PETITION CITOYENNE : JOUER AVEC NOS VIES, CA SUFFIT ! PAS TOUCHE A NOS RETRAITES
25 avril 2008, 11:11
Bonjour,
Il est vraisemblable que cela ne soit pas la première fois que les apprentis sorciers de la CDC perdent l’argent des retraites en bourse. Pour avoir travaillé aux Etats-Unis en 2001 et 2002 durant l’explosion de la bulle internet et l’affaire Enron, je sais que des institutions françaises ont été lourdement affectées par la crise à ce moment là. Elles auraient fait les mêmes placements spéculatifs que Calpers, le fond de pension des retraites publiques en Californie. D’après les informations que j’avais eu à l’époque mais impossibles à vérifier, et donc au conditionnel, les sommes perdues par les investisseurs français dans cette affaire proviendraient des fonds de retraites de sociétés publiques ou para publiques comme la SNCF, la RATP, EDF-GDF. Le manque à gagner aurait été compensé en organisant le transfert de certains régimes spéciaux sur le régime général, notamment au travers de privatisations menées à marche forcée. N’étant pas spécialiste de ces questions, je n’ai bien sur pas pu vérifier tout cela. Mais il n’y a pas de fumée sans feu. Surtout si l’on s’interroge réellement sur les raisons de l’allongement des cotisations prévu de 37 à 41 ans (4 ans de plus, ça fait quand même beaucoup).
Bonjour,
Il est vraisemblable que cela ne soit pas la première fois que les apprentis sorciers de la CDC perdent l’argent des retraites en bourse. Pour avoir travaillé aux Etats-Unis en 2001 et 2002 durant l’explosion de la bulle internet et l’affaire Enron, je sais que des institutions françaises ont été lourdement affectées par la crise à ce moment là. Elles auraient fait les mêmes placements spéculatifs que Calpers, le fond de pension des retraites publiques en Californie. D’après les informations que j’avais eu à l’époque mais impossibles à vérifier, et donc au conditionnel, les sommes perdues par les investisseurs français dans cette affaire proviendraient des fonds de retraites de sociétés publiques ou para publiques comme la SNCF, la RATP, EDF-GDF. Le manque à gagner aurait été compensé en organisant le transfert de certains régimes spéciaux sur le régime général, notamment au travers de privatisations menées à marche forcée. N’étant pas spécialiste de ces questions, je n’ai bien sur pas pu vérifier tout cela. Mais il n’y a pas de fumée sans feu. Surtout si l’on s’interroge réellement sur les raisons de l’allongement des cotisations prévu de 37 à 41 ans (4 ans de plus, ça fait quand même beaucoup).