de tes amis, eux aussi emprisonés à vie, à tes cotés, eux aussi victimes de cette barbarie sans nom.
La seule chose qui me donne la force de surmonter mon dégout de ces êtres qui se disent "humains", c’est que en ce moment même où toi, tu n’est plus là, des milliers, des millions de tes frères sont à leur tour , torturés, mutilés, eprisonnés et tués au nom d’une soi-disant "science" qui, sous couvert de "recherche", continue cette ignominie.
Pour toi, la vie s’est arrétée fin aout.
Pour eux, le martyr continue !!
J’espère que du fond de ta cellule, tu as pu ressentir cet élan d’amour et de tendresse qui t’était destiné.
Au revoir Félix.
Le jour où ils ont pris ta vie, ils ont pris une partie de moi-même.
Je ne t’oublierais jamais et me battrais pour ta mémoire.
A Félix, mon ami, mon frère.
NEO